[Suivi Lecture] Lynn

 
  • Lynn

    Magicien des lignes

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    #161 29 Janvier 2019 14:04:47

    Bonjour à tous,

    Vous allez bien?

    #LorraineJ. Iron Hammer est un manga qu'il m'est difficile de conseiller. Je l'ai dévoré mais son sujet est tellement trash (surtout certaines scènes) que je n'oserai jamais le conseiller de but en blanc. Je pense que le mieux est encore de le feuilleter et de voir s'il pourrait te plaire. En tout cas, si tu le lis, je lirai ton avis (bon ou mauvais) avec plaisir ;)

    #Thecatlady. Encore merci à toi pour la découverte. On verra ce que la suite  donne mais, pour le moment, il m'a pas mal intriguée.

    #Aealo. De mon côté, c'est une très bonne surprise. No et moi est presque terminé et je suis toujours aussi fan. Je vais sûrement lire rapidement Les heures souterraines qu'un lecteur du club m'a fortement recommandée. D'après une histoire vraie traîne aussi quelque part dans l'une des mes biblio. Je crois que ça va être l'Auteur que je vais découvrir cette année. En outre, elle se lit très vite car sa plume et ses histoires sont addictives =D

    _______________________________________________________

    Et sinon, voici la suite de mes chroniques :D 

    - Le seigneur des anneaux T/3 Le retour du roi de J. R. R. Tolkien

    Difficile pour moi de dire que j'ai terminé la trilogie du Seigneur des Anneaux. Néanmoins, je me console en me disant que bientôt je la relirai dans la nouvelle édition.

    Alors oui, j'ai vraiment adoré cette histoire. D'une part pour la plume de J.R.R. Tolkien. Elle est complexe sans l'être de trop. Elle n'est ni nerveuse, ni entraînante. Au contraire, J.R.R. Tolkien prend le temps de poser les décors, de déplacer ses armées, de préparer les batailles, les moments de tension,... Mais je n'ai pas pour autant trouvé que l'action était lente. Il se passe continuellement quelque chose. J'étais avide de tourner la page, de savoir ce qui allait se passer, qui interviendrait et ce, même j'ai vu les films des dizaines de fois.

    La quête est largement désespérée et à la fin, j'étais presque abattue. Si dans le film, les personnages semblent à bout de forces; dans le livre, c'est criant. Les dernières scènes avant la destruction de l'Anneau sont dures et le lecteur sent la difficulté et le véritable poids de l'Anneau. Toutefois, cela rend le final plus que compréhensible alors que nous pourrions, dans un premier temps, de pas comprendre le choix de Frodon. La fin n'aurait pas pu être différente. Et même si cette histoire se finit bien, elle n'en a pas moins laissé des séquelles irréversibles.

    Je me suis attachée aux personnages principaux de cette histoire même si, finalement, je n'en sais pas tellement plus sur eux. Pourtant, ce n'est pas tellement gênant car ce n'est pas là le propos principal de ce récit.

    J'ai adoré le côté épique du Seigneur des Anneaux. C'est long, complexe, la quête est désespérée et les personnages sont malmenés. Les batailles sont grandioses de même que les « grands » méchants de l'histoire. C'est manichéen mais sans être dérangeant. D'ailleurs, j'ai particulièrement apprécié l'aspect chevaleresque des hommes et de l'univers, les chants et les récits qui sont tirés des batailles. Les gens se battent pour leur survie mais surtout pour l'honneur.

    Je ressors de cette lecture un peu triste et en même temps, contente de pouvoir ajouter le Seigneur des Anneaux à ma liste des romans lus. C'est un véritable classique qui mérite son titre à plus d'un égard. Lisez cette histoire simplement parce qu'elle est grandiose et parce que ce texte est tout simplement magnifique. 

    - La première fois qu'on m'a embrassée, je suis morte de Colleen Oakley

    Je dois vous admettre que la romance ne fait pas partie de mes genres de prédilection. Autant j'apprécie l'histoire d'amour noyée au milieu d'une intrigue (policière, fantastique ou autres), autant l'intrigue amoureuse comme élément central ne me tente plus que ça. Ce n'est simplement pas mon truc. Pourtant, dès que j'ai vu la couverture de ce livre, j'ai immédiatement eu envie de le découvrir.

    Je n'ai pas du tout été déçue. Que du contraire, j'ai adoré les aventures de Jubilee et d'Éric mais pas que car ce roman ne s'arrête pas à cette romance. En effet, les thèmes abordés sont nombreux. Il est question du deuil, de l'acceptation de soi, du regard des autres, de la solitude, de la méchanceté mais aussi de l'amitié et de l'amour (entre autres choses). Les messages véhiculés sont beaux, donnent le sourire et nous font croire que l'humanité peut s'améliorer.

