Synopsis
Elle vit à Nuuk, la capitale du Groenland. Elle est inuite, jeune, moderne et pleine d’humour. Elle est amoureuse de sa copine. Elle a été acceptée à l’Université d’Aarhus au Danemark et va enfin sortir du nid familial. Mais l’arrivée sur le continent réveille en elle une souffrance muette, une fêlure qui tue lentement le goût de vivre. Un événement tragique dans sa belle-famille la rappelle opportunément dans l’est du Groenland, au pied de la Vallée des Fleurs où, contre toute attente, la beauté des montagnes déclenche chez elle le début d’une rupture radicale. Elle, qui enfant avait sauté d’une fenêtre pour s’envoler, va chercher à retrouver à tout prix sa liberté perdue.
Après le succès international de Homo sapienne, Niviaq Korneliussen revient avec un chef-d’œuvre d’hypersensibilité et d’audace dans lequel elle aborde de front le difficile sujet des épidémies de suicide qui touchent son pays natal.
Après le succès international de Homo sapienne, Niviaq Korneliussen revient avec un chef-d’œuvre d’hypersensibilité et d’audace dans lequel elle aborde de front le difficile sujet des épidémies de suicide qui touchent son pays natal.
Titre original : Naasuliardarpi (2020)
Moyenne
15.1
30 votes
BON
3 éditions pour ce livre
2023 Editions 10/18 (Littérature étrangère)
Traduit par Inès Jorgensen
336 pages
15 juin 2023
ISBN : 9782264081131
2022 Editions La Peuplade
384 pages
20 janvier 2022
ISBN : 9782925141105
Qui a lu ce livre ?
48 membres ont lu ce livre
1 membre lit ce livre
65 membres veulent lire ce livre
46 membres possèdent ce livre
1 chronique de blog
En vous inscrivant à Livraddict, vous pourrez partager vos chroniques de blog !
12 commentaires
Pour poster un message, il faut être inscrit sur Livraddict
J'ai eu beaucoup de mal à m'attacher au personnage principal (qui est un vrai cas, disons le) difficile à comprendre et apprécier... Beaucoup de longueurs et assez déprimant.
Malgré toutes les qualités de ce roman intimiste et mélancolique, il ne m’a pas totalement convaincue, contrairement à son grand frère. La faute à des longueurs qui m’ont parfois ennuyée ? Cela reste une bonne lecture, mais qui, le temps passant, me laissera rapidement davantage une impression – de malaise et de mort – que de réels souvenirs.