Synopsis
Les rapports entre la communauté portugaise et les Africains durant la période coloniale en Guinée-Bissau sont décrits avec réalisme et subtilité à travers l'histoire de N'dani, dont le seul rêve était de devenir domestique dans une famille expatriée.
La tragédie a toujours deux versants. L'un tragique pour pleurer, l'autre comique, pour rire aux larmes. L'ultime tragédie n'échappe pas à cette ambivalence et présente deux aspects : celui du colonisateur, convaincu de ses pouvoirs et celui du colonisé à la recherche de ses droits.
Outre les relations complexes qui se tissent entre ces personnages, s'affirme un autre élément, le style novateur du roman, qui, par un judicieux recours au kriol, nous entraîne à la découverte des couleurs locales...
La tragédie a toujours deux versants. L'un tragique pour pleurer, l'autre comique, pour rire aux larmes. L'ultime tragédie n'échappe pas à cette ambivalence et présente deux aspects : celui du colonisateur, convaincu de ses pouvoirs et celui du colonisé à la recherche de ses droits.
Outre les relations complexes qui se tissent entre ces personnages, s'affirme un autre élément, le style novateur du roman, qui, par un judicieux recours au kriol, nous entraîne à la découverte des couleurs locales...
Titre original : Última Tragédia (1996)
Moyenne
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BON
2 éditions pour ce livre
1996 Editions Sépia
Traduit par Alain Canihac ; Graziella Neves Forte Canihac
214 pages
ISBN : 9782907888899
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J'ai bien aimé ce récit et surtout, j'ai été intéressé par les réflexions des personnages, j'ai d'ailleurs été frustré plusieurs fois des ellipses que fait l'auteur dans leurs histoires. De plus, bien que le livre porte bien son titre, j'ai trouvé que l'écriture permettait de prendre du recul et de rendre la lecture moins éprouvante qu'elle pourrait l'être, c'est même parfois drôle !