Dis leur qu'ils ne sont que cadavresJordi Soler2013

Synopsis

En 1937, pendant une de ses phases de folie les plus violentes, après avoir goûté le peyotl au Mexique et divagué pendant des mois dans les cafés parisiens, le poète français Antonin Artaud se rend en Irlande avec pour mission de rendre l'authentique bâton de Saint-Patrick qu il croit tenir d un sorcier cubain.

Plus d'un demi-siècle plus tard, à Dublin, un diplomate passionné de la poésie d'Artaud, un homosexuel indécis, un poète irlandais aux m urs dissolues et un vieux millionnaire qui a consacré toute sa vie à collectionner les reliques du poète français décident après moult verres de whisky et quelques champignons hallucinogènes d'embarquer pour un voyage délirant. L'objet de leur quête : le bâton de Saint-Patrick, qui selon la légende aurait été ramené par Artaud et se trouverait quelque part en Irlande du Nord...

Titre original : Diles que son cadaveres (2011)

Moyenne

3.0

1 vote

MAUVAIS

2 éditions pour ce livre

2015 Editions 10/18

214 pages

ISBN : 9782264063502

2013 Editions Belfond

Traduit par Jean-Marie Saint-Lu

230 pages

5 septembre 2013

ISBN : 2714453872

Qui a lu ce livre ?

2 membres ont lu ce livre

Aucun membre ne lit ce livre

3 membres veulent lire ce livre

4 membres possèdent ce livre

1 chronique de blog

En vous inscrivant à Livraddict, vous pourrez partager vos chroniques de blog !

2 commentaires

  • Pour poster un message, il faut être inscrit sur Livraddict

  • avatar Cafe-Powell
    Le 17 Septembre 2014 à 20:02 Cafe-Powell

    Dis-leur qu’ils ne sont que cadavres est de ces livres dans lequel on entre et l’on sort avec difficulté, car il faut apprivoiser l’atmosphère : l’exercice étant difficile, on a alors du mal à quitter l’univers du roman, surtout quand la fin est aussi réussie.

  • avatar Delcyfaro
    3 / 20 Le 13 Janvier 2014 à 20:55 Delcyfaro

    Je jette l'éponge..j'abandonne ... je m'ennuie à périr, je n'aime rien ni l'histoire, ni les personnages ni le style.. seule l'écriture est intéressante mais ça ne suffit pas à me faire apprécier le roman...