Synopsis
Quatrième couverture :
Nous publions ici trois ouvrages inédits de Valérie Valère, disparue trop tôt, il y a une décade, à 21 ans, et qui nous laisse une oeuvre posthume importante.
Nous avons voulu choisir, dans ce premier volume, trois textes qui nous montrent, s'il en était besoin, que Valérie n'était pas seulement l'auteur du Pavillon des enfants fous, de Malika, la vedette passagère d'une époque, mais aussi un vrai « Mozart de la plume », une plume juvénile, percutante, irremplaçable, toujours moderne, d'une brûlante actualité.
Le premier ouvrage, Vera, est une sorte d'autobiographie romancée, un livre triste d'une jeune fille qui n'arrive pas à se découvrir, à se retrouver, qui s'absente, s'en va et finit par arriver à la seule dimension qui peut lui rester : celle de la mort.
Si Vera est un ouvrage d'introspection douloureuse, Magnificia Love, deuxième roman est une projection brillante des rêves de Valérie. C'est l'histoire d'une divine et superbe tigresse, danseuse devant laquelle tous et toutes se prosternent. Mais Magnificia Love, admirée, vénérée, divinisée, se rappelle sans cesse, en contrepoint, son enfance. Finalement, lasse de séduire, elle cherchera au couvent la consolation du ciel.
Dans un troisième volet nous publions également quelques petits textes poétiques de celle qui fut l'enfant assassinée par le siècle.
Éric Samama, le frère de Valérie a bien voulu, pour la première fois, nous donner sur cet ensemble sa préface-témoignage.
Nous publions ici trois ouvrages inédits de Valérie Valère, disparue trop tôt, il y a une décade, à 21 ans, et qui nous laisse une oeuvre posthume importante.
Nous avons voulu choisir, dans ce premier volume, trois textes qui nous montrent, s'il en était besoin, que Valérie n'était pas seulement l'auteur du Pavillon des enfants fous, de Malika, la vedette passagère d'une époque, mais aussi un vrai « Mozart de la plume », une plume juvénile, percutante, irremplaçable, toujours moderne, d'une brûlante actualité.
Le premier ouvrage, Vera, est une sorte d'autobiographie romancée, un livre triste d'une jeune fille qui n'arrive pas à se découvrir, à se retrouver, qui s'absente, s'en va et finit par arriver à la seule dimension qui peut lui rester : celle de la mort.
Si Vera est un ouvrage d'introspection douloureuse, Magnificia Love, deuxième roman est une projection brillante des rêves de Valérie. C'est l'histoire d'une divine et superbe tigresse, danseuse devant laquelle tous et toutes se prosternent. Mais Magnificia Love, admirée, vénérée, divinisée, se rappelle sans cesse, en contrepoint, son enfance. Finalement, lasse de séduire, elle cherchera au couvent la consolation du ciel.
Dans un troisième volet nous publions également quelques petits textes poétiques de celle qui fut l'enfant assassinée par le siècle.
Éric Samama, le frère de Valérie a bien voulu, pour la première fois, nous donner sur cet ensemble sa préface-témoignage.
Titre original : Véra, Magnificia love et pages diverses (1992)
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Ce livre est au summum de l’insupportable. Personnages détestables et ridicules, histoires inintéressantes et futiles, style d'écriture très répétitif et lourd, rien dans ces récits n'est agréable à lire. Dernier livre de l'auteur, c'est bien triste de voir à quel point son esprit et sa plume se sont dégradés... Valérie Valère en veut à la terre entière et cela n'a jamais été aussi présent qu'ici.