Synopsis
Vincent König est le dépositaire des archives de l’écrivaine suisse Esther Montandon. En ouvrant par hasard une chemise classée « factures », il découvre des dizaines de pages noircies, qui composent un récit intime. Esther a donc tenu un « journal de deuil », dans lequel elle a pour la première fois évoqué la mort de sa fille Louise et l’aberrante « vie d’après ». Les souvenirs comme les différents visages de la douleur s’y trouvent déclinés avec une incroyable justesse. Ces carnets seront publiés sous le titre Vivre près des tilleuls. Roman sur l’impossible deuil d’une mère, porté par une écriture d’une rare sensibilité, Vivre près des tilleuls est aussi une déclaration d’amour à la littérature : ce récit d’Esther Montandon est en réalité l’œuvre d’un collectif littéraire suisse, l’AJAR. Ces dix-huit jeunes auteur-e-s savent que la fiction n’est pas le contraire du réel et que si « je est un autre », « je » peut aussi bien être quinze, seize, dix-huit personnes.
Moyenne
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BON
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2016 Editions Flammarion
128 pages
17 août 2016
ISBN : 2081389193
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8 commentaires
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Texte poignant sur le deuil mais fort aussi sur la technique d'écriture à plusieurs mains !
Bluffant!
Les mots d’une mère sur la perte de son enfant. Sur sa vie trop courte. Sur sa disparition, son absence. C’est beau, triste même si je n’ai pas été bouleversée par ce texte. Cependant, j’ai été pendant tout le livre assez perturbée par l’implication d’AJAR dans ce récit, et je dois dire que les réponses qui nous sont données à la fin du texte sont surprenantes !