MISE A JOUR EFFECTUEE ! Merci à vous de faire vivre ce challenge de longue haleine :heart:
Errant a écritConcernant la rétroactivité, non je ne suis pas jaloux de Domi, est-ce que je comprend que mes lectures depuis le 1er janvier 2022 peuvent compter ou est-ce que ce ne seront que celles qui s'en viennent?
Bonjour @Errant, et bienvenue à toi !
J'ai revu mon post, et quand je disais que Domi était la dernière à bénéficier de la rétroactivité, je parlais de la rétroactivité au 1er Janvier 2019, qui était inscrite dans le règlement lors de son année de création, et que je n'avais jamais mis à jour... La rétroactivité est toujours valable, mais uniquement pour l'année en cours ! Huhuhu, quelques mois de plus et tu partais de zéro =D
Ca fait très longtemps que je n'avais pas posté mes propres mises à jour...
Titre : The Honey-Don't List
Auteur : Christina Lauren
Etat : UTAH
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chronique :
Franchement, je suis surprise. C'est le second roman que je lis de ce tandem, initialement à la recherche de tropes utilisés dans le monde de la romance pour faire une tier-list (longue et fun histoire). Et finalement... bah je les aime bien, ces nanas. Je n'ai lu que des standalones, parce qu'à mes yeux en romance les sagas sont un long naufrage à base de triangles amoureux qui n'en finissent pas... Et ce roman n'est rien de tout ça. En réalité, plus qu'une histoire d'amour, ça raconte une histoire de haine, quand un mariage tourne au vinaigre mais qu'on est célèbre et que rien n'importe plus que notre image médiatique. Ca raconte une histoire d'exploitation professionnelle, de vol d'idées et de chantage aux émotions bien toxique qui font que l'héroïne a fini par trouver tout le non-sens qui l'entoure parfaitement normal... Un roman qui raconte plus qu'une histoire d'amour, et qui a le mérite de faire ricaner par-ci par-là, c'est toujours bon à prendre !
Titre : L'Anti-Lune de Miel
Auteur : Christina Lauren
Etat : HAWAI
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chronique :
Dire que je pensais ne jamais réussir à valider cet Etat ! Avec un roman qui est à deux doigts de me réconcilier avec la romance, en plus. J'ai ri, énormément. Cette magnifique lune de miel totalement foutue en l'air pour la soeur de l'héroïne et son mari, victimes d'un dantesque empoisonnement alimentaire le jour de leur mariage, ça c'est un postulat de base original ! J'ai aussi apprécié que l'héroïne soit latina, un peu de diversité c'est sympa. Ces nanas écrivent des romances qui évitent beaucoup de clichés toxiques qui m'exaspèrent tant, c'était une chouette rencontre qui a mis à mal mes idées établies sur un genre que je ne porte pas vraiment dans mon coeur.
Titre : Une Dose de Rage
Auteur : Angeline Boulley
Etat : MICHIGAN
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chronique :
Un thriller qui, en tant que tel, ne casse pas trois pattes à un canard (j'ai identifié le trafiquant de drogue au bout de 60 pages, alors que je suis usuellement la bonne poire qui ne voit rien venir...), mais ce n'est pas la force de ce livre. Des personnages bien écrits, au service d'un état des lieux SORDIDE sur les conditions de vie des natifs américains dans notre bon vieux XIX° siècle. Un endroit où l'alcoolisme et le suicide sont au beau fixe, où les communautés sont presque livrées à elles-mêmes et où le seul moyen de survivre est d'exploiter l'aspect cliché d'une culture fantasmée par les touristes, mais qui refuse de mourir, ou d'accepter la construction sur ses terres d'un casino, souvent dans des Etats où les jeux d'argent sont interdits. Ce qui amène son lot de trafics, de magouilles et d'hommes alcoolisés qui vont "violer de l'indigène" avant de rentrer chez eux, où ils ne pourront jamais être poursuivis pénalement. Un roman incroyable pour ce qu'il dit d'une communauté à laquelle on a tout volé, mais qui refuse de rendre les armes.
Titre : Ces Hommes qui m'Expliquent la Vie
Auteur : Rebecca Solnit
Etat : CONNECTICUT
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chronique :
Un recueil de pensées issues du cerveau de cette femme qui a "fait le buzz" il y a quelques années en inventant le mot mansplaining. En réalité, en dehors du premier segment du livre, qui parle de cette fois où un homme lui a expliqué pendant un quart d'heure le contenu du livre qu'elle avait elle-même écrit, j'ai trouvé ce livre un peu décevant. Ca reste un peu en surface, ça parle sommairement de choses qui ont été approfondies ailleurs. Je pense que c'est un essai sympa quand on commence à s'intéresser au féminisme et à l'intersectionnalité, mais... il arrive trop tard pour moi, en somme.
Titre : Sur la Route
Auteur : Jack Kerouac
Etat : IOWA
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chronique :
Lors d'un Bookclub du Tribunal des PàL, j'avais exprimé mon doute vis à vis de Kerouac. J'avais peur que ce ne soit qu'un récit de mec qui picole et se drogue non-stop pendant qu'il sillonne les Etats-Unis... j'ai décidé d'y donner une chance malgré tout. Et c'est exactement ce que je pensais que c'était. Mais même pas un voyage intéressant, au final. Je ne dis pas que c'est nul, parce qu'il faut pas cracher sur un homme si admiré, mais je n'y ai trouvé que quelques moments de beauté entre beaucoup trop de réflexions nauséabondes, de bitures et de parties de jambes en l'air sous influence. Je me suis solidement emmerdée.
Titre : Horrorstör
Auteur : Grady Hendrix
Etat : CAROLINE DU SUD
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chronique :
Un roman d'horreur qui a quelques passages un peu flippants, surtout lus dans les bonnes conditions. L'objet-livre en lui-même est incroyable, c'est vraiment un livre-concept, qui tient plus de la comédie horrifique qu'autre chose !
Titre : The Cabin at the End of the World
Auteur : Paul Tremblay
Etat : NEW HAMPSHIRE
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chronique :
Franchement je n'ai pas vraiment apprécié ma lecture, mais en y repensant par la suite, j'ai plein de choses positives à dire dessus. Bizarre, non ? On suit un couple d'hommes et leur fille, partis en vacances dans un chalet, pris en otage par un groupe de gens étranges qui leur demandent de sacrifier l'un d'entre eux pour sauver la planète. Jusqu'à la fin, on ne saura pas s'ils ont raison, ou s'ils sont fous, ce qui en fait un roman fantastique dans le sens traditionnel du terme. J'ai apprécié le personnage de la petite, attendrissante comme tout (et c'est pas si courant les personnages d'enfants qui te donnent pas envie de leur mettre des baffes...), et certains moments du moment m'ont vraiment pas mis bien, mais je n'irai pas jusqu'à le recommander.
