Synopsis
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500 ans plus tard, la recherche de ce trésor conduit le narrateur jusqu’à un personnage invraisemblable, Kiko Grau, qui profite de sa condition d’héritier de l’empire aztèque pour s’introduire dans la haute bourgeoisie de Barcelone.
Entre le délire et la responsabilité historique que lui impose son origine, Son Altesse Impériale triomphe dans l’Espagne franquiste en escroquant tous ceux qui rêvent d’ajouter à leur nom un titre de noblesse qui les avalise socialement, aussi absurde que soit le titre et aussi mensongère que soit la reconnaissance qu’elle leur apporte.
Ce Prince que je fus est le récit mirobolant de la vie trépidante de Federico de Grau Moctezuma, de ses gloires et de ses échecs, de son besoin d’ostentation, de son penchant pour la fête et l’alcool, de son goût pour l’ascension et la chute et de sa retraite obscure dans un village mexicain dont les habitants sont les seuls qui lui reconnaissent des liens avec la royauté préhispanique.
Titre original : Ese príncipe que fui (2015)
1 édition pour ce livre
2019 Editions La Contre allée (La Sentinelle)
Langue française | Traduit par Jean-Marie Saint-Lu | 300 pages | Sortie : 20 septembre 2019 | ISBN : 9782376650515
1 chronique de blogueurs
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1 commentaire
viduite Le 07 Octobre 2019 à 08:33
De l'illusion à l'imposture, Jordi Soler poursuit son invention d'une fiction où réalité et fiction se tissent de la même folie. Avec une légéreté et un humour certain, Ce prince que je fus part sur les traces d'un héritier fantoche de Montezuma. Dans cette évocation, Jordi Soler parvient à nous faire toucher du doigt le XVI siècle mexicain et catalan mais aussi l'intoxication des dernières années
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