Synopsis
Dans la banlieue de Tokyo, Kôko, Matsuko et Ikuko tiennent une petite cantine de quartier. La cuisine y est familiale ; et bien que joyeuses et pleines d’énergie, elles n’ont, pour les clients qui poussent la porte, rien d’extraordinaire. Ce sont des femmes qui prennent de l’âge, des femmes invisibles.
Mais il suffit de goûter les beignets de palourdes, les croquettes de tôfu aux bulbes de lis ou les bourgeons de pétasites au miso qu’elles cuisinent pour qu’opère une étrange alchimie. Quelle chance d’aimer manger ! Quelle chance d’être vivante !
La cuisine de La Maison de Coco devient alors le lieu du bonheur retrouvé et de la réconciliation. Avec les amours passés, les choses cachées derrière les choses mais surtout avec soi. Car on ne finit jamais d’être femme et de savourer la vie.
Mais il suffit de goûter les beignets de palourdes, les croquettes de tôfu aux bulbes de lis ou les bourgeons de pétasites au miso qu’elles cuisinent pour qu’opère une étrange alchimie. Quelle chance d’aimer manger ! Quelle chance d’être vivante !
La cuisine de La Maison de Coco devient alors le lieu du bonheur retrouvé et de la réconciliation. Avec les amours passés, les choses cachées derrière les choses mais surtout avec soi. Car on ne finit jamais d’être femme et de savourer la vie.
Moyenne
15.2
40 votes
BON
2 éditions pour ce livre
2023 Editions Philippe Picquier (Poche)
Traduit par Patrick Honnoré
254 pages
ISBN : 9782809716146
2021 Editions Philippe Picquier
235 pages
1er avril 2021
ISBN : 9782809715422
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C'était sympa, mais je n'ai pas été plus touchée que ça par l'histoire de ces trois drôles de dames. Toute cette cuisine m'aura mis l'eau à la bouche en tout cas.
Un peu court et assez triste. Le roman est centré sur la vie des femmes et non dans leur restaurant. J aurais aimé plus d actions culinaires
Pas convaincu du tout. Je pensais y trouver une histoire touchante avec cette arrière plan d’amour de la cuisine un peu familiale et d’amitié très fortes à la « beignet de tomates vertes ». J’y ai trouvé un récit triste ( pas dans le sens touchant, plus dans le sens déprimant) et un manque d’intérêt complet pour les personnages.
Ce roman sur la cuisine japonaise vous mettra l’eau à la bouche car comme son nom l’indique cela parle beaucoup de nourriture. On suit la vie de trois femmes sexagénaires et leurs histoires, cela parle de divorce, de deuil... Cela se lit bien mais je n’ai pas accroché plus que cela.
Un court roman assez original qui met en scène trois sexagénaires nippones et raconte leur quotidien partagé entre leur boutique de traiteur et leurs déboires amoureux. Malgré un thème rafraîchissant et gourmand à souhait, j'ai parfois été gênée par la narration changeante (première personne, puis troisième personne...). Un bon moment cependant.