[Suivi Lectures] Aealo

 
  • Miyuki_

    Parent d une bébé PAL

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    #1651 08 Juillet 2021 06:58:20

    Hello Aealo !

    Je vois qu'on a craqué pour quelques livres de chez Monsieur Toussaint Louverture :D J'ai Et quelquefois j'ai comme une grande idée dans ma PAL mais Tous les rois du monde est en attente d'achats. Avec l'été qui est là, on va un peu se calmer niveau achat :lol:

    J'ai vu Monstress sur la chaîne de l'Oli Fant et quand elle a montré les planches, j'étais ébahie par ce style graphique. Du coup, je le cherche avidement à la bibliothèque !

    Je connaissais aucun de trois livres cités et je ne vais en lire aucun :sifflote: Les témoignages, j'évite, le recueil de poésie ne semble pas être le style de poésie que j'aime et la BD, rien que la couverture ne m'attire pas :goutte:

  • Cervus

    Lecteur fou

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    #1652 08 Juillet 2021 19:51:00

    Salut Miyuki-Panda!

    Oh oui! :angel: Et je pense que ce ne seront pas pas les derniers... :chut:
    J'en ai encore trois dont le contenu me tente énormément : La maison dans laquelle (mais il faut que je vois avec le swap on ne sait jamais :angel:), Le dernier stade de la soif et Personne ne gagne.
    Pour les autres, je verrai si le matérialisme viendra me murmurer à l'oreille ou non... :sifflote:

    Tu fais une pause achats en été? :grat:

    Je suis la saga Monstress depuis le premier tome qui m'avait attiré par son graphisme particulier et je l'ai continué pour ça et pour son histoire complexe mais très bien construite.
    J'ai passé le tome 5 sur la chaîne de l'Oli Fant il y a peu en effet. Et je ne peux que lui donner raison! J'ai été enchanté de voir cette saga mise en lumière sur sa chaîne.

    Disons que ces trois livres sont tous les trois particuliers dans leur genre...
    Ce n'est clairement pas par là qu'il faut découvrir Vercors.
    Le ton de cette poésie est très différente de la poésie habituelle donc je te confirme que ce n'est sans doute pas ce que tu aimes en effet.
    Et la BD, en effet, elle se passe presque de commentaire...

    Je te dis à très vite! ;)



    Promis je ne serai pas long…


    Ce discours va être une catastrophe dont on parlera encore dans vingt ans, trente ans, il va traverser les générations, il deviendra une légende urbaine que les grands-parents raconteront le soir pour faire gentiment peur à leurs petits-enfants.


    <image>J’ai découvert il y a quelques années déjà les BD de Fabcaro ! Et plusieurs personnes m’ont très vite parlé de ses romans (deux à l’époque) ! Pendant longtemps j’ai hésité, entre peur d’être déçu par rapport aux BD et incompréhension de comment faire du ‘’Fabcaro en roman’’. :grat: Mais voilà, est arrivé l’annonce d’un film, du coup, je me suis dit ‘’tu te mets un bon coup de pieds au cul et tu te lances dans Le Discours de Fabrice Caro’’ ! Mais comme j’aurais du faire ça plus tôt !

    Pourtant ça part de quelque chose de tellement simple :
    «Tu sais, ça ferait très plaisir à ta sœur si tu faisais un petit discours le jour de la cérémonie.» C’est le début d’un dîner de famille pendant lequel Adrien, la quarantaine déprimée, attend désespérément une réponse au message qu’il vient d’envoyer à son ex. Entre le gratin dauphinois et les amorces de discours, toutes plus absurdes les unes que les autres, se dessine un itinéraire sentimental touchant et désabusé, digne des meilleures comédies romantiques.

    Depuis que je l’ai lu je crois que je n’ai cessé de bassiner mes parents ! :D

    En effet, à travers ce livre ce sont de nos propres expériences dont on prend plaisir à se moquer ! Il est difficile de rester indifférent à tous les exemples et contre-exemples qui nous viennent en tête. On ne peut que penser à nos propres repas de famille ou de mariage !
    Personnellement, je n’ai aucun problème de famille mais je n’ai pu m’empêcher repenser à l’un ou l’autre dîner, à quelques repas tirant en longueur, aux fêtes de mariage pas toujours aussi folles qu’on les voudrait, aux célébrations de communion et autres qui ne sont finalement pas si différentes de celles de mariage…
    Et les conversations qui vont avec… :goutte:


    Pour ma mère, le monde se divise en trois catégories: ceux qui ont un cancer, ceux qui font construire et ceux qui n'ont pas d'actualité particulière.


    Bref cette mécanique d’humour utilisée par Fabcaro fonctionne à merveille ! Mais le talent et la patte de Fabcaro ne s’arrête pas là ! Comme à son habitude, il gère les curseurs pour pointer régulièrement du côté de l’absurde (à dosage alchimique). Il va abuser avec génie, et pour notre plus grand plaisir, de l’humour de répétition, en réutilisant des éléments en apparences anodins la premières fois qu’il les évoque mais qui vont faire montre de toute leur puissance comique dans la réutilisation qu’il en fait hors contexte ! Le tout avec une mesure de cynisme juste comme il faut !
    En d’autres mots, si vous aimez les BD de Fabcaro, vous devriez aimer ce livre !
    Par contre, si vous n’aimez pas Fabcaro, ce n’est pas ce livre qui vous convertira ! Parce qu’il est clair que ce livre ne plaira pas à tout le monde.


