[Suivi Lectures] Aealo

Salut Noemie.lsth !
J’ai vu. ;)
Pour faire simple avec Cthulhu, les H sont toujours avant les U. ;) Au pire, dans un premier temps, tu peux l’écrire avant sans les H et les compléter après. ;) L’habitude vient étonnement assez vite. :D

Enormément de Fantasy dans les recommandations de ta bibliothécaire semble-t-il. ;)
Locke & Key est vraiment bien (meilleur que la série) et Full Metal Alchemist est un des mangas à gros succès que je lisais il y a 10 ans (je m’étonne d’ailleurs qu’on en reparle tant maintenant :grat), mais je n’ai pas été jusqu’à la fin car il n’était pas terminé à l’époque.

J’attends que tu me dises quoi pour Le nom de la rose dans ce cas. ;)

Je n’ai plus les notifications pour le BC (et je ne sais pas pourquoi…) donc je vais essayer de ne pas passer à côté mais si tu vois quelque chose je suis preneur de l’info en effet ! :D Je te remercie !

Passe une bonne fin de semaine !

Salut Ravan,
Je te remercie. Je fais ce que je peux. ;)
Bonnes lectures à toi aussi !

Hello Luhnatic !

Comme tu dis… mais comme je l’ai dis visiblement cette affaire de Cent ans de solitude est personnelle… Elle m’a au moins permis de mettre en lumière les caractéristiques littéraires qui m’irritent car étant le troisième du genre, c’est plus facile de tirer des conclusions sur 3 expériences que sur 2. :D
Je te confirme que je suis moi-même toujours en hésitation… :goutte: Mais le soucis c’est que c’est le genre de livre où le mettre de côté et y revenir plus tard signifie le redémarrer depuis le début la fois prochaine… :goutte: Car déjà les personnage est une jolie petite prise de tête mais surtout vu que les événements n’ont que peu ou pas d’incidence, ils ne marquent pas plus que ça… Je devrais les citer que je ne suis pas certains de les avoir tous et dans le bon ordre (à seulement 130 pages… :goutte:)…

Oui je savais dés son acquisition que Sunstone ne ferait pas long feu. C’est une bulle d’oxygène à plus d’un titre… :pink:

Tu as bien compris pour le potentiel ajout d’une LC sur Le nom de la rose avec Noemie.lsth. ;) Elle tiendra au courant de la suite. Sans problème, ce livre traîne chez pas mal de monde j’ai l’impression ! :D Et puis sa réputation, son adaptation et son épaisseur impressionne aussi mine de rien.

Côté festivals, je t’ai épargné ceux en Belgique car beaucoup sont peu connus de l’étranger sauf le Graspop qui le plus gros festival Metal Belge. Pratique d'être en Belgique ? :grat: Je ne sais pas… Oui on traverse les frontières facilement mais nos ‘’notions’’ d’éloignement sont différentes des françaises car elles sont proportionnelles à la taille du pays… Et puis certains festivals comme le Wacken, Belgique ou pas, c’est à une dizaine d’heure de voiture donc ce n’est malgré tout pas la porte à côté non plus… :goutte: Faut le vouloir ! :D
C’est calvaire de monter à la capitale en Belgique aussi… J’évite Bruxelles autant que possible. Si il y  a moyen de voir un concert ailleurs en Belgique, je prends toujours cet ailleurs (à 2 ou 3 exceptions près). Même si pour les concerts moins Metal, j’ai beaucoup été à Spa (Francofolies), à Bruxelles (malgré tout) ainsi qu’à Amnéville (FR) et Esch-sur-Alzette (LUX).
Oui, c’est vrai que Peter Gabriel était extraordinaire aussi, j’avais juste été un peu déçu de la setlist quand je l’ai vu.