    La plume de Colleen Oakley est agréable. Il n'est pas difficile de rentrer dans son histoire. Dès les premières pages, elle m'a emportée et j'avais plus que hâte de remonter en voiture afin de découvrir la suite du récit. Qu'il s'agisse de l'allergie de Jubilee, de son entrée à la bibliothèque, de la relation d'Éric et de sa fille ou encore du personnage même d'Aja que nous apprenons à apprivoiser en même temps qu'Éric et Jubilee, il était difficile (pour moi) de ne pas être séduite. 

    Les personnages sont d'ailleurs un véritable plus. Ils ont chacun une histoire à nous raconter, quelque chose à nous apprendre. Ils sont attachants même s'ils font preuve de faiblesse ou qu'ils peuvent être exaspérants. Ils sont suffisamment crédibles pour qu'il ne soit pas difficile d'y croire. En tout cas, moi, j'étais à fond dedans. Pour une non-fan des romances, je dois dire que Colleen Oakley m'a totalement convaincue. Je lirai son prochain roman avec curiosité.

    Belle après-midi =)

    Dernière modification par Lynn (29 Janvier 2019 14:05:22)

  • Espyvie

    Serial lecteur

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    #162 29 Janvier 2019 20:05:53

    J'ai mis la première fois qu'on m'a embrassé, je suis morte dans ma W.L. J'ai beaucoup aimé ce que tu en a dis et vu que comme toi, je ne suis pas fan des romances je me dis qu'il faut essayer ça !

  • Lynn

    Magicien des lignes

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    #163 02 Février 2019 16:15:02

    Salut Espyvie,

    je serai curieuse de lire ton avis une fois que tu l'auras lu ^.^
  • Lynn

    Magicien des lignes

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    #164 02 Février 2019 18:21:49

    Bonjour à tous,

    nouvelle mise à jour =D

    - No et moi de Delphine de Vigan.

    Je remercie vivement La friandise des mots grâce à qui j'ai enfin lu « No et moi » de Delphine de Vigan à l'occasion du LDPA 21.

    Ce livre traînait dans ma PAL depuis un sacré bout de temps et, après la lecture de « Les loyautés », j'ai directement eu envie de lire un autre roman de cette auteur.

    Je suis vraiment sous le charme de la plume de Delphine de Vigan. Je n'ai besoin que d'une phrase pour être totalement immergée au sein de ses histoires (en tout cas, pour ces deux-là ;)). Elle a le don de nous jeter dans un monde alternatif. C'est une véritable immersion et à chaque fois que je dois m'arrêter (souvent parce que mon train arrive en gare), je suis surprise d'être déjà arrivée. Delphine de Vigan, de mon côté, ne se lit pas, elle se dévore avec avidité et le besoin irrépressible  d'en savoir plus et d'arriver au bout.

    Je n'ai pas trouvé que No et moi soit un roman si jeunesse que ça. C'est vrai qu'il l'est par ses personnages et la manière dont certaines choses sont abordées mais le propos s'adresse autant aux jeunes qu'aux anciens. De même, ce roman m'a paru (sous ses airs « légers ») dur, incisif, un peu désespéré aussi. Il s'agit d'un récit dont il est difficile de sortir indemne car il nous touche dans notre quotidienneté . En outre, il est rempli de réflexions sages, parfois saugrenues, parfois accusatrices. Lou, par son vécu et son ressenti, nous confronte tous à la réalité.

    J'ai été émue par cette histoire et par ses protagonistes. J'ai dévoré chaque instant, curieuse de déjà découvrir la page suivante, le chapitre suivant, la suite. J'ai refermé ce livre ce matin et je n'ai déjà qu'une hâte, celle de me replonger dans un autre de ses romans.

    - La vraie vie d'Adeline Dieudonné

    J’ai lu “La vraie vie” comme si j’étais en apnée, tournant les pages à une vitesse folle parce qu’il fallait que je sache la fin de toute cette histoire. J’ai dévoré « La vraie vie » avec la même addiction que j’avais ressentie lorsque j’avais découvert « Débâcle » de Lize Spit, avec cette curiosité un peu malsaine, ce sentiment de malaise et cette sensation que le pire allait arriver. Mais surtout avec cette sensation désagréable au creux du ventre parce que ce genre d’histoire vous colle aux tripes et qu’elle vous montre le pire de ce que l’humanité à offrir. Difficile aussi de ne pas faire d’analogie avec  un bon Stephen King.

    La plume d’Adeline Dieudonné est agréable, rythmée et correspond au rythme enfiévré de son intrigue. Et parlons-en de l’intrigue… J’aime ces histoires où le lecteur sait que quelque chose ne tourne pas rond, que quelque chose grouille sous la peau. Ce sentiment est d’ailleurs renforcé par les décors, par cette cité, le Démo où il ne semble pas faire si bon vivre. Mais aussi par les personnages qui hantent ses rues et qui ont leur part d’ombre. Car l’âme humaine qui est dépeinte est loin d’être immaculée. L’auteur nous balance l’ambivalence humaine à la tête. Ce qu’elle a de meilleure mais aussi ce qui s’y cache et s’y tapit.