    <image>

    Quand apparaît ce "Je me souviens", car il y a toujours un moment où il apparaît, à trois ou quatre reprises par repas environ, quand le vin a suffisamment échauffé son esprit, on se prépare à l'apnée. Il n'y a que ma mère pour l'écouter attentivement, l'air concentré, captivée, prête à le suivre, à relever des approximations narratives et à le relancer si besoin, et c'est peut-être ça la véritable définition de l'amour : écouter attentivement un "Je me souviens". Et chaque fois, j'ai envie de dire, "Mais maman arrête de le relancer, arrête de mettre du carburant dans le moteur sinon on va jamais s'en sortir", et chaque élément apporté par ma mère entraîne une reconfiguration du récit, y greffe de nouvelles arborescences, et des douleurs intercostales commencent à m'assaillir.


    Vous ne verrez plus la chenille ou encore le jus d’orange de la même manière. :ptdr: Non il faudra faire une croix sur cette innocence!
    Mais en contrepartie, vous apprendrez de ‘’nouveaux jeux’’ tel comme celui de ‘’la phrase avec la photo dans le cadre des toilettes’’.
    Mais j’arrête là les références. Je vous laisse le plaisir de découvrir celles-ci ainsi que toutes les autres également ! :D
    Le tout sur la durée d’un seul dîner. ;)

    Vous l’aurez compris, ce livre n’a eu de cesse de me faire rire, de me faire passer un excellent moment ! Certes, il est une de mes meilleures lectures de cette première moitié d’année mais il n’y aura pas que son humour et ses clins d’œil qui m’ont plu dans cette lecture…

    <image>
    Disons-le franchement, il est difficile de ne pas se sentir touché par Adrien (notre narrateur). En effet, nous avons toutes et tous été un peu Adrien à un moment ou un autre de notre vie. Qui ne s’est jamais trouvé dans l’attente d’une réponse tant désirée que l’attente en parait intenable, que le reste du monde semble sans intérêt en cet instant précis de patience imposée, que le doute en devient envahissant ? Nous avons toutes et tous un peu d’Adrien en nous.


    Dans la vraie vie, on ne dit pas J’ai besoin d’une pause, ça ne se fait pas, ce n’est pas inscrit dans les codes sociaux. Lorsqu’on est invité à un repas, par exemple, on ne se lève pas soudain en disant J’ai besoin d’une pause, on ne prend pas son imper dans le vestibule et on ne claque pas la porte sans autre explication et justification que J’ai besoin d’une pause. On dit par exemple je suis désolé, ma mère a fait un AVC, je suis très inquiet, je dois vous quitter, ou bien je suis désolé, je suis vegan, je ne supporte pas la vue de ce gigot et de manière générale tout ce qui rappelle la souffrance animale, ce n’est pas contre vous, je suis hypersensible, excusez-moi, on ne dit pas J’ai besoin d’une pause sans rien derrière, sans rien autour.


    Et face à son désarroi, on ne peut pas rester complètement de marbre…

    Au final, entre ce désarroi et le comique de situation, Fabcaro est parvenu à y glisser ce qui semble être par instant, un peu de poésie je trouve…


    Ludo, tu dois savoir ça, toi : où va le beau quand il n'est plus ? Réfléchis un peu, il doit bien exister un lieu unique où va le beau, quelque part dans l'espace, un trou noir, une dimension parallèle, il doit bien exister un cimetière du beau où, à l'instar des vieux éléphants, il se rend quand il sent sa dernière heure arriver. À moins qu'il ne reste parmi nous, comme le font les fantômes des âmes défuntes.


    La magie de ce livre a complètement fonctionné avec moi !
    Ce livre est un chef-d’œuvre dans son genre !
    Quel plaisir !


    J'ai quarante ans et j'achète des Tic Tac pour cacher à mes parents que je fume, voilà où on en est.


    <image>

    Dernière modification par Aealo (08 Juillet 2021 23:49:15)

  • Grominou

    Administratrice

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    #1653 08 Juillet 2021 23:07:32

    Je ne connais ni ses BD ni ses romans, mais tu m'as donné le goût de le découvrir!
  • Bouledechat

    Passionné du papier

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    #1654 09 Juillet 2021 10:09:23

    Oh là là tu vends bien ce discours ! ;)
    Ce n'est plus trop mon genre de lecture mais ça donne envie là ! Contente que ça ait été une très bonne lecture pour toi en tous cas !
  • Cervus

    Lecteur fou

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    #1655 12 Juillet 2021 21:08:12

    @Grominou
    Je ne peux que t'y encourager avec grand enthousiasme! :D

    @Bouledechat
    Tant mieux car j'ai adoré et je ne demande pas mieux que d'autres personnes le découvre! C'est un livre qui fait du bien! :-)
    Je ne peux que te le recommander! :-)



    Obsession et détermination


    Sur l'échiquier, le danger était partout. Vous ne pouviez pas trouver le repos.


