Synopsis
« Claire entendait le bruit mat de la terre qui retombait, à chaque coup de bêche, hors de la tombe ;
elle entendait la respiration sifflante de l’homme et le souffle haletant du chien, dont les flancs battaient. Ces deux ombres, l’une blanche, l’autre noire, s’agitaient frénétiquement sur cette fosse dans un silence lugubre ; on eut dit la lutte acharnée de deux esprits se disputant l’âme du mort qui dormait dessous. »
Et si la lecture d’un conte pouvait vous plonger dans un univers où le suspens côtoie la parodie et où le fantastique se change en ironie ?
Claire, jeune bourgeoise naïve, déambule dans un cimetière bordelais.
En parfaite ingénue, elle est entraînée par son imagination vers des visions cauchemardesques. Rêves ou prémonitions ?
Entre le surnaturel et le rationnel, Georges de Peyrebrune explore les thèmes profonds du deuil et de la douleur. Alors que Claire lutte pour démêler les fils de la réalité, le récit offre une expérience presque occulte, culminant dans une tragédie inévitable au bord des eaux de la Garonne. Une plongée fascinante dans les méandres de l’âme humaine et de la frontière entre la vie et la mort.
Georges de Peyrebrune est une autrice oubliée par le temps, mais immortelle par son talent. Récit publié en 1877 dans un recueil intitulé Contes en l’air, il est pour la première fois réédité dans une version illustrée et appuyée par l’analyse de Sophie Ménard, spécialiste de la littérature française du XIXe siècle.
elle entendait la respiration sifflante de l’homme et le souffle haletant du chien, dont les flancs battaient. Ces deux ombres, l’une blanche, l’autre noire, s’agitaient frénétiquement sur cette fosse dans un silence lugubre ; on eut dit la lutte acharnée de deux esprits se disputant l’âme du mort qui dormait dessous. »
Et si la lecture d’un conte pouvait vous plonger dans un univers où le suspens côtoie la parodie et où le fantastique se change en ironie ?
Claire, jeune bourgeoise naïve, déambule dans un cimetière bordelais.
En parfaite ingénue, elle est entraînée par son imagination vers des visions cauchemardesques. Rêves ou prémonitions ?
Entre le surnaturel et le rationnel, Georges de Peyrebrune explore les thèmes profonds du deuil et de la douleur. Alors que Claire lutte pour démêler les fils de la réalité, le récit offre une expérience presque occulte, culminant dans une tragédie inévitable au bord des eaux de la Garonne. Une plongée fascinante dans les méandres de l’âme humaine et de la frontière entre la vie et la mort.
Georges de Peyrebrune est une autrice oubliée par le temps, mais immortelle par son talent. Récit publié en 1877 dans un recueil intitulé Contes en l’air, il est pour la première fois réédité dans une version illustrée et appuyée par l’analyse de Sophie Ménard, spécialiste de la littérature française du XIXe siècle.
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La nouvelle est très courte et trop de distractions m'ont empêché de vraiment rentrer dedans : une sorte de manifeste d'écriture de l'autrice en plein milieu et un trop grand nombre d'illustrations. Cela dit, je trouve le pari réussi car ça m'a donné envie de découvrir Georges de Peyrebrune dans des textes un peu plus longs !