Synopsis
La France de Napoléon III vue par Zola : " A cette heure, Paris offrait, pour un homme comme Aristide Saccard, le plus intéressant des spectacles. L'Empire venait d'être proclamé... Le silence s'était fait à la tribune et dans les journaux. La société, sauvée encore une fois, se félicitait, se reposait, faisait la grasse matinée, maintenant qu'un gouvernement fort la protégeait et lui ôtait jusqu'au souci de penser et de régler ses affaires. La grande préoccupation de la société était de savoir à quels amusements elle allait tuer le temps. Selon l'heureuse expression d'Eugène Rougon, Paris se mettait à table et rêvait gaudriole au dessert... L'Empire allait faire de Paris le mauvais lieu de l'Europe. "
Moyenne
15.2
503 votes
BON
35 éditions pour ce livre
2022 Editions Le Livre de Poche (Classiques)
412 pages
1er janvier 2022
ISBN : 9782253003663
2021 Editions Flammarion (GF)
456 pages
ISBN : 9782080247469
2018 Editions Folio (Classique)
384 pages
ISBN : 9782070411412
2014 Editions Folio (Classique)
448 pages
16 janvier 2014
ISBN : 9782070450695
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66 commentaires
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J'ai été un peu déçu de ce tome des Rougon-Macquart. Je n'ai pas bien compris les parties où Saccard spécule sur les biens immobiliers qui sont sur l'emprise des futurs boulevards d'Haussman. Il s'agissait de la thématique qui m'intéressait le plus en commençant la lecture, donc j'ai été un peu désappointé en le lisant. Le style, en revanche, est toujours absolument merveilleux.
J'ai commencé la lecture de La Curée dans le cadre scolaire et j'ai eu un réel coup de cœur pour la plume de Zola. Je me suis donc lancée dans la lecture de La Fortune des Rougon et ai bien l'intention de lire toute la collection des Rougon-Macquart.
Une page intéressante de l'histoire de Paris, mais un volume de la saga des Rougon-Macquart un peu en retrait.
J'avais adoré "la fortune des Rougon ". Je me suis un peu ennuyé dans " La curée " pas mal de longueurs et trop de descriptions ampoulées. Quelques moment cyniques à souhait tout de même.
Le visage de Paris aujourd’hui doit beaucoup à cette époque et franchement, j’ai eu vraiment eu l’impression d’avoir sorti un casque et un gilet jaune pour me trimballer sur le chantier.