Oh c’est clair qu’avec King on a toujours le choix, c’est même d’ailleurs le problème quand on veut le découvrir : savoir par où commencer ! :D
C’est vrai que loin de moi l’idée de te (sur)chargée en LC mais c’est vrai que de mon côté je suis assez libre. Tout ce qui pourrait me ralentir (outre Cent ans de solitude :ptdr:) c’est un déménagement en août. Mais pour le reste, j’aime garder une certaine liberté dans mes choix de lectures. Le seul petit plaisir-contrainte que je conserve c’est ma participation aux LDPA avec ma partenaire habituelle ! :D
Aaaaah ! La Horde du Contrevent… Si tu te lances j’attendrai ton avis avec impatience ! ^^
Je tiens quand même dire que pour La tour sombre je pensais comme toi à la base, mais ça reste quand même déstabilisant comme lecture, ce n’est malgré tout pas complètement le Stephen King habituel. :goutte: Mais tu as raison de vouloir le faire en marathon, ce sera sans doute plus constructif. ;)

Le prochain Nietzsche, franchement je l’ignore (j’en ai 7 qui m’attendent :tim: donc j’ai le choix ! :ptdr:). On m’a toujours déconseillé Ecce Homo mais il me tente bien tout comme Le livre du philosophe… A la base, je t’aurais dit que ce n’était certainement pas pour tout de suite mais… ma lecture actuelle me redonne envie de lire de la philosophie ! D’ailleurs j’ai sorti Epicure ! Et vu que Nietzsche fait partie des 10 philosophes concernés, je en serait pas étonné que sa lecture me redémange après Philocomix…

Ne pas lire Le Parfum en norvégien, c’est surtout pour toi que c’est rassurant ! :D
Oh mais pour Alice au pays des merveilles (autant prévenir que ça commence à dater  pour moi), ce n’est pas très compliqué car ce sont des problèmes très similaires aux deux autres (aka Cent ans de solitude et Le Parfum).
Bon autant le dire de suite, je n’ai rien contre les personnages d’une certaine naïveté (ex : Thomas J. Ward dans L’apprenti épouvanteur) jusqu’à dépasser un certain stade où ça s’apparente à de la bêtise et déjà en commençant, Alice marche sur la ligne de cette frontière pour moi (en faisant un pas de côté régulièrement du mauvais côté de la ligne)… Ce qui a le don de me la rendre tête à claques…
Mais le vrai problème c’est que cette histoire, comme les autres, possède un fil conducteur mince comme du papier à cigarette (ici : Alice se ballade…) et l’ensemble des événements ne sont (à peu de choses près) qu’une suite de faits sans réelle incidence sur l’histoire (un zapping) et on se retrouve avec une Alice à la fin qui n’a pour ainsi dire pas changé d’un pouce par rapport au début… Une histoire qui n’a rien changé (ou presque) pour son univers ou son héroïne est une histoire qui n’a que peu (pour ne pas dire pas) d’intérêts pour moi… Et quand j’ai commencé le tome 2, et que c’était pareil, j’ai dit non-merci et j’ai stoppé là. Ces ‘’symptômes’’ ont quelques points communs avec Le Parfum et Cent ans de solitude…
Et je sais que dans le cas d’Alice on pourra me répondre c’est de la fantaisie pour la fantaisie alors je suis désolé mais moi, ça ne m’intéresse pas… A nouveau une suite de faits en zapping sans (réflexion sur leurs influences ou leurs) conséquences, ça me parait tellement facile et plat. En effet, sans conséquence pas besoin de réfléchir (puisque les choses n’ont peu pour ne pas dire pas importance), il suffit de balancer des éléments/événements à la suite. Je trouve cette façon de ‘’raconter’’ outrageusement flémarde de la part de celui qui ‘’raconte’’… :goutte:
Mais j’ai bien conscience que je suis visiblement un des rares que ce genre de choses exaspère. :D je l’ai vu avec la LC Le Parfum et je le vois encore avec la LC Cent ans de solitude. Tant pis pour moi mais au moins, maintenant je le sais. ^^
D’ailleurs, ce passage dans Sauvage m’a parlé de suite :
Comme dans plein de livres qu'on lit, c'est comme ça que ça se finit, sur quelqu'un qui revient à son point de départ, changé. J'imagine que ça n'aurait aucun intérêt de lire une histoire où à la fin le personnage principal n'est pas changé par rapport à ce qu'il était au départ.

