Chaud devant, tome 2 : Macarons et sentimentsEmilie Parizot2024

Autant le premier tome était plaisant à lire autant celui-là, non. À 4% du livre commence les difficultés : une scène de sexe que je n'ai pas vu venir. Et après ça c'est le festival. Je n'ai rien contre mais que ça soit le résumé ou le titre, rien n'indique qu'on va emprunter ce chemin. Résultat, la cuisine n'est qu'un prétexte, presque une anecdote. Au moins, les sujets abordés sont bien traités.

Une romance trop centrée sur le charnel, pas assez sur l’émotion — Claris m’a souvent agacée, heureusement que Genaro relève le niveau. La part culinaire m’a manqué par rapport au tome 1. Mais j’ai adoré les intrigues secondaires, elles sauvent vraiment le récit.

Ce que je retiens principalement : j’ai été très surprise par la tournure qu’a pris ce roman ! Je ne m’attendais ni à cette histoire, ni à ces personnages, et c’est très bien. Ici, on touche des sujets importants et dont on a peu l’habitude de parler. Je dirais même que tout est inhabituel dans ce roman, et c’est ce qui le rend si singulier. (2/2)

Un deuxième tome haut en couleur,
on ne s’ennuie pas du tout !

Dans la suite du premier tome et pourtant… les deux sont vraiment très différents ! On va maintenant suivre Genaro, le pâtissier du restaurant Encore Plus. Bien que l’on soit toujours dans l’univers de la cuisine, on s’en éloigne et on est beaucoup moins centré dessus que dans
le premier tome. (1/2)

J'avoue être un peu déçue de ce second tome. J'ai adoré les sujets abordés sur la parentalité, la toxicité du père de Mia... j'ai aimé découvrir davantage Gabriel et sa relation avec Mia. J'adore toujours autant Genaro, sa maman, lazare et Thelma. Mais j'ai eu un réel souci avec la romance. J'aime qu'elle ait une sexualité épanouie mais j'ai du mal avec les soirées auxquelles Claris se rend.