[Suivi Lectures] Aealo

 
  • Cervus

    Lecteur fou

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    #631 30 Août 2019 11:16:14

    La suite afin de mettre fin à la mise à jour! :D

    <image> Je ne sais plus à quelle LAienne je dois la découverte de ce livre dans son suivi lecture, mais qu'elle en soit remerciée! Je ne pensais pas que Comme par magie : Vivre sa créativité sans la craindre de Elizabeth Gilbert aurait un tel effet sur moi!
    Quelle bulle d'air, quel vent d'air frais! Je suis déjà partisan des bienfaits et de la nécessité, je dirais même de l'impératif que nous avons vis-à-vis de nous-même, de sortir de notre zone de confort : Oser tout simplement !
    Je n'ai jamais rien lu de Elizabeth Gilbert mais ce livre mais surtout l'élan qu'elle essaye de donner aux lecteurs est extraordinaire! Ces anecdotes peuvent sembler nombreuses par moment et certaines de ses convictions ne vont convaincront peut-être pas mais son enthousiasme lui est indéniable!
    J'avais déjà cette mentalité mais ce livre aura été presque un apport complémentaire pour moi. Il pourrait, je l'espère devenir la paire d'ailes dont vous avez ou certaines de vos connaissances ont peut-être besoin. Car la créativité est vitale à l'épanouissement qu'elle que soit sa forme (artistique ou non).
    Le livre décortique les divers éléments essentiels pour vivre pleinement sa créativité : elle décortique point par point les barrières qu'on aura tendance à se mettre et qui pourraient nous arrêter, elle neutralise les unes après les autres les balles qu'on se tirent souvent dans les pieds, ses faux-arguments qu'on se donne pour ne pas oser, pour ne pas tenter, et ce, toujours avec une bienveillance imparable.
    Ce livre est comme une révélation : ose peu importe quoi mais ose si tu en as envie!
    Un livre à offrir, à lire et à relire!

    <image>A la base, j'ignorais l'existence de ce livre... J'ai entendu parlé (et envie d'aller voir) le film du même nom, j'ignorais alors qu'il était tiré d'un livre. Mais je suis tombé sur Scary Stories : Histoires effrayantes à raconter dans le noir de Alvin Schwartz et Stephen Gammell par hasard et je me suis laissé tenté...
    Bon... Et bien... Je ne sais même pas trop par où commencer... car il y a à la fois peu et beaucoup à en dire...
    Le gros point fort de ce livre ce sont les illustrations! Elles sont plutôt efficaces. Il y en a au moins une par histoire et cela donne une petite ambiance sympa à certaines lectures. Lecture qui il faut bien le dire est très aisée car la plume est simple et très facile à lire. C'est à un point tel que j'ai fini par me demande si le publique cible n'est pas censé être beaucoup plus jeune...
    Et là on en arrive aux points négatifs... En effet si les illustrations sont efficaces, elles le sont bien plus que les histoires...
    Histoires effrayantes à raconter dans le noir : Avec un tel titre, on est en droit d'attendre autre chose que ce qui nous est servi ici... Parce même dans le noir... J'ignore encore où j'étais censé avoir ne serait-ce qu'un frisson... Malgré l'originalité de certaines, ce n'est pas avec des petites histoires de trois pages, où rien n'a le temps de rien : ni installer, ni développer, ni toucher, ni effrayer, qu'on peut espérer ressentir ou apprécier quoi que ce soit! C'est du zapping... Le sommet c'est certaines histoires n'ont même pas de fins véritables, il s'agit juste de jouer sur le jump scare et point barre... Amis de la fainéantise bonjour.... C'est déjà ce que je reproche à de nombreux films d'horreur...
    Vous êtes donc face à un livre qui à lourdement confondu divertissement et peur.
    Vous voulez du frisson? Passez votre chemin...


    Le prochain Cercle de Lecture arrive à grands pas! J'ai hâte que les choses reprennent!
    De plus, le déménagement devient imminent à présent! Je suis excité comme une puce! :yeah:

    Je vous souhaite à toutes et tous de belles évasions littéraires

  • Cervus

    Lecteur fou

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    #632 06 Octobre 2019 21:41:19

    Bonjour à toutes et tous,

    Beaucoup de choses ont changé ces dernières semaines, rendant notamment ma disponibilité moindre et mes lectures moins rapides...
    Et même si l'exercice me manque, je dois bien avouer qu'il est fort probable que je mette ce suivi en stand-by pour une durée indéterminée...
    Non je ne l'arrête pas, mais j'ai besoin de temps afin de remettre certaines choses en ordre, m'installer, me ré-organiser et qui sait, peut-être reviendrai-je un jour par ici pour m'y remettre à nouveau. Nous verrons bien.

