Synopsis
Onze nouvelles noires. Onze brassées de vie ouvrière. Un réalisme rêche teintée d’une piquante dérision. Des récits brut de décoffrage. « L’auteur a travaillé une trentaine d’années sur les chantiers navals à Brest, notamment en tant que charpentier-tôlier. Il n’aime rien tant qu’appeler la fiction pour dire sa vérité. » L’action se situe en partie dans cette « Fin de terre », dans les quartiers populaires et les cales sèches. Dans ces onze récits Yvon Coquil raconte un monde qui fut le sien, une famille avec ses hauts et ses bas, ses fureurs et ses douleurs. Témoin actif des soubresauts, luttes et détresses de cette masse dite ouvrière, il nous conte son quotidien avec cette tendresse fraternelle qui vous remue les tripes.
« Les coudes sont sur les comptoirs, les corps sont meurtris par les conditions de travail, la débrouille est de mise, la grève gronde, les humeurs sont mauvaises, le syndicat n’est pas loin, le passé ressurgit. Ils font de la résistance. Même quand tombent les désespérés. »
« A la fois inspirée, palpable et grinçante, sa griffe agile offre un visa pour un territoire où le prolétariat n’était pas un vain mot. Il n’est pas nécessaire d’avoir une conscience de classe pour apprécier ces nouvelles émouvantes et cocasses. Une lecture vivement conseillée. » Bob polar express
Livre sélectionné et remarqué par le prix Jean Amila-Meckert du Festival Colères du présent d’Arras.
La première édition en grand format est épuisé. Ces textes anars et ouvriers résonnent toujours et cette réédition en poche est une bonne nouvelle.
Yvon Coquil est né à Brest et y a travaillé une trentaine d’années sur les chantiers navals. Une partie de son enfance s’est déroulée dans un village du Centre Bretagne où se situe l’intrigue de « Black Poher », son premier roman, qui a obtenu le Prix du Goéland Masqué en 2008. Depuis, il a publié Métal Amer, une première fois en 2017 chez Sixto et cette fois-ci en poche. En 2023, paraîtra un nouveau recueil dans la même veine, Vagues, toujours aux éditions Goater.
Couverture du peintre Brestois Paul Bloas
« Les coudes sont sur les comptoirs, les corps sont meurtris par les conditions de travail, la débrouille est de mise, la grève gronde, les humeurs sont mauvaises, le syndicat n’est pas loin, le passé ressurgit. Ils font de la résistance. Même quand tombent les désespérés. »
« A la fois inspirée, palpable et grinçante, sa griffe agile offre un visa pour un territoire où le prolétariat n’était pas un vain mot. Il n’est pas nécessaire d’avoir une conscience de classe pour apprécier ces nouvelles émouvantes et cocasses. Une lecture vivement conseillée. » Bob polar express
Livre sélectionné et remarqué par le prix Jean Amila-Meckert du Festival Colères du présent d’Arras.
La première édition en grand format est épuisé. Ces textes anars et ouvriers résonnent toujours et cette réédition en poche est une bonne nouvelle.
Yvon Coquil est né à Brest et y a travaillé une trentaine d’années sur les chantiers navals. Une partie de son enfance s’est déroulée dans un village du Centre Bretagne où se situe l’intrigue de « Black Poher », son premier roman, qui a obtenu le Prix du Goéland Masqué en 2008. Depuis, il a publié Métal Amer, une première fois en 2017 chez Sixto et cette fois-ci en poche. En 2023, paraîtra un nouveau recueil dans la même veine, Vagues, toujours aux éditions Goater.
Couverture du peintre Brestois Paul Bloas
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j'ai eu du mal à saisir toutes les histoires
mais j'ai énormément apprécié l'ambiance