    <image> N’étant pas série, je n’ai pas plongé sur celle-ci. Mais mine de rien, l’histoire me rendait curieux. Je n’avais jamais entendu parler de Le Jeu de la Dame de Walter Tevis avant. Puis je suis tombé sur l’édition de chez Gallmeister et vu que les plupart de mes expériences avec cette maison d’édition sont bonnes, je me suis dit en avant.

    Mais il faut suivre les règles :
    Petite fille, Beth Harmon a appris les échecs à l'orphelinat. Prodigieusement douée, elle devient rapidement une joueuse exceptionnelle. Mais le milieu des échecs est féroce, les intrigues les plus sournoises sont permises, et les Etats vont jusqu'à s'affronter à travers leurs champions respectifs. Solitaire, fragile, mêlant innocence, l'intuition et la stratégie, Beth, isolée dans un monde uniquement masculin, confrontée aux problèmes des insomnies et de l'alcool, sait qu'elle doit emporter les plus grandes victoires sur elle-même. Sa rencontre avec le champion soviétique sera l'occasion d'une confrontation impitoyable.

    Je vais commencer par le commencement : je ne suis pas un pro des échecs ! Je connais le déplacement des pièces mais j’ignore la moindre stratégie de ce jeu.
    Or, j’ai beaucoup aimé cette lecture.
    Donc je commence par rassurer celles et ceux qui auraient peur de se lancer dans cette lecture ‘’parce qu’ils/elles ne connaissent rien aux échecs’’ : aucune inquiétude à avoir ! Ce livre n’est pas un recueil de développement de parties, ni une analyse de stratégie de jeu. Bien au contraire ! Donc oubliez cette peur et lancez-vous ! ;)

    Je vous dis tout ça mais je vous avoue que je me suis lancé sans trop savoir à quoi m’attendre. Et quelle bonne surprise ça a été ! Certes, le livre n’est pas exempt de petits défauts mais cette lecture avançait avec aisance ! J’avais chaque fois envie d’y replonger de retrouver Beth.

    Son esprit était lumineux, et son âme lui chantait la mélodie des délicieux mouvements des pièces.


    Pourtant Beth n’est pas du tout le genre de personnage auquel on peut s’identifier. Mais je l’ai trouvée extrêmement attachante, tant dans ses victoires que dans ses épreuves. Beth est une orpheline qui va découvrir les échecs presque par hasard et qui va se révéler avoir un talent pour ce jeu. Elle visualise très aisément les pions, les mouvements, les mises en place de stratégie.
    Justement un des points très appréciables (et qui joue en la faveur de l’attachement) c’est qu’ici on n’est absolument pas dans l’idéologie du ‘’talent qui réussi tout du premier coup et sans effort’’. On ne va cesser de suivre Beth dans tout : ses réussites faciles du début, ses première difficultés, ses premières défaites, ses apprentissages… On avance avec elle au fur et à mesure. A tel point que je ne voulais plus lâcher Beth tant je m’attachais à elle.

    <image>

    Elle décida de ne pas prendre le pion offert, pour conserver à l’échiquier toute sa tension. C’était ce qu’elle aimait. Elle aimait la puissance des pièces, qui s’exerçait selon des droites et des diagonales. En milieu de partie, quand il y avait des pièces partout, les forces qui s’entre- croisaient sur l’échiquier lui donnaient des frissons.


    Mais Beth n’est pas qu’un talent… Et a aussi son coté sombre… Et là Walter Tevis a eu une très bonne idée. Beth va très vite faire preuve, sans en avoir conscience, de conduites addictives, c’est-à-dire d’attraits pour les produits addictifs. Je ne divulgâche rien puisque cela se comprend très vite.
    Même si j’adore cette idée de la part sombre qui contraste avec le talent de Beth, je trouve que cette facette n’est pas aussi ‘’développée’’ qu’elle aurait pu être. J’ai plus souvent eu l’impression que c’était plus facilement utilisé comme ‘’des contre-temps/péripéties’’ que comme véritablement un trait de personnalité ou un facteur comportemental. Une excellente idée mais pas assez poussée : je trouve ça dommage. D’autant que cela créer des étranges ‘’temps un peu mou’’ dans la lecture.
    C’est sans doute ce qui lui vaut sa classification en ‘’psychologie’’ sur LA mais je ne comprends pas pourquoi… :chaispas: J’ai déjà lu des livres bien plus ‘’psychologiques’’ que ce dernier. D’autant plus que certes, on la suit sans cesse mais on n’est pas à la première personne (donc jamais directement dans sa tête) et ce côté ‘’addict’’ qu’elle peut avoir par instant n’est pas omniprésent non plus…

    Bref ! Peut-être vous demanderez vous comment se passent les affrontements d’échecs dans le livre si on n’en a pas le moindre développement ou ‘’compte rendu’’ des parties. C’est simple. Il nous est décrit ce qui gêne Beth à un moment ou autre ça et là, du genre ‘’tel pion adverse par rapport à tel pion à elle’’. Mais on n’est surtout conscient de ses inquiétudes, de ses stress, de ses pressions, de ses ressentis par rapport à ce qu’elle fait que véritablement à ce qu’elle fait réellement durant les parties d'échecs.
    Alors oui, dans cette lecture, on évoque quand même des ‘’grands noms’’ du monde des échecs (que je suppose réels, je n’ai pas été vérifier) ainsi que des noms de stratégies. Mais il n’est pas nécessaire de les comprendre ou de les connaître pour apprécier cette lecture !