Merci pour l’info sur 2001 : L'odyssée de l'espace. ;)

Ah ça ne m’étonnerait pas, la traduction, ça fait beaucoup ! :goutte: Plus que ce qu’on a tendance à croire ! Mais c’est toujours bon à savoir pour Bilbo ! ;)
Owh ! Je n’imaginais pas que c’était ainsi les Contes et légendes inachevés ! J’ai visiblement été mal informé à son propos… :D
Je comprends, si l’expérience a été meilleure, autant tenter de faire de même avec le SdA. ;) D’ailleurs je l’ai en attente mais je en sais pas quelle traduction j’ai… :grat Comment le savoir ?

Oui oui c’est bien ça, c’est Mange-Nuage qui a mis Lait et miel dans son top des découvertes par l’intermédiaire d’un/une autre LA (et devine qui est cette personne… :sifflote:).
Oui, je pense que le jour où je voudrai passer le pas, ce serait une bonne porte d’entrée… :grat:

Franchement, je n’avait jamais fait le lien entre La Fontaine et Blacksad (comparaison à première vue improbable) mais il y a de ça en effet ! :D
Joli parallèle ! :salutations:

Bon week-end et bonnes lectures à toi ! ;)

Salut Cendre
Disons certains suivis sont marqués par le nombre de réponses, sur celui-ci c’est la longueur des réponses. :D Mais ça ne me déplait pas bien au contraire, on apprend plus à connaître les gens. Se poser et discuter/échanger reste un des grands plaisir de la vie ! =)

Non je ne te pousserai pas à lire Deadly Class vu la déception que j’ai ressenti. Il n’y avait qu’un seul et unique personnage auquel j’ai accroché et ce n’est pas suffisant pour passer outre de tout le reste : prometteur mais décevant… Oui c’est dommage…

Euh… Je ne comprends pas bien ton propos… J’ai déjà lu Moi, ce que j'aime, c'est les monstres il y a très peu : ici.

A vrai dire, tes propos sur Cent ans de solitude ne sont pas rassurants puisque visblement il n’y a pas de mieux par la suite… :goutte: Pour un final ‘’moyen’’ qui plus est… Au stade où je suis, je ne suis pas certain que l’effort que ça me demande en vaille la chandelle…

Oui je dois bien avouer avoir été étonné du nombre de réponse face à ma lecture de Sunstone… Je ne m’attendais pas à autant… Ca avait été la mêm chose avec le manga Attache-moi. Il faut croire que ce genre ‘’d’univers’’ plait à plus de monde qu’on ne pourrait le croire (surtout quand il est plus intelligent que les 99% des sources qui parlent du même sujet).

Oh mais je suis enchanté que tu aies lu au-delà de cette phrases ! Surtout dans des cas comme ça, c’est un bonheur d’être contredit ! ;)

Je te souhaite de bonnes lectures ! ;)

Salut Premiere-Neige,
Mais de rien, c’est toujours un plaisir de partager des œuvres comme celles-là, surtout quand elles sont intelligentes et qu’elles cassent les clichés à 2 balles générés par l’utilisation non-réfléchi de ce genre d’univers (la littérature avec les exemples monstrueux que tu cites mais aussi le ciné qui en copie plusieurs parmi celles de la littérature, la pop culture pour l’intérêt du visuel et rien d’autre, j’ai vu récemment que même la mode s’y mettait… :goutte: L’esthétique c’est une chose mais il n’y a pourtant pas que ça…).
Oui, pour moi, c’est une vraie relation avec tout ce qu’elle peut générée (doutes, questions, plaisirs, rencontres…) et tout ce qui peut la composer (confiances, échanges, …) mais avec en ajout le BDSM,  pour le cadre mais aussi pour la complication du jeu des positions dominatrice/soumise dans la relation (qui ne sont pas forcément les mêmes positions dans la vie ‘’hors des jeux’’). Le BDSM donc pour cadre mais de manière bien incrustée dans l’histoire et qui, il ne faut pas se le cacher, ajoute aussi au plaisir des visuels.
Tu m’en vois ravis ! Je serai enchanté de lire ton avis lorsque tu le liras ! ;)

Passe un bon week-end !