    Je reste disponible par MP si vous voulez me contacter.

    D'ici là portez-vous bien.

    Bonnes lectures à toutes et tous.

    Aealo
  • Cervus

    Lecteur fou

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    #633 22 Octobre 2019 00:55:43

    Bon bon bon... Je dois bien avouer que cette mise entre parenthèses me dérange... Me démange en fait... :grat:
    Il me parait plus sage de "revoir sa forme" que de l'abandonner... :goutte::D
    Du coup, je pense ne m'arrêter que sur ce qui m'aura marquer et moins sur les autres... Ainsi ce ne sera pas systématiquement développé comme précédemment...
    Pour le reste, je verrai au fur et à mesure...

    Donc! Par conséquent... Si je reprends où je l'avais laissé... (Oui parce que il y a eu dedans des lectures que je en peu vraiment pas passer sous silence! :angel: )
    Dans l'ordre :

    <image>Après la claque reçue par Le Coeur de l'ogre, j'ai foncé sur un second et j'ai opté pour L de Isabelle Sorente. Essayant de ne pas partir avec trop d'attentes, j'avais décidé de ne rien en connaître avant la lecture et ainsi tout découvrir. Mais le voici pour vous :
    Lucrèce M. est une jeune urbaine intellectuellement et socialement en phase avec son époque. Jusqu'au jour où elle pète les plombs. Abus d'amants, d'émotions, de sexe ou de substances illicites, dans un flash d'extrême lucidité, Lucrèce réalise soudain dans quel monde elle vit. Une découverte si violente qu'elle choisit de disparaître et dans un dernier mail confie à son amant les raisons de sa fuite : J'aurais eu trente ans. Mais je suis née d'L. Je suis de la génération sous L... des drogués permanents qui arpentent chaque jour les rues de la ville pour consommer le régime suivant, le téléphone suivant, le boulot suivant, le vêtement suivant, le corps suivant. Je suis de la génération dont la peau a moins de prix que l'habit... Je suis de la génération des homosexuels qu'on nous fait croire gais parce que nos larmes sont mortes. Je suis de la génération des impuissants.
    Tout est dit... Ce livre est la révolte d'une jeune femme contre la société, contre toute la mécanique de cette société, contre L. Bien des choses se cachent derrière L.
    Au début, le texte est à la fois tranchant acide. Récit rugueux d'une lente descente vers la "folie"... La plume d'Isabelle Sorente est une fois encore incroyable. Une lecture pas toujours évidente bien que pertinente et terrible, elle a encore une fois la force de nous pousser à la réflexion pendant et après la lecture.Malheureusement, je trouve qu'on sent que c'est un premier roman, notamment par l'acidité qui a du mal à se maintenir sur la longueur donnant l'impression de légers "flous" par instant, perdant du coup notre attention et notre assiduité... C'est dommage car le livre aurait gagner à être raccourci...
    Mais le plus décevant fut la fin (je veux dire les toutes dernières pages) qui m'a rendu le message du livre incompréhensible du coup... Du coup, cette fin gâche un peu l'ensemble de la lecture... Bien mais dommage...


    Je suis de la génération dont la peau à moins de valeur que l'habit.



    :grat: :zzz Le chemisier de Bastien Vivès : Je l'ai vu passer, je ne sais pas combien de fois sur LA, ça m'a rendu curieux, je l'ai eu à porté de main alors je l'ai saisi... Une preuve de plus que les "livres dont on parle" ne sont forcément des références... Car en effet, je n'ai toujours pas compris ce que j'ai lu... De quoi est-il réellement question dans ce roman graphique? Quelle est la réelle symbolique de ce chemiser? L’enchaînement des événements n'a-t-il réellement ni queue ni tête? Comment toucher ou amener un message avec des personnages si fades?
    Difficile à dire tout ça puisque aucun des thèmes (qui me semblent) abordés n'est véritablement exploité comme il faut et encore moins jusqu'au bout...
    Bref plat et insipide... passer votre chemin...


