Dernières fleurs avant la fin du mondeNicolas Cartelet2018

Ce livre aurait parfaitement pu me plaire : un univers dystopique dont on ne sait rien, mais qui semble hostile en tout point, et le texte ne répond pas aux questions habituelles du genre - nous sommes plongés dedans sans vraiment rien en savoir, et cela aurait pu sincèrement me plaire ! Enfin...si l'esprit du narrateur n'était pas perturbé sans cesse par ses relents misogynes et malsains. {7}

Un bal(l)ade désenchantée dans un futur désenchanté, médiocre et terne, probablement très proche de ce qui nous pend au nez. Comment rester humain quand on n'a plus d'horizon, quand on se ne perçoit plus d'avenir ? La révolte ? L'art ? Court, grinçant, quelque peu malsain,ce récit rend hommage à la littérature et la musique dans ce qu'elle apporte de merveilleux dans nos vies.

Ce livre a été une déception. Bien qu'il soit court et écrit gros, je n'ai aucun plaisir à le terminer. Dommage parce que le point de départ et l'univers était prometteur. L'écriture est correct mais le personnage principal qui est le narrateur met tout à fait antipathique. Le scénario quant à lui n'apporte pas les questionnements attendus dans ce type de distopie

Dans cette histoire, Albert Villeneuve survit comme il peut à la catastrophe écologique qui contraint les êtres humains à évoluer dans un environnement stérile. Il forme avec Manon, un couple au bord de la rupture. La jovialité d’Apolline est un vrai bonheur dans ce contexte apocalyptique. Cette enfant solitaire sur laquelle je ne souhaite pas trop en dire, saura attendrir le lecteur...

Je ne m’attendais pas à ça du tout. Je pensais lire une histoire de fin du monde connu. Une vie sans abeille, on doit trouver une solution et les remplacer. Mais en fait rien n’est expliqué. Pourquoi il n’y a pas d’abeille ? Pourquoi les hommes ne peuvent plus avoir de descendance ? Pourquoi le monde se meurt ? Aucune idée. On suit la vie d’Albert, peu intéressante. Étrange. Je suis déçue