Imprévisible comme la vie

Partager ce qu'il y a dans le sang, y a pas moyen d'être plus proche d'une autre personne.

<image> Non, je n’avais jamais, au grand jamais, entendu parler de ce livre. Mais une telle couverture dans les rayons ne pouvait qu’attirer l’œil ! Et sur ce coup-là, ça n’a pas raté ! Je m’en suis saisi. Sauvage de Jamey Bradbury… Ca ne me dit rien mais bon, éditions Gallmeister, c’est déjà un point pour le livre… Avant de sauter dessus (ce que je ne fais jamais quand je ne connais pas du tout), je l’ai retourné pour lire le synopsis :
À dix-sept ans, Tracy Petrikoff possède un don inné pour la chasse et les pièges. Elle vit à l’écart du reste du monde et sillonne avec ses chiens de traîneau les immensités sauvages de l’Alaska. Immuablement, elle respecte les trois règles que sa mère, trop tôt disparue, lui a dictées : «ne jamais perdre la maison de vue», «ne jamais rentrer avec les mains sales» et surtout «ne jamais faire saigner un humain». Jusqu’au jour où, attaquée en pleine forêt, Tracy reprend connaissance, couverte de sang, persuadée d’avoir tué son agresseur. Elle s’interdit de l’avouer à son père et ce lourd secret la hante jour et nuit. Une ambiance de doute et d’angoisse s’installe dans la famille, tandis que Tracy prend peu à peu conscience de ses propres facultés hors du commun.
Malgré ce synopsis plutôt long, j’ai eu la surprise de constater qu’il ne divulgâche rien… Bien au contraire…
Je vais essayer de mon côté également de me débrouiller pour ne pas divulgâcher quoi que ce soit non plus. Mais autant être franc, ça va être compliqué de développer véritablement tant le synopsis reste flou et ne raconte rien du contenu. (Dilemme donc... J’ai l’impression de revenir à la rédaction de mon avis sur Débâcle, avec lequel bizarrement il y a quelques points communs, peu nombreux mais pertinents tout de même).
Je vais donc malgré tout essayer d’être le plus clair possible. :goutte:

Certaines douleurs restent en nous, même si on ne s'en souvient pas.

Nous sommes donc en pleine forêt d’Alaska, un cadre froid et souvent neigeux mais surtout empli de nature à perte de vue. Dans une habitation perdue au milieu de ces forêts, vit Tracy avec son père et son frère.
Tracy est amoureuse folle de nature, impossible pour elle de rester enfermée à l’intérieur plus de 2 jours (et ça c’est déjà une torture en soi !). Elle ne se sent nul part plus à sa place qu’en pleine nature. Mais elle ne fait pas n’importe quoi dans la nature, elle cherche à chasser, à poser des pièges, à se fondre dans celle-ci le plus possible. Bref presque une prédatrice ! Malgré son impulsivité, elle a une seconde passion : le mushing (oui moi aussi je ne connaissais pas ce mot-là avant de lire ce livre !), les courses de chiens de traineaux. Dans la famille, ils en élèvent. Il faut dire que le père est un ancien champion !

Quand quelqu'un disparaît de votre vie, vous vous attendez à ce que cela change tout, à tout jamais, et, d'une certaine façon, c'est bien ce qui se passe. Mais pas autant que vous auriez pu le croire. (...) On continue à manger, à dormir, à se réveiller. La neige fond, les arbres et l'herbe reverdissent, les jours rallongent puis raccourcissent. La neige revient, presque un an a passé, et on se surprend à continuer à vivre, malgré le pire.

Mais voilà depuis le décès de sa mère, l’ambiance dans la maison n’est plus très joyeuse… Le père a pour ainsi dire arrêté le mushing, les chiens de leur élevage sont de moins en moins nombreux car il faut bien payer les factures, la relation avec son père n’est plus ce qu’elle était, son frère est plus secret et renfermé que jamais. Son seul moment de liberté reste ses sorties en forêt… Mais ce qu’elle fait en forêt est plutôt particulier… Et puis, à force de sortir en forêt, on risque de croiser des vagabonds et tous ne sont pas bien intentionnés… (avec un résumé pareil, qui peut s’étonner qu’il y ait une comparaison notamment avec Stephen King sur le bandeau, car mettez la même histoire dans le Maine et on en est pas si loin. :D)

Le problème quand on a un secret c'est qu'on en a vite deux. Puis trois, puis tellement qu'on finit par avoir l'impression que tout risque de se déverser sitôt qu'on ouvre la bouche.

