Synopsis
Sous la houlette altière et légèrement alcoolisée de la milliardaire Florence Gould, qui finance le prix, nous nous faufilons parmi les membres du jury, Paul Morand, Jacques Chardonne, Bernard Frank et tant d’autres célébrités de l’époque, comme Salvador Dalí et J. Paul Getty. Dans cette satire des vanités bien parisiennes passe le personnage émouvant d’un vieux notaire de province qui promène son ombre mélancolique entre le tintement des verres de champagne et les réclamations de « rendre le pouvoir à la base ». Une folle journée où le tragique se mêle à la frivolité.
Moyenne
16.4
7 votes
BON
2 éditions pour ce livre
2020 Editions Le Livre de Poche
216 pages
9 décembre 2020
ISBN : 2253073911
2017 Editions Grasset
234 pages
23 août 2017
ISBN : 2246813476
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3 chroniques de blog
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13 Février 2018vagabondageautourdesoiLire la chronique -
28 Décembre 2017Stemilou16 / 20Lire la chronique -
26 Août 2017pilyen15 / 20Lire la chronique
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2 commentaires
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Le 13 Février 2018 à 17:46 vagabondageautourdesoi
Le 22 mai 1968 est la pire journée de la période de Mai 68. C'est cette journée que Pauline Dreyfus décide de raconter mais dans le palace Meurice à deux pas des barricades mais sur la rive droite. Mais, la veille, les employés ont décidé de s'autogérer : "Personne n'avait songé que l'autogestion rendait autant prisonnier que libre". De plus, ce jour là doit se dérouler le repas de remise du prix
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