Synopsis
" Monsieur le Commissaire, Vous avez peut-être une belle gueule mais, dans le fond, vous êtes un vrai con. En ce qui me concerne, j'ai tué en toute impunité. Salut et liberté ", X. Etranges, ces lettres anonymes que reçoit Adamsberg, et tout aussi singulière l'assiduité dont fait preuve le vieux Vasco à siéger sur ce banc, juste en face du commissariat... L'importun vieillard aux poches remplies d'objets insolites et au porte-manteau incongru attise l'exaspération du lieutenant Danglard. Mais, pour le commissaire Adamsberg, dont le flair nonchalant confine au génie, l'affaire n'est pas si anodine... Fred Vargas signe ici deux nouvelles policières où l'on retrouve avec un plaisir intact les personnages décalés, les rencontres déroutantes, le ton si subtilement décontracté qui ont fait son succès.
Présentation de l’éditeur
Suivi de deux nouvelles. Des lettres anonymes, le commissaire Adamsberg en reçoit ds brouettes, mais celle-ci l'intrigue particulièrement : elle n'accuse personne. Et puis, elle lui est personnellement adressée. Son auteur se vante notamment d'avoir tué en toute impunité et termine sa lettre par ces mots : "Salut et liberté !". Et puis qui est véritablement ce vieil homme échoué depuis peu sur un banc, juste en face du commissariat, qui se fait appeler Vasco de Gama ?
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3 chroniques de blog
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30 Octobre 2016Glinda16 / 20Lire la chronique -
03 Novembre 2012Fox16 / 20Lire la chronique -
07 Septembre 2011VéroLire la chronique
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4 commentaires
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18 / 20 Le 27 Mars 2022 à 10:31 Isa De la MontalayL'occasion de relire ces deux excellentes nouvelles de Coule la Seine ne se refuse pas. Vargas maîtrise à la perfection le récit bref, ciselé autant que le roman classique. On retrouve le couple Adamberg-Danglard, mariage de la carpe et du lapin, duo intuitif à la limite du surnaturel, sur lequel repose la résolution de ces crimes sordides. Déjà classique.
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16 / 20 Le 03 Novembre 2012 à 11:19 Fox
Deux petites nouvelles sympathiques. Une petite mise en bouche des talents d'écriture de Vargas.
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Le 07 Septembre 2011 à 11:56 Véro
Moi qui n'aime pas les nouvelles j'ai aimé celles-ci ! Pas d'hésitation, c'est du bon Vargas !