    Ils se dirigeaient vers une fin de partie entre un pion et une tour; l'imprécision n'y avait aucune place. Un moment, elle se sentit engluée, sans but ni imagination, tétanisée par la peur de se tromper. Elle referma les yeux. Il lui restait une heure et demi; elle avait le temps de réfléchir, et de bien réfléchir.
    Elle n'ouvrit pas les yeux, ni pour consulter le temps qu'il lui restait, ni pour regarder Borgov, ni pour les poser sur la foule immense qui était venue dans cet auditorium pour la voir jouer. Elle évacua tout cela de son esprit pour se concentrer exclusivement sur son échiquier mental et le blocage complexe qu'il affichait. Peu importait, au fond, qui jouait les noirs, et peu importait que l'échiquier matériel se trouvât à Moscou, à New York, ou au sous-sol d'un orphelinat; cette représentation eidétique était son véritable territoire.


    <image>
    Certes il y a d’autres personnages sympathiques mais je ne saurais trop vous en parler sans divulgâcher ou par manque de choses à en dire. En effet, si je ne parle pas de beaucoup d’autres choses que de Beth, c’est qu’elle est tellement centrale dans ce livre que le reste semble en effet très secondaire (mais pas sans intérêt !).
    Je pourrais vous parler de la plume mais je n’ai rien de particulier à en dire même si j’ai conscience que cet engouement vécu durant la lecture ne vient pas de nul part. 

    Elle se vit brusquement comme une petite personne sans importance – une orpheline brune d’allure quelconque vêtue du morne uniforme du foyer.
    Elle était deux fois plus petite que ces élèves insolents et sûrs d’eux, avec leurs voix puissantes et leurs pulls de couleurs vives. Elle se sentait impuissante et stupide. Et puis elle regarda de nouveau les échiquiers, avec leurs pièces disposées à leurs places familières, et les sensations désagréables s’atténuèrent. Elle n’était peut-être pas à sa place dans ce lycée public, mais elle était à sa place devant ces douze échiquiers.


    Ce fut donc une bonne surprise et une bonne lecture. Beth fera sans doute partie des héroïnes littéraires marquantes pour moi cette année.

    Je terminerai par la fin parce qu’il y a à la toute fin de ce livre une ‘’scène finale’’…
    Elle est d’une immense simplicité pourtant mais elle m’a laissé sans voix et rien que d’en parler j’ai encore le frisson agréable de celle-ci qui me revient. Si elle m’a fait cet effet, c’est qu’elle en dit probablement plus sur Beth que n’en dirait la plus longue des analyses.

    Il ne vous reste plus qu’à commencer la partie, histoire de vous laisser mettre échec et mat par Beth. ;)

    Alors? Qui prend les blancs?

  • Melody Pond

    Lecteur-express

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    #1656 14 Juillet 2021 16:16:54

    Salut par ici !

    Je remonte un peu (beaucoup) ton suivi parce que j'ai encore une fois accumulé pas mal de retard... :sifflote:

    Qu'ai-je déjà lu de Tolkien ?
    La question serait plutôt, qu'ai-je n'ai pas lu de Tolkien ? =D
    Parce qu'en gros, j'ai lu tout ce qui était possible de lire. Il ne me reste plus que les bouquins d'Histoire de la Terre du Milieu qui ne sont pas traduits en français. :'S

    Pour Les miracles du bazar Namiya j'ai eu la même surprise que toi car je ne savais pas non plus qu'il y avait plusieurs parties.
    Mais ça ne m'a pas dérangé plus que ça au final. Et perso, je n'ai pas du tout ressenti de lassitude, comme quoi... =)

    Alors, je venais de faire un petit tri dans ma WL mais je viens d'ajouter Le Bal des folles car ton avis m'intrigue beaucoup !
    Je le lirai à l'occasion.

    Bon, tu ne me donnes pas du tout envie de sortir Instantanés d'Ambre de ma PAL. :goutte:
    J'ai bien peur qu'il n'y reste longtemps et qu'il finisse en don à la bibli avant même d'avoir ouvert le bouquin.

    Par contre, ça fait un moment que je souhaite lire Le Discours et ton avis m'a entièrement convaincue ! :D

    Et pour Le jeu de la dame, je ne pense pas le lire car j'ai toujours du mal à lire un livre après avoir vu son adaptation (je ne me féliciterais jamais assez d'avoir lu Le Seigneur des Anneaux avant de voir les films =D ).
    Je passe peut-être à côté de quelque chose mais tant pis. XD

    Bonnes lectures à toi ! :)

  • Cervus

    Lecteur fou

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    #1657 16 Juillet 2021 23:42:02

    Salut Melody !

