Synopsis
Ce premier roman a trouvé le ton elliptique et malicieux pour conjuguer l’univers intérieur de l’enfance avec les bouleversements de la grande Histoire. Grâce à la naïveté fantasque de sa jeune héroïne, Les cosmonautes ne font que passer donne à voir comment le politique pénètre la vie des individus, détermine leurs valeurs, imprègne leurs rêves, et de quelle manière y résister.
Moyenne
15.4
29 votes
BON
3 éditions pour ce livre
2018 Editions Folio
184 pages
7 juin 2018
ISBN : 9782072765025
2016 Editions Verticales
184 pages
25 août 2016
ISBN : 2070187098
Qui a lu ce livre ?
48 membres ont lu ce livre
Aucun membre ne lit ce livre
38 membres veulent lire ce livre
43 membres possèdent ce livre
7 chroniques de blog
- 1
- 2
-
11 Juin 2024SoundandfuryLire la chronique -
28 Janvier 2019MademoiselleMaeve15 / 20Lire la chronique -
03 Septembre 2018joyeux-drilleLire la chronique -
03 Septembre 2018Stephanie-plaisir de lireLire la chronique -
04 Mars 2018Lélé Books15 / 20Lire la chronique
- 1
- 2
En vous inscrivant à Livraddict, vous pourrez partager vos chroniques de blog !
4 commentaires
Pour poster un message, il faut être inscrit sur Livraddict
-
-
17 / 20 Le 30 Septembre 2024 à 17:19 Petite libelluleJ'ai adoré le ton dans ce livre.
Une belle surprise, une belle découverte. -
Le 03 Septembre 2018 à 23:32 joyeux-drille
Un premier roman drôle, mais aussi plein de tendresse et de nostalgie. Une narration originale qui donne un point de vue très intéressant sur l'histoire et le contexte dans lequel elle se déroule : la Bulgarie des années 1980-90. Sur les changements politiques et sociaux que traverse le pays, vient se greffer le passage de l'enfance à l'adolescence et il faut affronter ces changements sans repère
-
16 / 20 Le 23 Janvier 2018 à 20:55 AlhwederUn premier roman que j'ai trouvé très frais. Ce fut un vrai plaisir de me plonger dans cette Bulgarie soviétique puis libérée du point de vue d'une enfant avec l'innocence et la distorsion de la réalité que cela implique et qui sont très bien rendu. Mon seul bémol est vraiment personnel : la narration en "tu". Je comprends l'intimité que cela crée mais je n'aime pas cette personne de narration.