Synopsis
Il y a des ruptures qui ne laissent pas de cicatrice. Et il y a celles qui deviennent des abîmes.
Après avoir dit "non" à Hendrik, Layla croyait avoir repris le contrôle. Elle pensait que la douleur s’arrêterait là, qu’il suffirait de tourner la page. Elle avait enfin osé choisir sa liberté.
Mais elle ne savait pas que ce « non » allait déclencher la pire des trahisons.
Dans la moiteur des couloirs de son lycée, c’est un jeu de pouvoir qui s’est mis en place — un théâtre cruel, où Hendrik, incapable d’accepter le rejet, a transformé l’humiliation en vengeance, l’amour en manipulation, le désir en arme. Et cette fois, Layla n’a pas seulement souffert. Elle a été trahie. Publiquement. Intimement.
Tome 2 commence dans la cendre : celle des dessins brûlés, des souvenirs arrachés, des illusions parties en fumée. Layla, enfermée chez elle depuis trois jours, étouffe dans une chambre qui sent le sommeil, la honte et le deuil amoureux. Et déjà, l’ombre d’une question la hante : peut-on encore aimer après avoir été trahie à ce point ?
Alors que son cœur vacille, deux lignes de force apparaissent :
Bayram, ce garçon calme, drôle, solaire — le contrepoids parfait à la violence passée,
Et Col, son cousin, figure de respect, élève de la prestigieuse Académie de Valencia, qui incarne un espoir rare : celui de faire la différence dans un monde qui broie les justes, mais avec une ombre dans le coeur.
Mais ce n’est pas qu’une histoire d’amour.
C’est une guerre.
Une guerre intérieure où l’on apprend que le soin, le respect et le silence valent plus que les grands discours.
Une guerre familiale, où chaque regard juge, où chaque sortie est une transgression.
Une guerre sociale, où les femmes doivent être fortes sans jamais paraître dures, aimantes sans jamais être faibles.
Et surtout, une guerre intime : entre ce que Layla croyait être l’amour… et ce qu’elle découvre enfin.
Entre traumatismes et renaissance, ce deuxième tome est le chant d’une génération en quête de lien.
"Comment aimer" n’est pas une histoire d’amour.
C’est une histoire sur l’amour.
Et elle commence ici, dans un hiver sans fin, au creux d’un silence trop lourd pour une seule fille, mais que toute une époque entendra résonner.
Après avoir dit "non" à Hendrik, Layla croyait avoir repris le contrôle. Elle pensait que la douleur s’arrêterait là, qu’il suffirait de tourner la page. Elle avait enfin osé choisir sa liberté.
Mais elle ne savait pas que ce « non » allait déclencher la pire des trahisons.
Dans la moiteur des couloirs de son lycée, c’est un jeu de pouvoir qui s’est mis en place — un théâtre cruel, où Hendrik, incapable d’accepter le rejet, a transformé l’humiliation en vengeance, l’amour en manipulation, le désir en arme. Et cette fois, Layla n’a pas seulement souffert. Elle a été trahie. Publiquement. Intimement.
Tome 2 commence dans la cendre : celle des dessins brûlés, des souvenirs arrachés, des illusions parties en fumée. Layla, enfermée chez elle depuis trois jours, étouffe dans une chambre qui sent le sommeil, la honte et le deuil amoureux. Et déjà, l’ombre d’une question la hante : peut-on encore aimer après avoir été trahie à ce point ?
Alors que son cœur vacille, deux lignes de force apparaissent :
Bayram, ce garçon calme, drôle, solaire — le contrepoids parfait à la violence passée,
Et Col, son cousin, figure de respect, élève de la prestigieuse Académie de Valencia, qui incarne un espoir rare : celui de faire la différence dans un monde qui broie les justes, mais avec une ombre dans le coeur.
Mais ce n’est pas qu’une histoire d’amour.
C’est une guerre.
Une guerre intérieure où l’on apprend que le soin, le respect et le silence valent plus que les grands discours.
Une guerre familiale, où chaque regard juge, où chaque sortie est une transgression.
Une guerre sociale, où les femmes doivent être fortes sans jamais paraître dures, aimantes sans jamais être faibles.
Et surtout, une guerre intime : entre ce que Layla croyait être l’amour… et ce qu’elle découvre enfin.
Entre traumatismes et renaissance, ce deuxième tome est le chant d’une génération en quête de lien.
"Comment aimer" n’est pas une histoire d’amour.
C’est une histoire sur l’amour.
Et elle commence ici, dans un hiver sans fin, au creux d’un silence trop lourd pour une seule fille, mais que toute une époque entendra résonner.
Moyenne
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Saga Comment aimer ?
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