Synopsis
Moyenne
15.9
48 votes
BON
Dans « La gouvernante » et « Le jeu dangereux », c'est encore la cruauté des rapports entre générations - mais aussi l'intelligence immédiate des enfants face aux choses de la vie ou le refus de vieillir - que Stefan Zweig met en scène.
Titre original : Untergang eines Herzens (1927)
5 éditions pour ce livre
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2010 Editions Le Livre de Poche
Langue française | Traduit par Alzir Hella & Olivier Bournac | 156 pages | ISBN : 2253095257
2008 Editions Gutenberg
Langue française | 166 pages
1987 Editions Le Livre de Poche
Langue française | Traduit par Alzir Hella et Olivier Bournac | 117 pages | ISBN : 2253095257
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7 commentaires
Nanou30 Le 21 Septembre 2011 à 15:10
Destruction d'un coeur est celui que je préfère dans ces trois nouvelles. La façon d'écrire de Stefan Zweig reste idem dans ces bouquins, un bonheur de le lire !Florel Le 15 Décembre 2011 à 07:20
Pour le moment je 'narrive pas à trouver le coup de coeur que j'avais eu avec Lettre d'une inconnue de cet auteur, mais ces 3 nouvelles ne sont pas pour autant désagréables.Aere Le 22 Août 2012 à 14:18
Trois histoires dans la lignée des autres nouvelles de Zweig, même si pour moi elles sont moins prenantes que les autres. Mais l'auteur dépeint avec justesse les sentiments humains sans jamais condamner, ce qui nous permet de nous forger notre propre opinion.Candide Littéraire Le 02 Octobre 2013 à 19:04
Toujours cette belle écriture limpide qui nous cueille et nous enchante, nous éclaire sur l'âme humaine.Ishimaru Etsuko Le 04 Novembre 2014 à 08:49
Mon premier livre de Stefan Sweig est son écriture m'a bouleversé. Un livre magnifique, une plume exceptionnellegrenadine22 Le 23 Février 2024 à 20:19
"Destruction d'un cœur" de Stefan Zweig est une nouvelle captivante qui explore les méandres de la passion et de la trahison. Zweig peint avec habileté le portrait psychologique de ses personnages, la fine fleur de l'aristocratie viennoise les plongeant dans un tourbillon d'émotions intenses et de désirs inassouvis.Melanie-G Le 05 Janvier 2025 à 22:42
Le début est plutôt comique et absurde. On ne s’attend pas à la fin si tragique de cette nouvelle. Les descriptions de la « destruction d’un cœur » sont poignantes, comme toujours avec Zweig.
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