    =) :chaispas: Légendes du mythe de Cthulhu, tome 2 de H. P. Lovecraft et August Derleth : Je ne m'étendrai pas car, je n'ai pas grand chose de plus à en dire que ce que j'ai déjà dit du premier... Ici c'est un peu la même chose sauf que globalement ça m'a semblé un cran en dessous... Sinon et bien comme pour le tome 1, certaines idées/atmosphères sont plutôt bien trouvées, voire même appréciable sans être dingue. mais une fois encore, quel fossé entre ces plumes "hommages" et celle du maître...
    Sympa mais sans plus...

    La suite demain à mon avis. ;)

    Portez-vous bien d'ici là;)

    Dernière modification par Aealo (22 Octobre 2019 01:01:02)

  • Cervus

    Lecteur fou

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    #634 22 Octobre 2019 17:55:10

    Il est temps pour la sweet ! (mais salée plutôt...)

    <image>Livre étonnant à plus d'un titre et mystérieux à plus d'un autre, Possédées de Frédéric Gros aura eu le mérite de me sortir un peu de mes habitudes (l'historique n'étant pas mon genre habituel) et de répondre au critère du prochain Cercle de Lecture (ah oui! ça aussi il faudra que je vous en reparle!). Résumé :
    En 1632, dans la petite ville de Loudun, mère Jeanne des Anges, supérieure du couvent des Ursulines, est brusquement saisie de convulsions et d'hallucinations. Elle est bientôt suivie par d'autres soeurs et les autorités de l'Eglise les déclarent « possédées ». Contraints par l'exorcisme, les démons logeant dans leurs corps désignent bientôt leur maître : Urbain Grandier, le curé de la ville. L'affaire des possédées de Loudun, brassant les énergies du désir et les calculs politiques, les intrigues religieuses et les complots judiciaires, a inspiré cinéastes et essayistes.
    Je ne connaissais absolument pas cet événement, c'est d'ailleurs cette curiosité qui m'a poussé à sa lecture. Alors je vais avoir du mal a en parler car je ne parviens toujours pas à identifier certaines choses...
    Le début est très agréable, la plume de Frédéric Gros permet à l'immersion d'opérer de suite et même si "les événements" tardent quelques peu à se lancer, le tour des personnages tel qu'il est fait n'est pas lourd et permet de parfaitement situer les relations et les personnalités des premiers acteurs de cette histoire. Quelque soit le moment de lecture, l'immersion est toujours extrêmement efficace. Mais certaines phase de l'histoire semblent étirées (sans raison apparentes) alors que d'autres paraissent bien courtes. C'est sans doute du à la documentation que Frédéric Gros a pu trouver ou non (il m'a semblé très bien documenté dans l'ensemble) mais pur la lecture cela peut gêner parfois.
    Par contre ce que je m'explique pas (car ma fatigue à ce moment-là n'explique pas tout), mais il y a eu des moments où j'ai failli le mettre de côté, j'avais du mal à avancer, je ne lisais que quelques pages et je décrochais déjà notamment du à l'impression de piétiner parfois comme je le disais, et puis le style n'était pas toujours simple à suivre me semblait-il mais pas que... Et je ne sais pas l'expliquer... D'un autre côté c'est une machination tellement étonnante que les multiples rouages ne sont toujours tous évident à saisir!
    Malgré tout, au final, ce fut une bonne surprise! Je le conseillerai au Cercle de Lecture.


    La vérité, monsieur, celle des tribunaux, est une domestique. Elle se donne au plus offrant. Si vous n’avez pour vous que la vérité vraie, celle que reconnaît Dieu, monsieur, vous n’avez pas grand-chose.