    Oui oui j’ai mis un petit coup d’accélérateur pour tenter de combler mon retard dans mes suivis. J’ai encore 3 avis de terminer à publier ici. :angel: Je continue de grignoter sur mon retard. :D

    Ah bon ! Je ne savais pas que tu en étais aussi loin dans les lectures tolkieniennes ! O_o
    Mes respects ! :salutation:

    Le plus drôle c’est que vu le thème de mon prochain Cercle de Lecture, c’est justement Les miracles du bazar Namiya que je présenterai. :D

    Ah oui, parce qu’il faut le lire Le Bal des folles ! Il m’avait intrigué en rayon mais lorsqu’on m’en a parlé pour la première fois lors d’un de nos Cercles de Lecture, j’ai directement sauté dessus. Puis la prochaine sortie du film m’a fait me dire que ce serait bien de la lire d’abord ! (on revient toujours à cette question semble-t-il… :angel:)
    Mais oui, ça a vraiment été une des belles lectures de cette première moitié d’années pour moi !

    Je tenterai sans doute de faire quand même un court avis à propos Instantanés d'Ambre, ce sera peut-être l’occasion de mieux cerner si il peut te plaire à toi malgré ce qu’il m’a posé comme ‘’problème’’… Mais je pense que c’est aussi du au fait qu’il s’est retrouvé avec deux autres lectures pas terrible voire mauvaises. Du coup, j’ai ressenti le besoin de sortir de tout ça car j’avais l’impression de m’engluer dans ces lectures un peu plombantes pour mon entrain lecture…

    Oh mais oui si tu aimes les BD de Fabcaro, Le discours est une valeur sure ! @Mange-Nuage me l’avait dit mais elle avait raison ! Et à présent j’ai vu le film, qui est très bien, mais le livre comme souvent est bien meilleur encore !

    C’est vrai que lire un livre après visionnage, je ne l’ai pas fait souvent (Le Seigneur des Anneaux mais 15 ans plus tard, Hellraiser, La planète des singes…) et ça ne m’a pas plus gêné que ça mais je peux comprendre. Mais c’est vrai aussi que le plus souvent je les lis quand le film n’est plus tout à fait net dans mon esprit puis je le re-visionne seulement après lecture.
    C’est peut-être une solution pour toi, qui sait ?

    Je te dis à très vite!



    Un éclaircissement sur notre époque


    L'appartenance au genre humain, à l'humanité universelle est plus fondamentale encore que l'appartenance à telle ou telle société.


    <image> Je me souviens encore de quand j’ai acheté L’Esprit des Lumières de Tzetan Todorov : je trainais au rayon philosophie d’une librairie où je en vais pas souvent. Mais je n’ai absolument plus aucun souvenir de ce qui m’est passé par la tête à ce moment-là.

    J’ai pourtant du me plongé sur le quatrième de couverture à un  moment :
    Après la fin des utopies, sur quel socle intellectuel et moral pouvons-nous bâtir notre vie commune ? Pour Tzvetan Todorov, il n'y en a qu'un : le versant humaniste des Lumières. Ce petit essai majeur ne se contente pas de dégager dans une synthèse limpide les grandes lignes de ce courant de pensée : il le confronte aux événements tragiques du XIXe et du XXe siècle avant d'interroger sa pertinence face aux défis de notre temps.

    Et grand bien m’en a pris ! Visiblement j’étais inspiré ce jour-là ! Ce fut une lecture vraiment intéressante !

    Tout part d'une question en apparence simple : Après la fin des utopies, sur quel socle intellectuel et moral pouvons-nous bâtir notre vie sociale commune ?
    A cette question, Tzvetan Todorov (si vous vous demandez d’où ça vient comme nom et prénom, il est Bulgare) propose le versant humaniste des Lumières.
    Une proposition qui peut sembler obsolète en apparence. En effet, avec la démarche d’aller chercher en arrière quelque chose pour aller de l’avant, cet essai peut sembler en apparence un peu ‘’réac’’ et il serait légitime de se demander ‘’pourquoi irait-on chercher dans le passé quelque chose si n’est pas parvenu à perdurer ?’’

    La source de tout pouvoir est dans le peuple, et rien n'est supérieur à la volonté générale.


    Mais Tzvetan Todorov en a conscience et avant de proposer quoi que ce soit, il commence par deux chapitres qui ont pour rôles de répondre à ce genre de question et de préjugés. Le premier ré-explique ce qu’était l’esprit des Lumières afin de poser (à nouveau) les bases (et que tout le monde parte du même pied). Le deuxième chapitre va, quant à lui exposé les défauts et les limites de l’esprit des Lumières de la grande époque pour cerner les points délicats et ceux à changer. Notamment, il souligne la divergence de point de vue de ce qu’était l’esprit des Lumières déjà à cette époque et en refait une définition qui lui semble correcte et porteuse pour la suite de la réflexion.

