Synopsis
Les voilà, encore une fois : Billaud, Carnot, Prieur, Prieur, Couthon, Robespierre, Collot, Barère, Lindet, Saint-Just, Saint-André.
Nous connaissons tous le célèbre tableau des Onze où est représenté le Comité de salut public qui, en 1794, instaura le gouvernement révolutionnaire de l'an II et la politique dite de Terreur. Mais qui fut le commanditaire de cette oeuvre ? A quelles conditions et à quelles fins fut-elle peinte par François-Élie Corentin, le Tiepolo de la Terreur ? Mêlant fiction et histoire, Michon fait apparaître avec la puissance d'évocation qu'on lui connaît, les personnages de cette " cène révolutionnaire ", selon l'expression de Michelet qui, à son tour, devient ici l'un des protagonistes du drame.
Nous connaissons tous le célèbre tableau des Onze où est représenté le Comité de salut public qui, en 1794, instaura le gouvernement révolutionnaire de l'an II et la politique dite de Terreur. Mais qui fut le commanditaire de cette oeuvre ? A quelles conditions et à quelles fins fut-elle peinte par François-Élie Corentin, le Tiepolo de la Terreur ? Mêlant fiction et histoire, Michon fait apparaître avec la puissance d'évocation qu'on lui connaît, les personnages de cette " cène révolutionnaire ", selon l'expression de Michelet qui, à son tour, devient ici l'un des protagonistes du drame.
Moyenne
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FAIBLE
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2011 Editions Folio
144 pages
10 février 2011
ISBN : 9782070437528
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chronique de blog
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J’ai lu non pas sans intérêt mais le style est lourd et parfois indigeste. Heureusement, ce roman n’est pas long sinon je l’aurais abandonné, je pense.
Style lourd, emphatique, incompréhensible.
Aucun intérêt autre que celui de nous faire croire à un tableau.
Pauvre Michelet qui se trouve imbriqué dans ce roman !
Lu pour la fac. Superbe plongée dans l'Histoire de la Terreur sous couvert d'une peinture fictionnelle, dont le peintre est un personnage fictionnel. Lorsque l'auteur commence à raconter la vie de cette oeuvre et de son peintre, il parvient par ce biais à nous dire quelque chose de l'histoire vraie, qui peut ainsi être racontée par ses fragments les plus minimes, même s'il sont romanesques.
L'écriture est belle mais cette histoire d'un tableau révolutionnaire ne m'a pas vraiment convaincue.