[Suivi Lectures] Aealo

Selon que vous serez, etc., etc.

Faites péter les amphores !

<image> Je suis tombé par hasard sur cette BD chez une amie qui était en train de la lire et ma curiosité pour la philosophie a fait le reste. D’autant qu’à l’époque je sortais de ma première lecture de Nietzsche. Alors quand j’ai vu le concept que cachait Philocomix, tome 1 : 10 philosophes, 10 approches du bonheur de Anne-Lise Combeaud, Jérôme Vermer et Jean-Philippe Thivet il ne m’en a pas fallu plus !
Voici donc le programme de ce petit cours de philo :
Je pense donc je suis heureux ! Et si le chemin vers le bonheur passait avant tout par la pensée et la réflexion ? Comment définir le bonheur, à quelle aune le mesurer, existe-t-il un bonheur sans limite ? Replongeons avec humour dans les pensées de dix grands philosophes, de l'Antiquité au XIXe, pour comprendre quelles solutions ils proposent à ces épineuses questions. Que vous penchiez plutôt pour le « Pour être heureux il faut se connaître soi-même » de Platon ou le « il ne faut rien désirer que l'on ne puisse acquérir » de Descartes, voici dix philosophies de l'accomplissement personnel exposées avec précision mais en toute simplicité, pour aborder la rentrée bien armé. Et en bonus, un guide pratique nous rappelle que, s'il n'est pas toujours simple d'appliquer la philo aux situations concrètes de notre quotidien, c'est sûrement la voie du bonheur...

L’image trop souvent répandue de la philosophie est un bloc opaque pour lequel il faudrait être expert ou extrêmement cultivé pour pouvoir en piger une miette.
Je regrette cette image que j’ai moi-même eu pendant trop longtemps.
Et bien voici venu une preuve que cette image est erronée.

Avant d’aller plus loin et puisque je risque plus que probablement de zapper de l’un à l’autre durant mes explications et mes exemples, autant commencer par citer les 10 philosophes qui sont présent dans ce livre. Dans ce premier tome, il est donc question de Epicure, Platon, Sénèque, Montaigne, Descartes, Pascal, Kant, Bentham, Schoepenhauer et enfin Nietzsche.
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Il va être difficile de faire ici une critique sans (re)faire un cours de philo, ce que je veux à tout prix éviter puisque c’est le but de ce livre que de vous faire (re)découvrir la philosophie, ses penseurs et leur conception du bonheur.

Mais l’attrait pédagogique est déjà présent rien que dans sa forme. Un format BD divisé en plusieurs chapitres, chacun consacré à un philosophie et sa vision du bonheur, et dont le texte mêle allègrement humour et théorie sous forme de pseudo-interviews. Au delà de ça, le format se permet des interruptions sous forme de schémas au besoin, histoire d’éclaircir l’une ou l’autre théorie plus complexe (ou contextualiser).

Nous ne remarquons jamais notre bonne santé générale, mais nous remarquons toujours le caillou qui nous gêne dans la chaussure.

Bon c’est vrai, le sujet de la philosophie est un sujet qui m’intéressait d’emblée du coup malgré tout cette lecture a eu pour moi quelques incidences :
- me confirmer l’intérêt, l’appréciation que j’avais déjà pour certains d’entre eux : Nietzsche (rien de neuf de ce côté :ptdr:)
- piquer un peu plus la curiosité que j’avais déjà pour certains philosophes : Epicure, Platon, Montaigne
- me refroidir un peu plus pour d’autres ou plutôt me confirmer que certains me correspondent moins, voire absolument pas : Descartes, Pascal, Kant, Schoepenhauer
- m’interroger sur ceux dont je ne savais (presque) rien : Bentham
Seul Sénèque fait office d’exception car il se trouve plusieurs fois dans ma pàl, je reste curieux malgré la ‘’teinte’’ que lui donne Philocomix (mais je vais y revenir).

C’est bien simple à la suite de la lecture de son chapitre (le tout premier, c’est dire !), j’ai failli m’interrompre pour me lancer dans Platon et la lecture de Le banquet. Mais je me suis dit qu’à ce rythme je ne risquais pas de terminer ma lecture.
Pourtant dés le chapitre suivant, celui d’Epicure, ça n’a pas raté, j’ai immédiatement voulu entamer Epicure et sa Lettre à Ménécée.
Ce genre d’envie m’a repris plusieurs fois sur ma lecture de Philocomix… Preuve d’une certaine efficacité de la part de l’ouvrage je trouve ! :-)
Mais à nouveau je me suis dit qu’à ce rythme je ne risquais pas de terminer ma lecture. :D
Mais ce n’est pas la seule conséquence de cette lecture puisque suite à cette lecture, en effet je me suis laissé aller à l’achat des Essais de Montaigne, alors que ce livre me fait peur malgré tout ! :goutte::D Mais cette fois encore, j’ai trouvé son chapitre tellement stimulant que ce fut suffisant. Preuve d’une certaine force de frappe de la part de ce livre ! ^^

Faites comme moi : optez pour la simplicité et arrêtez de désirer sans cesse ! Vous ne gagnerez rien que vous n'ayez déjà.

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Malgré tout, durant cette lecture, j’ai eu une sensation particulière… Une impression très personnelle et je serais d’ailleurs curieux d’avoir d’autres avis là-dessus… J’ai eu parfois une impression que l’humour pouvait être ‘’piquant’’ vis-à-vis de certains philosophes que d’autres…
J’ai eu notamment cette impression avec Sénèque, comme si les auteurs ‘’moquaient légèrement’’ un peu le stoïcisme, mais il y avait un peu de ça aussi avec Schopenhauer, un peu moins avec Descartes mais quelque chose malgré tout.
Un peu comme si, on pouvait percevoir les ‘’chouchous’’ des auteurs.
Or ils correspondent avec ceux que moi aussi j’ai préféré. Du coup, je ne peux m’empêcher de me demander si c’est juste une impression, et dans ce cas, ce serait de la subjectivité en plein qui m’a joué un tour, ou si c’est bel et bien le cas, et dans ce cas ce ne serait du qu’au hasard si j’ai les mêmes ‘’préférences’’ que les auteurs)…
Si vous l’avez lu, n’hésitez à me dire quoi ! ^^
Mais j’insiste sur le fait que cette impression n’abime en rien les explications et la découverte en elles-mêmes.

Vous savez pourquoi il y a autant d'opinions différentes dans le monde ?
Parce qu'il est très facile d'en formuler : ça ne demande pas beaucoup d'efforts.

Cette lecture reste un parfait moyen de toucher une première fois à la philosophie !
Ca pourrait même s’adresser à un public assez jeune et leur ouvrir des portes vers la philosophie ! J’ai d’ailleurs eu une conversation avec une dame qui achetait le tome 2 pour sa fille de 14 ans qui avait adoré le premier tome !
Et si ça peut être intéressant pour cet âge c’est que ce genre d’ouvrage peut être une porte ouverte pour tous les âges plus avancés aussi ! ;)

Car non la philosophie n’est pas ce bloc de béton impénétrable dont on donne l’image bien trop souvent (je soupçonne d’ailleurs certaines personnes de se conforter dans cette idée comme excuse pour ne pas au moins essayer de s’y plonger).
Cet ouvrage est là pour briser cette image et ça fait grand bien ! :-)

Regarde les hommes tomber

Les trois quarts des hommes en danger de mort, c'est ce vers quoi nous courons. Et depuis au moins quarante ans, les gouvernants laissent cette course mortifère se poursuivre sans frein.

<image> Des livres sur les problèmes écologiques actuels et leurs monstrueuses conséquences imminentes, il en existe des montagnes ! On pourrait passer une vie à ne lire que ça tellement ils sont devenus monnaie courante. Pourtant quand j’ai vu passer pour la première fois L'humanité en péril : Virons de bord, toute ! de Fred Vargas à La Grande Librairie, je n’ai pas pu m’empêcher d’être interloqué à plus d’un titre… Nous sommes là face à une auteure reconnue et respectée pour ce qu’elle fait : du policier. Et elle interrompt son rythme d’écriture habituel pour se lancer dans un tout autre projet absolument sans aucun rapport avec ses écrits habituels : un essai écologique affichant très nettement ses positions. Qu’on le prenne ainsi ou non, je trouve qu’il y a là une prise de risque étonnante de la part d’une auteure installée qui aurait très bien pu se contenter de rester dans ses habitudes littéraires.
Et là, je trouve que rien que par cette situation particulière, ce livre vaut la peine qu’on s’y intéresse… D’ailleurs, je trouve que le quatrième de couverture en dit long sur la démarche prise par Fred Vargas :
Mais bon sang, comment vais-je m'en sortir de cette tâche insensée ? De cette idée de m'entretenir avec vous de l'avenir du monde vivant ? Alors que je sais très bien que vous auriez préféré que je vous livre un roman policier. Il y a dix ans, j'avais publié un très court texte sur l'écologie . Et quand on m'a prévenue qu'il serait lu à l'inauguration de la COP 24, c'est alors que j'ai conçu un projet de la même eau, un peu plus long, sur l'avec de la Terre, du monde vivant, de l'Humanité.
Rien que ça.

Je ne suis pas un adepte des livres alarmistes. Je ne leur reproche rien car ils sont essentiels. Mais trop de ce genre de lecture finirait par saper le moral à un Bisounours. Du coup, j'opte pour ce genre de lecture à dosage très pesé histoire de ne pas nier les choses, de me tenir au courant mais de garder assez d’espoir et de positivisme pour gonfler le courage au besoin.
Du coup, lorsque j’ai vu ce livre, j’ai hésité…
Oui il avait l’air extrêmement complet dans le tour qu’il faisait des problèmes écologiques qui nous attendent… L’occasion d’avoir une information complète en une lecture à première vue… Et ça, ça m’intéresse beaucoup.
Mais la crainte d’injection massive de jus de cafard en intraveineuse me guettait…
J’ai fait le pas et me suis lancé tenter en me promettant que j’interromprais cette lecture autant de fois qu’il le faudrait et que si ça devait me prendre 3 ans pour le lire, et bien je prendrais 3 ans mais qu’il était hors de question de me ruiner les forces vitales pour un livre… Dut-il être un message essentiel !

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Mais commençons par le commencement…
Son constat, de même que son livre, démarre d’un texte qu’elle a écrit 10 ans plus tôt. Elle s’est rendu compte qu’il avait été repris et cité de nombreuses fois depuis mais se désole de constater qu’il n’a pas pris la moindre ride depuis son écriture puisque rien n’a changé en 10 ans…

Du coup, émerge très vite la première question : que fait/font le/les gouvernement(s) ? Pour ça, elle part à la recherche d’information sur les sites officiels des ministères…
Seconde déconfiture…

je n’avais pas tort en vous parlant de « désinformation », dont je ne sais, je l’ai dit, si elle est voulue ou assujettie à un mode de fonctionnement qu’on ne sait comment freiner. Je dois dire que je suis sortie assez atterrée de ces sites officiels, et stupéfaite par l’usage de concision et du flou qui y est déployé.

Et de là, elle va commencer à donner les résultats de ses recherches personnelles approfondies. Aucun sujet ne sera épargner (élevage, pollution, pesticides, énergie, énergies renouvelable, déforestation…) elle compte parler de tout, absolument de tout et je vous le dis de suite elle va s’y tenir.
Je peux donc lui reconnaître ça : un effort colossal d’informations récoltées qui ont du lui prendre un temps de dingue. Elle est bien renseignée et par rapport à d’autres ouvrages se contentant de donner 3 références pour justifier leurs propos, Fred Vargas va vous en donner des kilomètres ! Vous voulez creuser de votre côté ou tenter d’approfondir à votre tour? Toutes ces références sont allègrement mises à votre disposition ! Ici, il n’est pas question d’inventer pour alarmer mais bien de parler de faits pour informer !
Et rien que pour ça, elle a tout mon respect pour sa démarche, son ouvrage, son honnêteté, son courage et sa ténacité !

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Parce que autant le dire, elle a le verbe franc !

À cette désinformation s'ajoute la pression considérable de la Publicité, envahissante, continue, à laquelle nul ne peut échapper. Elle nous bombarde, elle nous assiège, elle nous écrase. Et que nous rabâche-t-elle ? Achetez ceci, achetez cela, et ainsi serez-vous heureux. Dites, depuis quarante ans, avons-nous vu une seule publicité nous incitant à la modération ? Avons-nous vu une seule fois " Économisez l'eau ", " Mangez moins de viande ", " Réduisez le plastique " ? Mais jamais !

D’ailleurs petite (nous dirons) ‘’bizarrerie’’ dans la forme de son texte : un système d’interruption mis en place par un ‘’modérateur/canalisateur’’ de ses dires soi-disant pour éviter qu’elle ne fasse trop de détours, de divagations ou autres longueurs potentielles puisqu’elle le dit en début de livre, elle souhaite un livre le plus concis possible pour aller à l’essentiel.
Je ne sais pas si ce ‘’modérateur’’ est ‘’réel’’ ou si c’est un ‘’truc’’ pour aérer un peu le propos… Mais il est un fait c’est que des interruptions toutes les 4-5 pages, c’est d’un lourd… Je finissais par en avoir ras-le-bol de son modérateur !

Malheureusement le propos a beau être complet, bien renseigné et intéressant (surtout lorsqu’elle casse certains a priori, comme par exemple ceux sur les énergies ‘’propres’’ qui en ont grand besoin ne serait-ce que pour arrêter cette appellation qui ne mérite pas son nom), L'humanité en péril possède malgré tout, à mon sens, un énorme problème…

Ce problème c’est la forme que prend l’ensemble : Un regard froid et désemparé qu'elle porte sur tout ça... Il faut dire que ni les mentalités générales (j'ai bien dit "générales"), ni les décisions gouvernementales, ni les mœurs et surtout la faible voire non existante évolution de certains de ces éléments ne viennent pour l'instant pas contredire ses craintes...
Mais quand même… Il faut avoir lu plus de 200 pages d’infos écrasantes de pessimisme/réalisme avant d’avoir de vraies propositions d’actions, qui avec un peu de chance (en croisant les doigts) deviendront des solutions… 200 pages ! Mais 200 pages avant d’avoir le moindre brin d’espoir… C’est d’une rudesse sans nom ! Je ne suis pas quelqu'un de négatif mais si on veut se mettre quelques instants à sa place... Avec un tel regard, difficile d'extraire de l'optimisme de tout ça. Peu d’opportunité de trouver du réconfort. Oui ce n’est pas le but du livre, il n’est pas là pour cocooner mais pour alerter, oui la réalité est ce qu’elle est mais quand même !

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Mais les jeunes, beaucoup plus alarmés qu'on ne le croit par la détérioration du Vivant, bien que tout aussi désinformés que nous, opteront plus vite que vous ne l'imaginez pour la réduction du nombre des écrans. Car ce sont eux qui vont être exposés de plein fouet aux conséquences, et ils le savent.

Et encore lorsque je parle des propositions je devrais nuancer un peu…
Elle souligne déjà des initiatives dans les 200 première pages mais rares sont celles qu’elle ne démonte pas (preuve à l’appui) notamment pour la simple et bonne raison qu’elle prend en compte certains facteurs que la majorité des médias oublie trop souvent comme la pénurie de très nombreuse matières d'ici 2050 (sans faire le détail). Ce qui fait que des solutions dans cette première partie, il n’y en a pour ainsi dire pas (ou très peu)
Ensuite, à propos des propositions d’action, elle fait une distinction importante dés le début du livres et qui reviendra régulièrement jusqu’à la conclusion avec les propositions les plus porteuses selon elle : la distinction entre EUX et NOUS.
EUX ? Ils dirigent, ils décident, ils votent les lois, ils côtoient les lobbies… Bref EUX, ils ont un petit nombre proportionnellement parlant mais ils ont un pouvoir que le reste majeur n’a pas…
NOUS ? Nous travaillons, nous vivons, nous votons, nous élevons, nous produisons, nous consommons, nous dépensons… Et nos actes lorsqu’ils deviennent massiques changent les choses, donnent d’autres directives, d’autres orientations, modifient les besoins, Bref peuvent montrer de nouvelles voies…
Et puisqu’il n’y a que là que NOUS pouvons agir, c’est là que NOUS devons agir et en devenant massif dans nos nouvelles orientations, ça les obligera EUX à penser et à décider autrement…
L’avenir nous dira…

Au final, que faut-il en retenir ? J’ai moi-même du mal à vous répondre. Oui c’est rude, oui c’est très sombre mais surtout c’est bien documenté, c’est pas complètement noir et surtout c’est un ouvrage nécessaire… Mais c'est surtout un livre à partager car même si elle se plantait (ce dont je doute malheureusement), ça ne peut pas faire de mal de conscientiser les gens!
Pour le reste, agissons en notre âme et conscience ensuite alea jacta est…

Voilà ce que nous sommes arrivés à faire, nous, les hommes. À nous précipiter dans l'abîme, tout seuls comme des grands. Nous, les yeux fermés, l'esprit abruti et désinformé, Eux, les yeux ouverts, mais pathologiquement impuissants, otages de l'argent et de la Croissance et advienne que pourra.

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Hey bonjour !

Je rattrape mon retard sur les suivis !
Alors quand tu dis une plombe à propos de tes derniers achats, c'est vraiment une plombe ?
Sinon, t'as bien craqué ! :lol:
Je ne connais quasiment rien de ce que tu as acheté. :D
J'ai essayé Buveurs de vent pour le boulot (rentrée littéraire oblige) mais j'ai abandonné au bout de quelques pages.
Je me suis rapidement rendue compte que ce n'était pas du tout pour moi. Je n'ai pas du tout accroché à l''écriture. Je me suis dit que 600 pages comme ça, ça n'allait pas le faire.
Je me suis rabattue sur Betty, de Tiffany McDaniel du coup, et j'ai bien fait car j'ai eu un coup de cœur pour cette lecture.
Ah, Cœurs perdus en Atlantide. Pour un bien, je devrais le relire car je me souviens avoir adoré mais je ne me rappelle plus du tout de l'histoire =D

Moi qui ai zéro notion en philosophie, cette BD pourrait être une bonne approche. Malheureusement, nous ne les avons pas à la bibli... :(

J'aime bien ton avis sur L'humanité en péril. J'avoue que je ne lis pas ce genre de livres pour la raison que tu mentionnes, c'est déprimant ! Surtout en cette période où les mauvaises nouvelles ne font que tomber. Chapeau pour l'avoir lu, moi je ne pourrais pas, j'ai trop besoin de livres qui me font du bien au moral.
Je dis ça alors que je viens de terminer Betty dont l'histoire n'était pas des plus joyeuses. :lol:

A bientôt ! :)