Synopsis
« L’Indien observait les chiffres avec admiration, il lui semblait prodigieux que l’on pût aussi vite les aligner, les additionner, les diviser et les multiplier. Mais au fond, cela ne l’impressionnait guère, car il ne savait lire ni chiffres ni lettres, et le seul bénéfice qu’il retira de la subtile conférence à haute signification économique de l’Américain fut d’apprendre qu’un homme est capable de parler pendant des heures pour ne rien dire. »
On trouvera dans ce petit livre quatre textes de B. Traven traduits de l’allemand par Adèle Zwicker. Paraboles littéraires et politiques empreintes d’un grand souffle émancipateur, ces nouvelles permettent une première entrée dans l’œuvre du grand et mystérieux romancier (décédé en 1969), indépassable auteur de classiques comme Le Trésor de la Sierra Madre, La Révolte des pendus et Le Vaisseau des morts.
On trouvera dans ce petit livre quatre textes de B. Traven traduits de l’allemand par Adèle Zwicker. Paraboles littéraires et politiques empreintes d’un grand souffle émancipateur, ces nouvelles permettent une première entrée dans l’œuvre du grand et mystérieux romancier (décédé en 1969), indépassable auteur de classiques comme Le Trésor de la Sierra Madre, La Révolte des pendus et Le Vaisseau des morts.
Moyenne
15.5
2 votes
BON
1 édition pour ce livre
2018
Editions Libertalia (La petite littéraire)
Traduit par Adèle Zwicker
27 pages
Format : ePub
ISBN : 9782377290277
Qui a lu ce livre ?
5 membres ont lu ce livre
Aucun membre ne lit ce livre
2 membres veulent lire ce livre
4 membres possèdent ce livre
chronique de blog
Aucune chronique de blog pour le moment.
En vous inscrivant à Livraddict, vous pourrez partager vos chroniques de blog !
Pour poster un message, il faut être inscrit sur Livraddict
Ce tout petit livre contient (entre autres) 2 nouvelles écrites sous la forme de contes, qui ont en commun de critiquer avec intelligence les dérives de nos sociétés modernes. L'une moque le regard mercantile (capitaliste) que les Occid. portent sur tout, l'art y compris ; l'autre pointe le risque d'accaparement du pouvoir par les élus de nos chères "démocraties"... C'est très bon !