    <image>J'avais déjà entendu parlé de Qui a tué mon père de Edouard Louis à La Grande Librairie, et je dois bien avouer qu'à l'époque je me suis dit "ça a l'air pas mal, à emprunté une fois à la bibli..." (en somme, pas prioritaire dans mes lectures...) et puis, ma libraire l'a lu et m'en a reparlé de manière inattendue et très différente, je me suis laissé tenter du coup et vu le peu de pages, je l'ai presque lu d'une traite.
    Et je me suis pris une vrai claque! Un des coups de cœur de cette année. Il a beau être court, c'est un texte fort et puissant. Le sujet est dur : la relation difficile entre un père et son fils. Ce livre est autobiographique. C'est donc le portrait d'un père dur, froid, exigeant, carré, taciturne, brute, ... Bref un véritable ours face à son fils un peu trop "différent" des autres garçons à son goût.
    Aimer sans jamais savoir comment le montrer, sans jamais avoir ni le moment, ni la forme... Le gamin devant lire entre les lignes quand il pourra...
    Vous trouvez que tout ça ne colle pas au "résumé" (L'histoire de ton corps accuse l'histoire politique.) et vous aurez raison. Personnellement n'ayant aucune attente particulière, je n'ai pas été "choqué". Mais il est vrai que tout ce que j'ai expliqué jusqu'ici s'applique à l'ensemble d'un livre dont le résumé n'est le reflet que des 10 dernières pages en réalité. Comme dit plus haut, j'ai beaucoup toute la substance principale de ce livre mais je dois avouer avoir beaucoup aimé cette dernière partie "politique" également et regretté qu'elle ne fut pas plus développée.
    Ce qui m'aura le plus marqué dans ce livre ce sont les punchlines : certaines sont de véritables uppercuts je trouve.


    les dominants peuvent se plaindre d'un gouvernement de gauche, ils peuvent se plaindre d'un gouvernement de droite, mais un gouvernement ne leur pose jamais de problèmes de digestion, un gouvernement ne leur broie jamais le dos, un gouvernement ne les pousse jamais vers la mer.La politique ne change pas leur vie, ou si peu.Ca aussi c'est étrange, c'est eux qui la font la politique alors que la politique n'a presque aucun effet sur leur vie. pour les dominants, le plus souvent, la politique est une question esthétique : une manière de se penser, une manière de voir le monde. pour nous c'était vivre ou mourir.



    :zzz:euhnon: Un thé dans la toundra de Joséphine Bacon : Je ne sais plus d'où je connaissais ce livre... mais j'en avais entendu du bien et le titre m'avait fait sourire... Et bien il n'y a que le titre d'agréable dans cette lecture décevante... Où est la "belle" poésie? Traduire les poèmes en parallèles ne les rend pas plus intéressant... Et pire que tout ça, au bout d'un moment, devient très répétitif dans ses thèmes, dans ses images alors que ça ne fait que 96 pages... C'est dire...

    :-):clapi:La confusion des sentiments de Stefan Zweig : C'est ma troisième lecture de Zweig cette année donc je vais éviter de me répéter à nouveau. On lit du Zweig pour sa belle plume maîtresse des émotions et des sentiments. Cette lecture-ci ne fait pas exception. C'est du Zweig pareil à lui-même : très bon. Petit bémol pour la fin des toutes dernières pages.

    O_o :-) Le jour où le bus est reparti sans elle de Béka, Marko et Maëla Cosson : Très jolie idée, très jolie forme, , un bel outil de réflexion pour commencer à voir les choses autrement. C'est mignon et très touchant, pas trop lourd. Ca remplit parfait son objectif.
    A lire et à offrir (à mon humble avis)

    Voilà! :yeah: C'est tout pour le moment, mais Civilizations ne tardera pas, je l'ai presque terminé. Databiographie devrait le suivre assez vite également.

    Mais d'ici là, je vous parlerai du Cercle de Lecture que j'ai zappé. ^^

    D'ici là, portez-vous bien! Je vous souhaite de douces et/ou pertinentes lectures!

  • honha

    Surfeur des couvertures

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    #635 22 Octobre 2019 18:21:52

    Aealo a écrit

    [justify]La confusion des sentiments de Stefan Zweig[/b] : C'est ma troisième lecture de Zweig cette année donc je vais éviter de me répéter à nouveau. On lit du Zweig pour sa belle plume maîtresse des émotions et des sentiments. Cette lecture-ci ne fait pas exception. C'est du Zweig pareil à lui-même : très bon. Petit bémol pour la fin des toutes dernières pages.


    Bonjour Aealo !
    Oh mais tu peux répéter, il n'y a absolument aucun problème là :D .
    J'ai cru défaillir en lisant ta dernière phrase puis je me suis rendu à la raison : vraisemblablement une erreur de ta part :D . Plus sérieusement, qu'est-ce qui t'a gêné dans les dernières pages ? Leur brièveté ?