    En effet, une fois qu’on été fixé les avantage et les défauts de la philosophie, il réfléchit sur les avantages qu’il y aurait à appliquer une partie seulement, ou disons une branche particulière de cet esprit (la branche humaniste donc) pour espérer changer certains des problèmes de la société dans laquelle nous vivons.
    De cet état d’esprit, il voudrait faire un esprit d’Etat et plus encore un esprit de société.

    Le principe d'autonomie bouleverse tant la vie de l'individu que celle des sociétés. Le combat pour la liberté de conscience, qui laisse à chacun le choix de sa religion, n'est pas nouveau, mais il doit être perpétuellement recommencé ; il se prolonge en une demande de liberté d'opinion, d'expression, de publication. Accepter que l'être humain soit la source de sa loi, c'est aussi l'accepter dans son entier, tel qu'il est, et non tel qu'il devrait être. Or il est corps et esprit, passions et raison, sensualité et méditation. Pour peu qu'on observe les hommes réels plutôt que de s'en tenir à une image abstraite et idéalisée, on s'aperçoit qu'ils sont, aussi, infiniment divers, ce que l'on constate si l'on passe de pays en pays, mais également de personne à personne. C'est ce que sauront dire, mieux que toute littérature savante, les genres nouveaux qui mettent l'individu au centre de leur attention : roman d'une part, autobiographie de l'autre.


    <image>
    Alors je vous rassure, je ne vais pas vous refaire le livre ici. On est ici face à un essai à la fois historique, philosophique, social et sociétal. Déjà rien que cette définition ne sera pas une lecture au goût de tout le monde, je l’entends bien et je le comprends encore mieux.
    Mais je tiens à dire qu’en plus d’être intéressant, c'est complet, et à titre personnel, je l’ai trouvé pertinent!

    Tous les habitants du globe sont, d'emblée, des êtres humains. Ce que les hommes ont en commun est plus essentiel que ce qui les différencie. " Je suis nécessairement homme et je ne suis français que par hasard" déclare Montesquieu. Ceux qui se sentent imprégnés par l'esprit des lumières chérissent davantage leur appartenance au genre humain que celle à leur pays. Denis Diderot écrit à David Hume, le 22 février 1768 : mon cher David, vous êtes de toutes les nations et vous ne demanderez jamais au malheureux son extrait baptistaire . Je me flatte d'être comme vous, citoyen de la grande vile du monde.


    Au final, loin d’être réac’, cette idée serait plus proche de l’utopie malheureusement mais une utopie qui fait du bien. Je me suis d’ailleurs étonné du nombre de points de vue qui m’ont touché au sein de cet ouvrage.

    Une lecture qui m'a marqué et que je relirai!

    Plus les individus sont éclairés, plus ils sont capables de décider par eux-mêmes - Et moins ils auront tendance à se soumettre aveuglément au pouvoir. "La vérité est donc à la fois l'ennemie du pouvoir comme de ceux qui l'exercent"


  • Cervus

    Lecteur fou

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    #1658 17 Juillet 2021 10:29:42

    Daube à la réputation usurpée


    Elle combattait depuis toujours, non pour montrer ce dont elle était capable, mais pour dissimuler ce dont elle était incapable. C'était une vie dont les élans consistaient à battre vigoureusement en retraite, et les victoires à encaisser de secrètes défaites.


    <image> Il est question ici d’un livre que j’ai dans ma pàl depuis un temps déjà mais dont je ne savais rien si ce n’était qu’il était considéré comme un ‘’classique contemporain’’. Du coup, quand @Julie27 m’a proposé une LC pour Le liseur de Bernhard Schlink, c’était une occasion rêvée de le sortir enfin de ma pàl !

    Le fameux quatrième de couverture que je n’ai lu qu’après lecture :
    À quinze ans, Michaël fait par hasard la connaissance, en rentrant du lycée, d'une femme de trente-cinq ans dont il devient l'amant. Pendant six mois, il la rejoint chez elle tous les jours, et l'un de leurs rites consiste à ce qu'il lui fasse la lecture à haute voix. Cette Hanna reste mystérieuse et imprévisible, elle disparaît du jour au lendemain. Sept ans plus tard, Michaël assiste, dans le cadre de des études de droit, au procès de cinq criminelles et reconnaît Hanna parmi elles. Accablée par ses coaccusées, elle se défend mal et est condamnée à la détention à perpétuité. Mais, sans lui parler, Michaël comprend soudain l'insoupçonnable secret qui, sans innocenter cette femme, éclaire sa destinée, et aussi cet étrange premier amour dont il ne se remettra jamais. Il la revoit une fois, bien des années plus tard.

    Le genre est plutôt fluide et le livre ne fait même pas 250 pages pourtant…
    Ca y est ! A présent je le sais ! L’ennui a en réalité une forme matérielle en ce bas monde : Le liseur de Bernhard Schlink !
    Parce que nom de Dieu que ça a été long, lent et laborieux !

