By the rivers of BabylonKei Miller2017

Synopsis

Augustown, quartier pauvre de Kingston.
En cet après-midi d'avril 1982, Kaia rentre de l'école.
Ma Taffy l'attend, assise sur sa véranda.
La grand-mère n'y voit plus mais elle reconnaît entre toutes l'odeur entêtante, envahissante, de la calamité qui se prépare. Car aujourd'hui, à l'école, M. Saint-Josephs a commis l'irréparable : il a coupé les dreadlocks de Kaia - sacrilège chez les rastafari.
Et voilà Ma Taffy qui tremble, elle que pourtant rien n'ébranle, pas même le chef du gang Angola ni les descentes des Babylones, toutes sirènes hurlantes.
On dirait bien qu'à Augustown, Jamaïque, le jour de l'autoclapse - catastrophe aux promesses d'apocalypse - est une nouvelle fois en train d'advenir.
Alors, pour gagner du temps sur la menace qui gronde, Ma Taffy raconte à Kaia comment elle a assisté, petite fille au milieu d'une foule immense, à la véritable ascension d'Alexander Bedward, le Prêcheur volant...

Titre original : Augustown (2016)

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BON

2 éditions pour ce livre

2019 Française Editions Zulma (Poche Z/a)

Traduit par Nathalie Carré

247 pages

6 juin 2019

ISBN : 9782843048609

2017 Française Editions Zulma (Littérature)

Traduit par Nathalie Carré

292 pages

1er septembre 2017

ISBN : 9782843048005

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2 commentaires

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  • avatar Cyan
    16 / 20 Le 05 Juin 2024 à 13:10 Cyan

    Ma première incursion dans la littérature jamaïcaine, une belle découverte.

  • avatar ellalecrivain
    15 / 20 Le 15 Janvier 2019 à 18:01 ellalecrivain

    Un roman dépaysant qui emmène en Jamaïque, pays que je ne connais qu'à travers Bob Marley et Usain Bolt. Kei Miller nous fait découvrir les odeurs, les sons de la Jamaique, la culture rastafari, les inégalités sociales, le clivage blanc/noir. La traduction est superbe. J'ai apprécié cette langue créatrice. Ce livre vaut le détour même si je n'ai pas trop accroché à la première partie.