Synopsis
« A l’époque où je n’étais encore que ma grand-mère et naturellement mon aïeule, j’ai très peu voyagé... » C’est sur cette proposition d’apparence insolite, pour reprendre l’expression de Pierre Jakez Hélias, que s’ouvre cette étonnante «Épopée des bords du chemin».
Livre touffu, plein de métamorphoses, d’enchantements et de références historiques que
racontent par la voix unique de la narratrice Mélody, quatre générations de femmes... C’est étourdissant écrit Pierre Jakez Hélias, mais terriblement efficace pour la conviction du lecteur.
Un tel récit qui oscille de la légende à l’épopée, où les mythes s’enchevêtrent au rythme des vies, ne pouvait être conduit par un simple «Je» glissant d’une génération à l’autre mais au contraire par quatre générations en un seul «Je» c’est à dire une seule et même mémoire...
Car il ne fallait pas moins que cette voix Une et Quadruple pour dire la longue geste de cette sédentaire sortie au siècle dernier d’un domaine des environs de Lannion pour être enfermée dans la mémoire d’une Ville bien remparrée de Saint-Malo ; de cette marcheuse qui fuyant tous les enfermements chemine à travers le temps, à travers ses corps successifs et à travers le Clos Pays d’Akth ( pays de Saint-Malo) dans le cycle des retrouvailles perpétuelles avec les Nomades, celui initiatique du Village des gens inachevés et le bavardage des arbres vers ce trou d’aveuglante clarté par-delà lequel s’affranchissant définitivement du temps et de l’espace, elle deviendra une légende!
Parlant de l’écriture d’Yveline Féray, / Pierre Jakez Hélias remarque qu’elle possède une sorte de classicisme jusque dans les sommets d’effervescence. Oui l’auteur, et c’est là un des traits les plus attachants de l’Épopée des bords du chemin, a su joindre à l’extrême clarté la charge poétique la plus dense. Yveline Féray, issue d’une famille malouine, partage sa vie entre Nice et Saint-Malo.
Livre touffu, plein de métamorphoses, d’enchantements et de références historiques que
racontent par la voix unique de la narratrice Mélody, quatre générations de femmes... C’est étourdissant écrit Pierre Jakez Hélias, mais terriblement efficace pour la conviction du lecteur.
Un tel récit qui oscille de la légende à l’épopée, où les mythes s’enchevêtrent au rythme des vies, ne pouvait être conduit par un simple «Je» glissant d’une génération à l’autre mais au contraire par quatre générations en un seul «Je» c’est à dire une seule et même mémoire...
Car il ne fallait pas moins que cette voix Une et Quadruple pour dire la longue geste de cette sédentaire sortie au siècle dernier d’un domaine des environs de Lannion pour être enfermée dans la mémoire d’une Ville bien remparrée de Saint-Malo ; de cette marcheuse qui fuyant tous les enfermements chemine à travers le temps, à travers ses corps successifs et à travers le Clos Pays d’Akth ( pays de Saint-Malo) dans le cycle des retrouvailles perpétuelles avec les Nomades, celui initiatique du Village des gens inachevés et le bavardage des arbres vers ce trou d’aveuglante clarté par-delà lequel s’affranchissant définitivement du temps et de l’espace, elle deviendra une légende!
Parlant de l’écriture d’Yveline Féray, / Pierre Jakez Hélias remarque qu’elle possède une sorte de classicisme jusque dans les sommets d’effervescence. Oui l’auteur, et c’est là un des traits les plus attachants de l’Épopée des bords du chemin, a su joindre à l’extrême clarté la charge poétique la plus dense. Yveline Féray, issue d’une famille malouine, partage sa vie entre Nice et Saint-Malo.
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