    A vrai dire, j’aurais du m’en inquiéter très tôt car je m’ennuyais déjà au bout d’à peine 30 pages. Mais à ce moment-là on a encore la naïveté de penser que la suite va sans doute être différente, qu’à un moment donné les choses vont démarrer… C’est beau l’innocence…

    Mais le problème principal, car il contribue énormément à l’ennui, c’est le ton froid et distant que l’auteur met entre le lecteur et ce qu’il se passe. Quoi qu’il arrive dans cette histoire tout semble se dérouler à des kilomètres de nous ! Ce qui a pour résultat de donner une impression de platitude à tout et à tout le monde. Ce que je déteste en lecture...
    Puisque une des conséquence de ce genre de chose est qu’avec une telle méthode, on se contrefout du personnage principal puisqu’il semblerait presque être vide ! On est tellement ‘’loin de lui" que c'est comme si on n'y était pas du tout. C'est comme si on me parlait d'une coquille vide. Du coup, je m’en contrefous au plus haut point...
    Alors si c’est comme ça pour le personnage principal, je vous laisse imaginer ce qu’il en est pour le personnage secondaire ! La vaste blague… :ptdr:

    Parfois, Hanna portait une robe assez décolletée pour qu'on voie le grain de beauté qu'elle avait en haut de l'épaule gauche. Je me rappelais alors que j'avais soufflé sur cette épaule pour en écarter les cheveux, que j'avais embrassé ce cou et grain de beauté. Mais ce souvenir, je ne faisais que l'enregistrer, je ne ressentais rien.
    Tout au long des semaines que dura le procès, je ne ressentis rien : ma sensibilité était comme anesthésiée.


    D'ailleurs, sans vouloir faire remonter d’autre bout de bois à la surface, sur ces points à propos de l'écriture, il m’a un peu rappelé de mauvais souvenirs…
    Ils m’ont rappelés les points noirs (vu leur taille, leur absorption de l’énergie et qu’ils font disparaitre l’intérêt, je devrais appeler ça plutôt des trous noirs !) d'un certain Patrick Suskind dans Le Parfum. Un nom qui me fait frissonner rien que d’y repenser…
    Mais sans reparler de ce dernier, c'est tout à fait le même genre d'écriture ‘’indifférente’’ où je ne me retrouve absolument pas, où je n'accroche à rien, où je me moque complètement de ce qui se passe et de tout ce qui pourrait se passer...
    Bref le genre de style littéraire que j'exècre dans toutes mes tripes...

    <image>
    Alors certes, il y a le style… Mais ce n’est pas tout car en réalité, ce n’est pas qu’une impression, il ne se passe vraiment pas grand-chose dans ce livre ! Et ce qui arrive, arrive à des personnes, que du peu que j’en perçois, sont peu appréciables voire détestables…
    Même les discussions semblent interminables tant elles sonnent comme stériles et bêtes. Les ‘’disputes’’ sont encore pires puisqu’elles n'ont même véritablement pas lieu d'être…
    Ah oui parce que les discussions et les ‘’disputes’’ sont censées se passées entre deux ‘’amoureux’’ dont on nous ‘’raconte l’histoire’’… Waouw ! Cette vision de l’amour… C'est moche, c'est triste, c'est de la manipulation et de la non-communication, ça n'a aucun sens et aucun avenir.
    Une histoire qui ne raconte rien en somme…

    Seulement voilà : fuir n'est pas seulement partir, c'est aussi arriver quelque part.


    Du coup lorsqu’arrive l’évocation du ‘’sujet sensible’’, la distance et le froid ont tellement bien tué la moindre petite trace d’intérêt qu’on pouvait encore avoir à mi-lecture, que ce fameux sujet n’a même plus le moindre impact sur le petit cœur qui lit…
    Et pourtant ce ne sont pas les thématiques potentiellement intéressantes qui manquaient! Ce livre aurait tellement pu être "autre chose"! :goutte:

    Je me suis très vite demander si je parviendrais à aller au bout. Mais la LC a aidé… Pourtant si c’était à refaire, j’aurais du abandonner dés le premier quart… Quand je me suis posé la question la toute première fois…
    Parce que, autant le dire, on m’avait parlé de la fin de ce livre mais comme je le craignais, vu les énormes défauts du livre, aucune fin n'aurait sans doute pu être satisfaisante pour moi. Et en effet, disons le franchement : La fin est assez plate en fin de compte... 

    La philosophie ne se soucie pas des enfants. Elle les a abandonnés à la pédagogie, qui s'en occupe bien mal.


    Pourquoi ce livre est tant "(re)connu" ? Franchement je ne le comprend toujours pas… :chaispas: Le devoir de mémoire peut-être? :chaispas: Il y a pourtant, tant de livres bien mieux faits! Tout ça pour ça? Ça n'en valait pas la peine... car ce fut donc une lecture sonore : d’abord par les soupirs d’ennui puis enfin l’immense souffle de soulagement en le terminant !
    Quoi ? Une épingle hors du pied ? Un javelot hors du flan plutôt !

    Parce que comme je l’ai dit lors de la LC si je devais le résumer en un mot, je dirai : plouf!

