Berlinoise
Wilfried N'Sondé2015

Synopsis

Moyenne

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MOYEN

30 décembre 1989. Stan et Pascal arrivent à Berlin pour y passer le réveillon. Au pied du mur, que Berlinois et visiteurs sont occupés à détruire dans la liesse générale, ils rencontrent une fille à la peau brune et aux yeux vairons, Maya, qui subjugue immédiatement Stan. Déjà installés tous deux dans des vies grises malgré leur âge, Stan et Pascal sont conquis par la ferveur d’un peuple vivant une formidable réconciliation nationale. Ils décident de rester dans cette ville où tout paraît possible. Texte solaire et sensuel, Berlinoise est un hymne au désordre, à la poésie des corps, à l’ardeur et à la candeur, dans lequel Maya la femme et Berlin la ville sont comme deux incarnations jumelles de l’utopie. Porté par un air de blues qui raconterait l’apprentissage de la désillusion, ce roman d’une éducation politique et sentimentale compose tout à la fois une déclaration d’amour et une lettre d’adieu à la folle jeunesse

2 éditions pour ce livre

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2019 Editions Babel

Française Langue française | 172 pages | Sortie : 6 février 2019 | ISBN : 9782330117139

2015 Editions Actes Sud

Française Langue française | 176 pages | Sortie : 1er janvier 2015 | ISBN : 9782330038861

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2 commentaires

  • Annayg Le 23 Mars 2015 à 23:55
    Des images fortes me restent de cette lecture, sensuelle et intimiste. Dans ce roman, les personnages, tentent de se construire, ivres de musique et de liberté. Ils oscillent entre légèreté de l'être et prises de consciences. J'ai aimé ces personnages pourtant je suis restée un peu sur ma faim, sans trop savoir en expliquer les raisons. Peut-être une lecture trop courte et rapide (?).
  • Laly0321 Le 04 Septembre 2019 à 14:40
    Je n'ai pas du tout, du tout adhéré. L'écriture est très médiocre. Les images employées lors des scènes érotiques sont tout sauf sensuelles et excitantes, et la façon dont l'auteur essaie de nous faire lui envier sa belle lui donne plutôt l'air d'un pauvre type collant et ennuyeux à mourir. J'avais envie de l'effervescence Berlinoise de 89, à la place j'ai pris un Doliprane.

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