Synopsis
Au cours d'une descente de police dans une maison close miteuse maquillée en salon de massage, le lieutenant Yamada rencontre Shiori, une lycéenne fugueuse qui lui rappelle sa propre fille aujourd'hui décédée.
Titre original : Nora to Zassô, book 4 (2021)
Moyenne
17.0
63 votes
TRES BON
Saga Mauvaise herbe Terminée
1 édition pour ce livre
2021 Editions Le lézard noir
Traduit par Aurélien Estager
192 pages
18 août 2021
ISBN : 9782353482153
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10 commentaires
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J'ai trouvé ce manga intéressant dans sa globalité. C'est malheureux de constater que les services sociaux soient débordés au point de laisser des adolescentes livrées à elles-mêmes. La fin est intéressante en ce sens où il n'y a pas réellement de "bon" ou "mauvais" (Yamada, la mère, Shiori...) mais je l'ai trouvée un peu "facile" et évasive.
Une série éprouvante où la tête ne sait plus où donner le cœur et le cœur où donner de la tête. Dans une mer de noirceur, s’engouffrent rayons après rayons de soleil. Et si rien n’est rose, si cette fin abandonne toute facilité les planches ne sont que le reflet, sensible, de la vie. Une saga funambule magistrale de nuances, d’équilibre, d’émotions !
Le dernier tome de cette saga offre une fin très réaliste même si j'aurais préféré que l'histoire s'achève autrement... C'était une belle série de manga, avec des thèmes très difficiles mais également avec des instants de bonheur pur prouvant que la vie est rarement complètement sombre.
Une conclusion touchante et plutôt réaliste pour cette belle série qui illustre une chronique sociale sombre, percutante et alarmante. J'ai aimé le minimalisme du travail graphique, la force de la narration et des sentiments qui y sont transcrit. C'est avec brio que ce quatrième tome achève ce récit, habillant l'ensemble d'un réalisme certain.
Chronique sociale poignante, Keigo Shinzo nous offre le tome parfait pour clore ce genre d'histoire.Je ne suis pas une adepte des récits de société. J'avoue ne pas aimer lire de choses trop dures parce que la réalité l'est assez. Mais ici, c'est fait avec tellement de justesse et de lumière sous la noirceur que je n'ai pu que je n'ai pu que me sentir profondément touchée par cette histoire.