Synopsis
À Nordport, les huileries tournent à plein régime.
Les huilards s’enrichissent tandis que les pêcheurs et les presseurs se tuent à la tâche afin de produire les précieuses huiles de poisson qui, connues pour leurs nombreuses vertus et maints usages, conféreraient à certains des pouvoirs surhumains voire magiques.
À Val-de-Mines, les forges et les fours tournent à plein régime.
Dans son sous-sol, se terre, paraît-il, la secte des ointeurs.
La légende raconte que ses membres – adeptes de l’eugénisme et fins connaisseurs des huiles et de leurs effets – ont la main mise sur les puissants mais que, après des années d’inceste, la consanguinité a, petit à petit, gangréné leurs rangs.
Afin d’y remédier, ils chargent les engrosseurs – des hommes sélectionnés pour leur résistance hors du commun aux huiles – de sillonner les terres et de semer leurs graines aux quatre vents.
Leurs victimes – des femmes mises enceintes le plus souvent contre leur gré – sont, par la suite, enlevées, « moissonnées » et leurs nourrissons triés par sexe : les garçons sont placés en pouponnière et endoctrinés dès le plus jeune âge ; les filles, jugées inutiles, sont pressées afin d’en tirer une huile supposée allonger la durée de vie des adeptes haut-placés.
Le surplus de cet élixir serait, dit-on, vendu à prix d’or et se retrouverait notamment dans la crème cosmétique de la célèbre huilerie Verdenay & Fils. Enfin, paraît-il…
Pourtant, lorsque sa fille enceinte et l’aînée du richissime huilard Verdenay sont enlevées, Bourgier, l’aubergiste, se refuse à envisager le pire. Non, ces histoires d’engrosseurs ne sont que des balivernes ! Accompagné de Fequin, un maître d’armes vieillissant, et de Dentelle, une barde aigrie et ratée, il se lance sur les traces des ravisseurs.
Les huilards s’enrichissent tandis que les pêcheurs et les presseurs se tuent à la tâche afin de produire les précieuses huiles de poisson qui, connues pour leurs nombreuses vertus et maints usages, conféreraient à certains des pouvoirs surhumains voire magiques.
À Val-de-Mines, les forges et les fours tournent à plein régime.
Dans son sous-sol, se terre, paraît-il, la secte des ointeurs.
La légende raconte que ses membres – adeptes de l’eugénisme et fins connaisseurs des huiles et de leurs effets – ont la main mise sur les puissants mais que, après des années d’inceste, la consanguinité a, petit à petit, gangréné leurs rangs.
Afin d’y remédier, ils chargent les engrosseurs – des hommes sélectionnés pour leur résistance hors du commun aux huiles – de sillonner les terres et de semer leurs graines aux quatre vents.
Leurs victimes – des femmes mises enceintes le plus souvent contre leur gré – sont, par la suite, enlevées, « moissonnées » et leurs nourrissons triés par sexe : les garçons sont placés en pouponnière et endoctrinés dès le plus jeune âge ; les filles, jugées inutiles, sont pressées afin d’en tirer une huile supposée allonger la durée de vie des adeptes haut-placés.
Le surplus de cet élixir serait, dit-on, vendu à prix d’or et se retrouverait notamment dans la crème cosmétique de la célèbre huilerie Verdenay & Fils. Enfin, paraît-il…
Pourtant, lorsque sa fille enceinte et l’aînée du richissime huilard Verdenay sont enlevées, Bourgier, l’aubergiste, se refuse à envisager le pire. Non, ces histoires d’engrosseurs ne sont que des balivernes ! Accompagné de Fequin, un maître d’armes vieillissant, et de Dentelle, une barde aigrie et ratée, il se lance sur les traces des ravisseurs.
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2 chroniques de blog
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04 Juillet 2021Kah Rane16 / 20Lire la chronique
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03 Juin 2021Adopt a librarian16 / 20Lire la chronique
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2 commentaires
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16 / 20 Le 04 Juillet 2021 à 20:04 Kah Rane
Le langage vulgaire ne m'a pas du tout dérangé. Néanmoins, je dois reconnaître que l'auteur se plaît à rajouter beaucoup de personnages au fur et à mesure de la progression de ce premier tome et forcément, on aurait tendance à s'y perdre un peu.
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16 / 20 Le 28 Mars 2021 à 10:33 Mère Lin
Bon roman qui change de l'ordinaire. Parfois un peu lourd dans le trop "vulgaire" mais dans l'ensemble j'ai bien aimé cette lecture