Synopsis
Avec cette somme qui s'inscrit aussi bien sous l'égide d'Eschyle que dans la lignée de Vie et destin de Vassili Grossman ou des Damnés de Visconti, Jonathan Littell nous fait revivre les horreurs de la Seconde Guerre mondiale du côté des bourreaux, tout en nous montrant un homme comme rarement on l'avait fait : l'épopée d'un être emporté dans la traversée de lui-même et de l'Histoire.
Moyenne
14.7
88 votes
MOYEN
6 éditions pour ce livre
2008 Editions Folio
1408 pages
7 février 2008
ISBN : 9782070350896
2006 Editions Gallimard (Blanche)
903 pages
21 août 2006
ISBN : 9782070780976
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5 chroniques de blog
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30 Septembre 2021Fille-de-lectureLire la chronique
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24 Septembre 2021MalivriothequeLire la chronique
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18 Avril 2020Augustine Barthelemy5 / 20Lire la chronique
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06 Avril 2019Plume sur un parchemin17 / 20Lire la chronique
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25 Janvier 2011Praline8 / 20Lire la chronique
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18 commentaires
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19 / 20 Le 06 Août 2024 à 22:26 Shika
Lecture passionnante mais très dur, je ne pourrais pas le conseiller à tout le monde de par son style assez compliqué mais surtout ces descriptions morbides de certains actes… Pour autant ce livre est pour moi un chef-d'oeuvre qui pour une fois nous met a travers les yeux du bourreau à ressentir de l’empathie pour cet homme et à nous poser éternellement la question qu’aurions-nous fait ?
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Le 30 Septembre 2021 à 03:30 Fille-de-lecture
Ce que j'ai apprécié de ce roman c'est que le personnage que l'on suit n'est vraiment pas un héros. Il n'est pas un antihéros non plus. On peut surtout le qualifier de monstre. L'auteur n'enjolive pas les choses pour qu'on ait de l'empathie pour lui. Au contraire. Sa plume est tranchante. Brutale. Sans tabous. Un ouvrage que je suis contente d'avoir lu même si la fin est frustrante.
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Le 04 Mars 2021 à 20:37 DraikoPinpix
Autant, le point de vue m'avait intéressée, ainsi que comment cette facette de l'Histoire a été traitée et les réflexions sur l'humanité, mais franchement... quel intérêt tous ces détails scatologiques, ces délires sexuels et incestueux ? J'ai sauté des pages tellement c'était lassant et répugnant...
P.S. : Oui, le mot "génocide" est écrit, même si seulement dans l'intro raconté par le perso. -
5 / 20 Le 09 Avril 2020 à 11:34 Augustine Barthelemy
Des chiffres un peu vain : en moyenne, pour l'édition de la collection blanche, 13 mots par ligne, 40 lignes = 520 mots par page. Multiplions par 900 : 468 000 mots dans cette bouillasse. Et pas une fois celui de GENOCIDE. Problématique pour un livre et un héros chtarbé, métamorphosé en un Oreste du pauvre, qui n'aborde que ce sujet. Non ? Le plus mauvais livre que je n'ai jamais lu.
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16 / 20 Le 01 Juillet 2019 à 22:16 Crapoussine
Il faut vraiment s'accrocher au début pour passer outre l'avalanche de détails parfois peu compréhensibles, mais j'ai ensuite été transportée comme rarement ! Certains aspects m'ont rappelé "American Psycho", mais ce roman-ci est beaucoup plus dense du fait de la dimension historique. J'ai par contre été gênée par les (nombreux) fantasmes scatologiques et sexuels du narrateur, pénibles à lire.