Synopsis
« Tout le monde imagine une vie meilleure, mon pote. C’est ce qui maintient les gens en vie, avec l’envie de vivre, en vrai », déclare Pedro révolté.
Peut-on devenir dealer d’herbe en restant fidèle à ses principes ? Peut-on utiliser les théories de Marx pour conquérir sa dignité ?
Dans les favelas de Porto Alegre, deux rayonnistes de supermarché, aux allures d’un Don Quichotte lettré et d’un Sancho Panza révolté, vont se lancer dans une aventure trépidante pour échapper à leur exploitation dans un travail mal payé et dénué de sens. Entre trafiquants, gangsters et vieux manuels d’économie lus dans les transports publics bondés, entre Marx et Tarantino, un premier roman plein d’humour, provocateur et stimulant.
Peut-on devenir dealer d’herbe en restant fidèle à ses principes ? Peut-on utiliser les théories de Marx pour conquérir sa dignité ?
Dans les favelas de Porto Alegre, deux rayonnistes de supermarché, aux allures d’un Don Quichotte lettré et d’un Sancho Panza révolté, vont se lancer dans une aventure trépidante pour échapper à leur exploitation dans un travail mal payé et dénué de sens. Entre trafiquants, gangsters et vieux manuels d’économie lus dans les transports publics bondés, entre Marx et Tarantino, un premier roman plein d’humour, provocateur et stimulant.
Titre original : O Supridores (2020)
Moyenne
16.7
3 votes
BON
1 édition pour ce livre
2022
Editions Métailié (Bibliothèque Brésilienne)
Traduit par Hubert Tézenas
304 pages
26 août 2022
ISBN : 9791022612166
Qui a lu ce livre ?
4 membres ont lu ce livre
Aucun membre ne lit ce livre
5 membres veulent lire ce livre
5 membres possèdent ce livre
chronique de blog
Aucune chronique de blog pour le moment.
En vous inscrivant à Livraddict, vous pourrez partager vos chroniques de blog !
Pour poster un message, il faut être inscrit sur Livraddict
Les théories marxistes appliquées au trafique de drogue, ça peut fonctionner.
Dans les favelas de Porto Alegre, deux metteurs en rayon d’un supermarché Pedro et Marques vont se lancer dans la vente de cannabis dans leur favela respective. C’est un créneau qui n’était pas pris par les trafiquants de drogue car pas assez lucratif, alors qu’il y a de la demande.