Synopsis
Les journées de Jeshua, jeune propriétaire d'un salon de beauté, sont rythmées par les soins apportés à ses clientes. Coiffure, maquillage, manucure... Il prodigue attention et conseils avec douceur et bienveillance.
La nuit venue, c'est sur lui-même qu'il joue de sa magie. Travesti, il défile avec ses amis sur les trottoirs ou dans les bains publics.
L'arrivée d'une épidémie dévastatrice va bouleverser ce quotidien tranquille.
Jeshua va prendre la dure décision de transformer son salon de beauté en refuge pour malades et devenir le témoin silencieux de la violence sociale et des progrès inéluctables de la maladie.
La nuit venue, c'est sur lui-même qu'il joue de sa magie. Travesti, il défile avec ses amis sur les trottoirs ou dans les bains publics.
L'arrivée d'une épidémie dévastatrice va bouleverser ce quotidien tranquille.
Jeshua va prendre la dure décision de transformer son salon de beauté en refuge pour malades et devenir le témoin silencieux de la violence sociale et des progrès inéluctables de la maladie.
Moyenne
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2 éditions pour ce livre
2024 Editions Dupuis
184 pages
30 août 2024
ISBN : 9791034770366
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24 commentaires
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Sujet poignant et profond, mais les métaphores m’ont un peu perdue. En revanche, j’ai beaucoup aimé les illustrations, surtout la colorimétrie.
Ohlala que c'est beau. Magnifique. Mais effectivement triste. Quentin Zuttion à son apogée.
C'est poétique, c'est dur, c'est beau, c'est triste.
C'est une histoire douce et violente, c'est la mort et la maladie magnifiées par la beauté de ces écailles qui condamnent.
C'est une réalité et ses larmes.
C'est un récit important
Une très belle réalisation visuelle sur la question de la maladie (SIDA) et de sa progression. Un propos que l'on aime sans ambiguité, cash et honnête sur les questions soulevées dans le livre.
En revanche, au bout d'un moment, trop de métaphore tue la métaphore et la beauté de l'objet tue la puissance du propos.
Des graphismes jusqu’aux sujets abordés, cette bande dessinée est une métaphore aussi belle que touchante. Les illustrations sont magnétiques et ensorcèle dès les premières pages, entraînant le lecteur dans cette allégorie d’une maladie très connue tout en évoquant l’amour, l’amitié, les regrets, la mort et la vie. L’originalité du traitement de cette thématique rend le récit d’autant plus beau.