  • Cervus

    Lecteur fou

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    #636 23 Octobre 2019 11:02:32

    @honha : Tiens qui voilà! :D Ca faisait longtemps... Je vais finir par croire qu'il n'y a que le mot Zweig qui t'attire. :ptdr:
    Plus sérieusement (comme tu dis), oui après avoir raconté les événements comme il l'a fait, j'ai trouvé que c'était un peu "sec" comme fin...



    Bonjour à toutes et tous,

    J'ai oublié de vous parler du Cercle de Lecture de Septembre. Le thème était Thriller.

    Livres présentés dans le thème :
    - La Nuit de l'ogre de Patrick Bauwen
    - Larmes du crimes de Michel Claise
    - L'homme aux cercles bleus de Fred Vargas
    - Coule la Seine de Fred Vargas
    - Je sais pas de Barbara Abel
    - Plein gaz de Stephen King et Joe Hill
    - Shibumi de Trevanian
    - Soeurs de Bernard Minier
    - Charlie n'est pas rentrée de Nicci French

    Auteurs évoqués durant les échanges (souvent par comparaison avec d'autres livres de la listes ci-dessus) :
    - Maxime Chattam
    - Henning Mankell
    - Donna Leon
    - Franck Thilliez

    Peu de véritables surprise, je m'attendais même encore à d'autres mais dont on n'a finalement pas parlé.

    Prochain thème : Historique (j'ai déjà une lecture de faite dans ce thème et une seconde est en route).

    Je vous souhaite de belles aventures littéraires!

    Dernière modification par Aealo (23 Octobre 2019 11:03:44)

  • Catyladya

    Restaurateur de livres

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    #637 23 Octobre 2019 18:55:04

    Yeaaaah trop contente de te revoir par ici :yeah:
  • Mange-Nuages

    Guide touristique des librairies

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    #638 23 Octobre 2019 20:00:50

    Aealo a écrit

    :grat: :zzz Le chemisier de Bastien Vivès : Je l'ai vu passer, je ne sais pas combien de fois sur LA, ça m'a rendu curieux, je l'ai eu à porté de main alors je l'ai saisi... Une preuve de plus que les "livres dont on parle" ne sont forcément des références... Car en effet, je n'ai toujours pas compris ce que j'ai lu... De quoi est-il réellement question dans ce roman graphique? Quelle est la réelle symbolique de ce chemiser? L’enchaînement des événements n'a-t-il réellement ni queue ni tête? Comment toucher ou amener un message avec des personnages si fades?
    Difficile à dire tout ça puisque aucun des thèmes (qui me semblent) abordés n'est véritablement exploité comme il faut et encore moins jusqu'au bout...
    Bref plat et insipide... passer votre chemin...


    MAIS TELLEMENT.
    Je me suis ennuyée, s'il y a un message, je cherche encore...

  • Mypianocanta

    Gardien du savoir

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    #639 23 Octobre 2019 20:33:26

    Bon ben sans grande surprise, mis à part le Zweig qui n'est pas celui qui m'a le plus marqué, je ne connais aucun des livres dont tu parles.
    Et je suis très curieuse des lectures historiques… c'est un genre que j'affectionne particulièrement.
    Bonne lecture :)
  • Cervus

    Lecteur fou

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    #640 23 Octobre 2019 21:27:44

    @Thecatlady : Moi aussi ça me plaisir de repasser, vous revoir et causer une brinc . :yeah:

    @Mange-Nuages : Et c'est dommage car ce chemisier aurait pu être symbole de quantité de chose, générant ainsi des messages pouvant être intéressants... Comme quoi, certaines idées sont faites pour ne pas être exploitées... :chaispas:

    @Mypianocanta : Ce ne sera pas le Zweig qui me marquera non plus. Je dois bien l'avouer. =) Pour ce qui est des lectures historiques, ce n'est pas mon genre de prédilection même si je me suis rendu compte que j'en avais un certain nombre dans ma pal, j'avais l'embarras du choix. Possédés répondait en même temps au CdL et au LDPA donc, l'occasion de faire d'une pierre deux coups. Je suis très curieux aussi des lectures que mes camarades présenteront. ^^
    Si tu affectionnes particulièrement l'historique, je pense que Civilizations que je suis en train de terminer devrait te plaire c'est une uchronie mais une uchronie bien réfléchie je trouve. Mais j'en reparle très vite. ;)


    Ce soir, elle tourne en boucle, elle me donne la chaire de poule, j'ai envie de partager une chanson ici...
    Ibrahim Maalouf - Red & Black Light