Synopsis
À la mort de sa grand-mère, une jeune femme hérite de l’intrigante commode qui a nourri tous ses fantasmes de petite fille. Le temps d’une nuit, elle va ouvrir ses dix tiroirs et dérouler le fil de la vie de Rita, son Abuela, dévoilant les secrets qui ont scellé le destin de quatre générations de femmes indomptables, entre Espagne et France, de la dictature franquiste à nos jours.
Moyenne
16.1
623 votes
BON
6 éditions pour ce livre
2022 Editions Le Livre de Poche
181 pages
2 novembre 2022
ISBN : 9782253941064
2021 Editions Le Livre de Poche
182 pages
2 juin 2021
ISBN : 9782253079651
2020 Editions JC Lattès
198 pages
13 mai 2020
ISBN : 9782709666947
Qui a lu ce livre ?
912 membres ont lu ce livre
3 membres lisent ce livre
313 membres veulent lire ce livre
682 membres possèdent ce livre
113 commentaires
Pour poster un message, il faut être inscrit sur Livraddict
Un magnifique premier roman sur la famille. J’ai adoré l’écriture et je me suis complètement laissée emporter par cette histoire.
Une écriture sympa mais l'histoire ne m'a pas emportée. J'ai trouvé certains passages un peu brouillon...
Olivia Ruiz nous livre une très belle mythologie personnelle. Son texte poétique est une ode aux femmes de sa famille et à la vie. Une lecture très agréable.
C’est le portrait d’une femme. C’est l’histoire d’un exil, de l’Espagne à la France. C’est la vie, tout simplement, d’une femme libre et amoureuse, croquée avec l’infinie tendresse d’Olivia Ruiz, qui entre en littérature de la plus jolie des façons. Tendrement, avec délicatesse, et souvent avec beaucoup d’humour, elle offre au lecteur de bien belles pages qui tendent vers une certaine poésie.
Son prologue est comme un uppercut ! Olivia Ruiz écrit comme elle parle, en chantant. Elle présente l’Abuela, avec son « Je t’aime » qu’elle lui adresse à sens unique. Son tempérament est fortement épicé mais suave, à la fois, comme sa cuisine. Et, ce meuble qui trône au milieu de son salon que l’on devine exiguë et encombré. Ah, j’oubliais ! Le disque de Morricone en fond sonore…Ça y est, Olivia