Synopsis
Le 8 octobre, sera lancée au Grand Palais, une grande rétrospective, la première à Paris, consacrée au peintre Edward Hopper. Surtout connu aux États-Unis, Edward Hopper a pourtant commencé à peindre à Paris au tout début du XXe siècle. Il se concentre surtout sur la classe moyenne américaine. L’exposition du Grand Palais s’annonce très complète, présentant peintures, illustrations, gravures et aquarelles. À cette occasion, Karin Müller lui consacre une biographie, dans le ton de celle précédemment consacrée à Nicolas de Staël, elle prête sa pluma au peintre qui se raconte au fil des pages, une biographie intime, qui permet de mieux comprendre l’œuvre de Hopper.
« La biographie à la première personne de Karin Müller évoque un journal intime ou une longue interview posthume d'Edward Hopper. Il fallait beaucoup de rigueur, de retrait et de sensibilité pour donner voix au grand silencieux de la peinture figurative américaine du XXe siècle, au peintre de l'incommunicabilité ! »
Christophe Duvivier, Conservateur
« La biographie à la première personne de Karin Müller évoque un journal intime ou une longue interview posthume d'Edward Hopper. Il fallait beaucoup de rigueur, de retrait et de sensibilité pour donner voix au grand silencieux de la peinture figurative américaine du XXe siècle, au peintre de l'incommunicabilité ! »
Christophe Duvivier, Conservateur
Moyenne
16.0
1 vote
BON
1 édition pour ce livre
2012
Editions Guéna-Barley
98 pages
1er octobre 2012
ISBN : 9782919058044
Qui a lu ce livre ?
2 membres ont lu ce livre
Aucun membre ne lit ce livre
Aucun membre ne veut lire ce livre
2 membres possèdent ce livre
chronique de blog
Aucune chronique de blog pour le moment.
En vous inscrivant à Livraddict, vous pourrez partager vos chroniques de blog !
Pour poster un message, il faut être inscrit sur Livraddict
Vous découvrirez à travers ce récit à la première personne, l’enfant, l’adolescent et l’homme qu’il était, son rapport au monde et à la peinture, le rôle important de la littérature dans sa vie, ses liens avec le théâtre et le cinéma, la dynamique qu’il formait avec Josephine née Verstille Nivison, jouant le rôle de confidente, d’agent, de secrétaire et d’épouse, essayant d’être artiste peintre.