<image>
Je n’ai qu’une seule certitude à propos de cette lecture, qu’on peut apprécier ou détester : son imprévisibilité !
Cette caractéristique, je pense plutôt l’avoir appréciée (oui oui même ça je n’en suis pas certain à 100%) malgré plusieurs choix scénaristiques qui m’ont parus étonnants…
En effet, quelque soit ce que j’ai eu en tête d’un bout à l’autre durant cette lecture, je ne suis jamais, absolument jamais, parvenu à anticiper quoi que ce soit !
Alors pourquoi cette pointe de scepticisme à ce propos me direz-vous ?
C’est très simple.
Comme tout lecteur, j’adore être surpris ! Je ne demande pas mieux que d’être pris au dépourvu en voyant mes projections et mes impressions de certitudes pour la suite se faire balayer par un contre-pied.
Mais également, comme tout lecteur, j’ai des ‘’attentes’’ face à une histoire  et finir un livre en ayant une histoire qui a systématiquement avancé en dehors du cercle des attentes du lectorat, rend la satisfaction de celui-ci plus difficile à obtenir… (voir théorie du cercle des attentes si ça vous intéresse comme en improvisation théâtrale, en psycho ou en marketing)
Ca ne veut pas dire que le livre n’est pas bon. C’est plutôt que j’en sors content d’avoir été surpris certes, mais ce fut à un point tel qu’aucune attente n’a été rempli ce qui est il faut le dire, très déstabilisant et rend difficile la possibilité de dire que j’ai complètement aimé/adoré ma lecture (la satisfaction étant en déroute)…
Je ne sais pas si je suis très clair, je l’espère… :goutte:

Vous avez beau vieillir, quel que soit l'âge que vous atteignez, vos parents l'auront atteint avant vous, seront déjà passés par là, et ça a quelque chose de réconfortant. Comme un sentier que vous ne connaissez pas, dans la forêt, sur lequel il y aurait des traces de pas qui vous diraient que quelqu'un l'a déjà emprunté. Jusqu'au jour où vous arrivez à l'endroit où ces traces s'arrêtent.

Donc oui, malgré le recul que j’ai pris, oui c’est une bonne lecture mais elle continue de me laisser pantois…

Pour tout vous dire, en fermant le livre, je suis resté dans un silence empli de scepticisme… Comme j’en ai rarement connu… Avec une seule et même pensée qui tournait en boucle : ‘’Ben putain, c’était spécial…’’

Il ne m’est pas permis de développer grand-chose malheureusement…
La plume est agréable et plutôt fluide j’ai trouvé. Elle est au service d’un genre multiple : on y trouve du fantastique présent en partie, de l’aventure en un sens, du thriller quelque part, une petite part de drame en quelque sorte. Un objet littéraire atypique et difficilement classable en somme. J’ai envie de vous dire (même si ce n’est pas mon genre de me fixer à ce genre de chose) : Bref un Gallmeister quoi…

<image>
Le ciel est clair, avec toutes les étoiles comme une limaille projetée sur un drap noir, et le drap est si vaste qu’il ne se termine nulle part, s’étire encore et encore, toujours plus loin, et vous sentez qu’il pourrait vous aspirer, et vous voudriez presque qu’il vous aspire, juste pour pouvoir faire partie d’un truc aussi grand que ça.

Alors oui comme beaucoup de livres de cette collection/édition, cette plume sait nous parler de la nature, avec des mots qui montrent qu’elle sait de quoi elle parle, avec des mots qui vous font ressentir ce qu’en lisant vous ne pouvez qu’imaginer, avec des mots pourtant simples.
Mais avec ces mots vous y êtes…

Je les ai vues, tu sais. Les aurores boréales.
C’était comment ?
Comme le dit P.K. En plus étrange. C’est comme si le ciel respirait de la lumière.

