Bonjouuuur ! Je viens pour une nouvelle mise à jour :D
Titre du livre : Titre : Peter PanAuteur : James Matthew Barrie
Catégorie : n°67 - A fait l'objet d'un Bookclub
Avis : Je pense que, comme beaucoup, la seule version que je connaissais avant aujourd’hui de Peter Pan est le dessin animé de Disney. Je me suis dit que c’était l’occasion de découvrir le récit à l’origine de cette adaptation de mon enfance, et quelle surprise j’ai eue ! Pour commencer, parlons de la plume : j’ai trouvé qu’elle avait des ressemblances avec celle de Lewis Carroll pour Alice au Pays des merveilles, James Matthew Barrie nous proposant un texte aux passages parfois drôles voire absurdes, et parfois vraiment creepy. On en parle de ce Peter Pan qu’on a envie de baffer à toutes les pages ? C’est le pire sale gosse de l’univers dans cette œuvre ! Il est égoïste, immature… En fait, selon une définition que j’ai trouvée sur Internet, c’est même clairement un psychopathe. Il n’hésite pas à kidnapper des enfants et à les retenir avec lui, un peu contre leur gré pour certains, et il n’hésite pas non plus à aller tuer du pirate ou de l’indien pour « s’amuser ». Du coup, on se retrouve avec une figure complètement différente du dessin animé Disney et un récit que je mettrais, personnellement, assez difficilement entre les mains d’un enfant. Quoi qu’il en soit, de mon côté, j’ai bien aimé découvrir cette œuvre originale et, malgré mon crush d’enfance sur Peter Pan anéanti, je lui accorde la note de 3/5 !
Titre du livre : Titre : La fille du roi pirate, tome 1Auteur : Tricia Levenseller
Catégorie : n°59 - Livre que je n'ai pas aimé
Avis : Par où commencer… C’est toujours délicat de dire qu’on n’a pas apprécié un livre, mais vraiment, je crois qu’il s’agit de ma pire lecture de l’année. On nous présente un personnage principal tout bonnement insupportable en la personne d’Alosa, une jeune femme qui se veut forte et pleine de caractère, mais qui est tellement mal écrite qu’on ne peut tout simplement pas s’attacher à elle. On a juste envie de lui distribuer claque sur claque à chaque fois qu’elle ouvre la bouche (et le récit est à la première personne, donc elle parle tout le temps…). En plus d’avoir à faire à une ado en pleine crise, l’autrice nous sert une héroïne « badass » qui, à chaque chapitre, nous dévoile une nouvelle capacité (je me suis sérieusement demandé à un moment si elle n’allait pas dire qu’elle savait voler à la page suivante). C’est toujours dans la surenchère, ça fait souffler, lever les yeux au ciel… Et en plus d’être mené par une héroïne mal écrite, il n’y a rien qui va dans le scénario non plus. L’autrice ne fait que se contredire, avec une Alosa qui n’arrête pas de dire qu’elle doit jouer les idiotes et les faibles, avant de se retrouver à se hisser tout en haut d’un mat la page suivante à la seule force de ses bras. Euh… allô ?! En plus de ça, les personnages secondaires sont creux au possible (je n’ai même pas réussi à retenir le nom du fameux crush). Bon, heureusement, j’ai pu lire ce livre en LC, du coup, j’en garde quand même un bon souvenir parce qu’on a toutes tellement trouvé que c’était mauvais qu’on a bien rigolé !
Je me permets de remettre ce livre parce qu'on m'a dit que j'avais déjà utilisé un livre pour cette condition, mais rien n'apparaît sur mon tableur de suivi oops
Titre du livre : Titre : Le poids de la neigeAuteur : Christian Guay-Poliquin
Catégorie : n°95 - Le nombre 25 sur sa fiche Livraddict (le livre coûte 25 €)
Avis : Bon, déjà, ce n’était sans doute pas la meilleure des idées de commencer par un tome 2 de saga, mais, pour ma défense, je pensais qu’il s’agissait d’un one-shot. Ce détail mis à part, le pitch m’avait beaucoup intéressée puisque j’affectionne les romans catastrophes. Malheureusement, ça n’a pas matché. Je ne sais pas si c’est le fait de l’avoir écouté en audio ou si je n’étais pas dans le bon mood, mais l’histoire ne m’a pas du tout embarquée. Je m’attendais sans doute à un minimum d’action, mais ce titre est assez lent et tout se passe en huis-clos dans une cabane perdue au milieu de nulle part. J’aurais vraiment aimé en savoir plus sur ce black-out général, sur les environs, mais non, l’auteur nous enferme dans cette bicoque avec ses deux personnages forcés à cohabiter, auxquels il est assez difficile de s’attacher. Comme eux, on attend de voir comment la situation va évoluer, si le blessé va se remettre, si l’hiver va se finir, si l’électricité va revenir, si Matthias va pouvoir retrouver sa femme. On est perdu en pleine nature gelée et on ne nous donne finalement pas grand-chose à nous mettre sous la dent. C’est dommage, parce que je m’attendais tellement à plus avec ce résumé...
Merci beaucoup ! :heart: