Synopsis
J’ai voulu raconter l’amour tel qu’il est vécu la plupart du temps par la plupart des gens : sans crise ni événement. Au gré de la vie qui passe, des printemps qui reviennent et repartent. Dans la mélancolie des choses. Il est nulle part et partout, il est dans le temps même.
Les Moreau vont vivre cinquante ans côte à côte, en compagnie l’un de l’autre. C’est le bon mot : elle est sa compagne, il est son compagnon. Seule la mort les séparera, et encore ce n’est pas sûr.
Les Moreau vont vivre cinquante ans côte à côte, en compagnie l’un de l’autre. C’est le bon mot : elle est sa compagne, il est son compagnon. Seule la mort les séparera, et encore ce n’est pas sûr.
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Une histoire d’amour d’un couple durant 50 ans très très résumé. Je n’ai malheureusement pas été transportée et n’ai pas ressenti de fortes émotions lors de cette lecture et pourtant je suis passionnée par les histoires d’amour. L’écriture est toutefois magnifique.
François Bégaudeau dit avoir pensé à Un coeur simple de Gustave Flaubert. Il réussit un livre universel, court et d’un seul trait comme la vie : une sorte de film en Super 8, sans discours ni analyse mais vaste de ses ellipses, qui condense dans son sautillement accéléré le reflet de notre fragile humanité et l’infinie mélancolie du temps qui fuit. Coup de coeur.
Lu et s'en tape. Je n'ai pas trop accroché. Trop banal.
Une lecture courte mais émouvante. Une certaine universalité se dégage du texte.
Je suis conquise !
Les 20 dernières pages sont très émouvantes. L'ensemble est joli mais j'ai trouvé qu'on s'attardait trop sur le début de leur histoire, voire même l'avant rencontre (50 pages pour 2-3 ans de vie commune et 40 pages pour les 45 autres années...) alors que j'aurais voulu plus de leurs années d'adultes et de vieillesse. Trop de références du passé que je n'ai pas compris aussi à leur juste valeur.