Mais malgré tout …
Sauvage… Ce livre porte plutôt bien son titre… Il y a quelque chose d’animal et sauvage dans cet environnement tout autour de nous durant cette lecture mais aussi chez l’être humain de cette histoire. Le sang y est présent. Mais aussi le froid de l’Alaska qui imprègne les lignes qui le composent.
J’ai lu quelque part à propos de ce livre ‘’animalité glaçante’’ et je ne sais pas si il est possible de le résumer mieux que ça…

Puis je me suis tenue dehors avec le vent qui se drapait autour de moi, envoyant des bouts de glace et de neige me mordre le visage. Je me suis retournée. J'ai laissé l'instinct et la mémoire me guider vers la maison, invisible dans les tourbillons de neige. Tout était invisible.

Coucou Aealo !

J'avoue que Lock and key, j'ai abandonné au bout de dix minutes. Le jeu d'acteur était vraiment une catastrophe et ça sentait clairement le réchauffé. En plus, j'ai beaucoup de mal à regarder des séries ou des films. Alors si ça ne me plaît pas immédiatement, j'abandonne tout de suite ... Quitte à regarder en boucle la trilogie du Seigneur des anneaux et du Hobbit ! Oui, j'ai fait partie de ces rares personnes qui ont aimé le Hobbit, parce que je n'ai pas lu l'oeuvre originale et que je veux absolument découvrir ce qu'à écrit Tolkien, en fan du Seigneur des anneaux. Sauf que la réalité est assez différente ... J'essaie pour la deuxième fois de lire La communauté de l'anneau, j'abandonnerai pas !

La psychologie des foules ! Ca me rappelle des "bons" souvenirs, j'en ai lu quelques extraits pour écrire mon mémoire et, c'était pas mal accessible à mon sens. Enfin, une bonne base pour analyser tout un prisme sociologique et psychologique de mon mémoire. Après, est-ce que je le lirai en entier, je ne crois pas !

Dans toutes les recommandations de ton cercle de lecture, il y en a quelques unes qui me font de l'oeil. Je ne suis pas très contemporain par contre, ma wish-list contient Sapiens, que je tente de chercher en bibliothèque mais au bout de trois ans, je n'ai toujours pas trouvé leur rayon essai alors que je suis certaine que c'est sous mes yeux ! et Maus qui a été présenté par quelques livraddictiens sur les Top 5. J'étais vraiment dégoûtée quand je me suis renseignée auprès de ma bibliothèque pour l'emprunter parce qu'il avait quitté leur collection :pleur: C'est pas grave, j'essaierai de le trouver d'occasion !

Aaaaah Aki Shimazaki :lol: J'avoue que j'ai vraiment regardé mon livre en soupirant et en étant déjà blasée à l'idée de l'ouvrir, surtout que je voulais absolument valider la consigne avec Hermès ... Finalement, je l'ai réglé autrement... Mais je ne sais pas, la littérature japonaise est très particulière et ça n'a pas toujours été concluant.

Bon me voilà prévenue pour Sauvage mais, ça m'intrigue encore plus justement ! En plus cette couverture est si jolie :pink:

PS : Il faudrait que tu regardes dans les paramètres du salon pour les notifications. Je ne suis pas une experte discord mais, c'est là que je règle toutes les notifications !

PPS : J'édite mon message une nouvelle fois parce que j'ai réfléchi pour Le nom de la rose. J'ai pas mal de LC programmées avant mais du coup, si on table pour fin d'année style mi-octobre, début novembre, ça irait ? :D

Juste cette phrase me donne tout de suite envie de lire le livre je dois être bizarre. Merci pour ton retour, sans ne rien spoiler, je suis du coup très intriguée. Je pense que ce sera une de mes prochaines lectures, mais pas tout de suite, le départ en vacance approche et j'ai emprunté une liseuse au boulot histoire d'éviter d'avoir encore un sac à dos de 15kg :)

Tu lis sur liseuse toi dés fois ?