Synopsis
Quand Jean-Marc Marq, l'homme d'affaires, rencontre Jérôme Petitpas, le poète, on se dit rapidement que ces deux-là ne vont pas avoir forcément grand-chose à se dire. Oui mais voilà, la rencontre a lieu sur une minuscule île déserte où tous deux sont naufragés... Jérôme Petitpas est là depuis plusieurs années, tous ses compagnons d'infortune se sont noyés ou ont été mangés par les requins. Jean-Marc Marq vient juste de rejoindre l'île à la nage. Pour le paraphraser, on peut dire que " la journée commence plutôt mal ". C'est une aventure probablement palpitante qui commence sur quelques mètres carrés de sable agrémentés d'un unique palmier... Une île à la mer, nouvelle perle de l'hilarant Nicolas Poupon se présente comme un huis-clos opposant deux conceptions antagonistes du monde, où deux personnes, que tout semble opposer, sont obligées de composer ensemble face à l'hostilité du lieu et des événements. Ça s'appelle la coopération, c'est paraît-il l'une des caractéristiques de l'espèce humaine, reste à savoir si ça marche...
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Le concept est sympa : des histoires courtes autour de deux personnages que tout oppose coincés sur une île déserte. Les réfléxions philosophiques se mêlent à l'absurde et certaines planches sont très drôles. Toutefois, le format du huis clos m'a donné la sensation de tourner en rond au bout d'un moment.
Je n'ai pas accroché, pas fan des dessins ni des dialogues entre les deux hommes.
Petites histoires courtes de 2 hommes (un banquier et un poète, toute une histoire !) devant se côtoyer et donc, partager des idées la plupart du temps divergentes, sur une minuscule île déserte. Parfois simples, parfois plus complexes pour ma part. Le grotesque rencontre la philosophie. Une jolie petite découverte