  • Catyladya

    Restaurateur de livres

    Hors ligne

    #1659 20 Juillet 2021 19:40:32

    Coucou !
    Le jeu de la dame j'ai commencé la série (je n'ai vu que l'épisode 1) mais j'ai quand même acheté le roman ! J'ai hâte de le lire !
  • Cervus

    Lecteur fou

    Hors ligne

    #1660 20 Juillet 2021 21:19:31

    Topo général

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    Bonjour tout le monde,


    Vous ne m'en voudrez pas si je ne reviens pas sur le cataclysme que fut ce déluge qui a touché notamment ma région (je n'ai rien rassurez-vous). Mais j'ai vraiment besoin de parler d'autre chose. De penser à autre chose. De "sortir" de tout ça quelques instants.
    D'autant que je dois avouer que le congé que j'ai eu m'a fait du bien mais pas encore assez... Je sens que je vais avoir besoin de faire très attention dans les mois qui viennent au risque de me retrouver les nerfs complètement en branle... :goutte: Je me sens encore à vif et le quotidien ici depuis les inondations n'aide pas à s'alléger l'esprit non plus...
    Je vais devoir faire attention mais c'est compliqué lorsque les circonstances ne sont pas favorables.

    En ce moment, heureusement qu'il y a les livres notamment...

    LES PAGES TOURNÉES...
    J'ai lu la quasi totalité des lectures qui étaient en cours la dernière fois!
    J'ai donc enfin terminé La loterie et autres contes noirs de Shirley Jackson, Je dis "enfin" car c'était une lecture imposée par @Catysprint dans le cadre du challenge "Choisis ma prochaine lecture". ;) Ce fut une très belle découverte malgré quelques petits bémols. J'ai lu largement en avance Le Maître du Haut Château de Philip K. Dick mais puisque c'est le livre du BC je ne dirai mots ni dans un sens ni dans l'autre.:angel:
    J'ai aussi terminé Le conte des contes, une lecture très très particulière au final... Toute aussi particulière mais dans un autre registre (et c'est pour ça que je l'apprécie), j'ai terminé Monstress, tome 5 : Guerrière!
    En bonus de toutes ces lectures en cours la fois dernière, j'ai lu également Batman : White Knight, petit plaisir sans complexe. :-)

    LIRE AU PRÉSENT
    - Le cycle de Dune, tome 1 : Dune de Frank Herbert : Je n'en suis pas encore très loin mais je suis déjà conquis! Quel univers incroyable! Certes lent mais l'immersion est totale! Pour l'instant ça me semble déjà bien supérieur à Star Wars! (oui oui blasphème je sais :angel:)
    - Matins clairs - Lettre à tous ceux qui veulent changer de vie de Pedro Correa : Pour l'instant, ce livre me parle énormément, pour ne pas dire complètement. L'étiquette "développement personnel" n'est pas correcte, il s’agit vraiment d'un témoignage.
    - Middlewest, tome 1 : Anger de Skottie Young et Jorge Corona : Je risque de le finir ce soir et le second va le suivre de très près. J'étais avant tout curieux du fait que c'était une oeuvre de Skottie Young (I hate Fairyland! :pink:) et c'est un genre très différent mais c'est très agréable! Je passe un vrai bon moment.
    - Jouissance Club de June Pla : Toujours crescendo et ça continue à tenir ses promesses.

    OUI J'EN PÀL LIS
    Oui j'annonce un craquage, ça faisait un petit temps. Si ce n'est qu'une fois comme de temps en temps ça va. Je vais tenter de continuer à maintenir les efforts. :-)
    - Le cycle de Dune, tome 2 : Le messie de Dune et tome 3 : Les enfants de Dune de Frank Herbert : Pas la peine d'expliquer je pense... :angel:
    - Nevernight, tome 1 : N'oublie jamais de Jay Kristoff : Ce livre me rend curieux depuis que je l'ai vu la première fois en librairie.
    - L'Empire d'écume, tome 1 : La Fille aux éclats d'os de Andrea Stewart : Je ne connais pas mais le quatrième de couverture me tentait fort (et ce qui ne gache rien, l'objet livre est très beau).
    - Middlewest, tome 1 : Anger et tome 2 : Fear de Skottie Young et Jorge Corona : Comme expliqué plus haut, Skottie Young. :cool:
    - Notre-Dame des loups de Adrien Tomas : Alors oui, voici Adrien Tomas qui entre dans ma pàl... :sifflote:
    - Les Huit Montagnes de Paolo Cognetti : Je souhaite découvrir cet auteur depuis un petit temps.
    - Comment je suis devenu super-héros de Gérald Bronner : J'ignorais que c'était un livre et le film me fais envie donc je vais essayer de lire avant de voir! :D

    LE PROGRAMME! DEMANDEZ LE PROGRAMME!

    Les LC sont en pause estivale :cool:



    <image>

    Et vous, comment ça va?



    Hello Thecatlady !

    J'en suis au même stade que toi dans la série : j'ai vu le premier épisode! :D mais n'étant pas très série, j'ai du mal à me stimuler pour passer au suivant. :goutte:
    Je pensais que l'avoir lu aiderait mais ça n'a pas changer grand chose à mon manque de feeling avec les séries... :sifflote:
    Par contre, je ne peux que te recommander le roman! :-)
    Hâte de lire ton avis quand tu l'auras lu.