Synopsis
On se souvient du "coup de Suez" en miniature que les USA exécutèrent certain week-end de 1954, avec la bénédiction de l'ONU ; il s'agissait de mettre au pas une des succursales de l'United Fruit qu'on appelle toujours le Guatemala.
"Le Guatemala n'existe pas ; je le sais, j'y ai vécu ", notait Georges Arnaud en exergue du Salaire de la peur.
Miguel Angel Asturias, lui, croit à la résurrection de sa patrie. Il le dit avec rage et désespoir dans un livre au titre bien choisi, eu égard aux circonstances ; Week-end au Guatemala (l).
Il raconte comment les avions américains bombardent des villages indiens, comment des troupes mercenaires exécutent les syndicalistes et les enterrent, on déterrera en grande pompe ces cadavres, on les fera changer de camp, on leur trouvera d'autres assassins.
"Le Guatemala n'existe pas ; je le sais, j'y ai vécu ", notait Georges Arnaud en exergue du Salaire de la peur.
Miguel Angel Asturias, lui, croit à la résurrection de sa patrie. Il le dit avec rage et désespoir dans un livre au titre bien choisi, eu égard aux circonstances ; Week-end au Guatemala (l).
Il raconte comment les avions américains bombardent des villages indiens, comment des troupes mercenaires exécutent les syndicalistes et les enterrent, on déterrera en grande pompe ces cadavres, on les fera changer de camp, on leur trouvera d'autres assassins.
Titre original : Week-end en Guatemala (1956)
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1 édition pour ce livre
1959
Editions Albin Michel
Traduit par Georges Pillement
290 pages
15 janvier 1959
ISBN : 9782226011312
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Je n'avais pas compris que c'était un recueil de nouvelles... J'ai apprécié la première et j'ai eu envie d'en savoir plus. C'est à la 3eme que j'ai enfin compris que je ne retrouverais pas les personnages... Comme dans tout recueils les nouvelles ne se valent pas. Je n'avais pas assez de références historiques et politiques du Guatemala pour apprécier l'ensemble. Obscur pour moi donc