    Lize Spit m’avait autant surprise et son roman avait agi sur moi comme une gifle. Adeline Dieudonné réitère l’exploit.  Décidément, les auteurs belges sont à suivre avec attention. C’est provocateur, rythmé, vif, crû mais le roman nous livre aussi de la beauté et de la poésie, la soif du savoir et une véritable tendresse.

    Je ressors un peu scotchée de ce roman. C’était une excellente surprise !


    A bientôt =D

    Dernière modification par Lynn (02 Février 2019 19:09:18)

  • Lynn

    Magicien des lignes

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    #165 07 Février 2019 16:48:08

    Bonjour,

    Comment-allez-vous?

    Me voici de retour avec une petite mise à jour :D

    - Emma T/4 de Kaoru Mori.


    J’apprécie toujours autant l’univers d’Emma, les décors et cette ambiance propre au XIXième siècle. Grâce à Emma, je retrouve un peu l’atmosphère qui se dégage de Downton Abbey même si le manga est largement plus tendre et moins complexe. Mais il ne faut pas le prendre comme une critique que du contraire. J’aime beaucoup Emma et je dois admettre avoir hâte de découvrir la suite de son histoire.

    - Pas mon genre ! de Yatuu.

    J’ai connu Yatuu via sa campagne ulule pour Erika et les princes en détresse. Toutefois, lorsque je suis tombée dessus, la campagne était terminée et je n’ai pas encore pu me le procurer. Et puis, la semaine dernière en allant chez Bédébile, après quelques commandes, je n’ai pas su m’en aller sans rien acheter donc j’ai craqué pour Pas mon genre ! de Yatuu.

    Et je n’ai aucun regret car cette bande-dessinée humoristique m’a redonné la pêche. Les dessins sont mignons et, très vite, je me suis attachée à l’héroïne. Les situations qu’elle nous décrit sont cocasses et j’ai « hurlé de rire » plus d’une fois. Malgré tout, Pas mon genre ! agit comme une critique des mentalités et de la société. L’humour fait très bien passer le message. Rien à redire, j’ai passé un super moment !

    A bientôt ^.^
  • Lynn

    Magicien des lignes

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    #166 27 Février 2019 17:04:53

    Bonjour à tous,

    comment-allez-vous? Et surtout, que lisez-vous?

    Voici une nouvelle mise à jour ^.^

    - La Tête sous l'eau d'Olivier Adam.

    J’ai commencé ce livre en étant persuadée que je n’avais jamais lu de romans d’Olivier Adam. Jusqu’à ce que je traîne sur sa bibliographie et que je me rende compte que j’avais déjà eu l’occasion de lire « La messe anniversaire »… Il y a très longtemps lorsque j’étais en troisième secondaire. Je vois encore mon prof nous le présenter.

    La plume d’Olivier Adam est agréable et plaisante à lire. La Tête sous l’eau en devient un page turner grâce à la plume facile de l’auteur et surtout grâce à son intrigue. Le roman fonctionne à la fois comme un drame et comme un thriller. L’auteur nous projette dans cette famille dont la vie a basculé le jour où la fille aînée (Léa) a disparu. C’est le petit frère qui nous livre ce récit sous son regard adolescent.

    Cette histoire s’adresse à un public adolescent. Pourtant, je n’ai pas pu m’empêcher de plonger dedans. L’intrigue est rythmée, entraînante et suffisamment palpitante pour qu’il soit difficile de lâcher l’histoire avant d’en savoir le dernier mot.

    En outre, j’ai apprécié les passages consacrés à la mer et je pouvais presque sentir le vent et le parfum iodé de la mer. Vivement août que j’y retourne =D

    - Mauvais genre de Chloé Cruchaudet, Fabrice Virgili et Danièle Voldman.

    Cette bande-dessinée est inspirée de l’essai : «  « La garçonne et l’assassin. Histoire de Louise et de Paul, déserteur travesti dans le Paris des années folles » de Fabrice Virgili et Danièle Voldman. Un essai que je lirai avec plaisir lorsque l’occasion se présentera car le sujet m'intéresse :P. En outre, si, comme dans la bande-dessinée, l’aspect psychologique est abordé alors que je ne peux qu’être
    agréablement surprise.

    La bande-dessinée est visuellement agréable et les concepteurs nous livrent une très belle prestation. L’histoire tient dans ce one-shot même si nous n’obtenons pas une réponse à toutes nos questions. Ce n’est cependant pas gênant car l’histoire est suffisamment bien traitée pour que l’ensemble soit cohérent et intriguant. En outre, de nombreux sujets y sont abordés tels que la première guerre mondiale, les soldats, les déserteurs, les traumatismes de la guerre, l’histoire du genre,… Ces nombreux thèmes m’ont donné envie de creuser davantage cette partie de l’Histoire.

    - Au revoir là-haut de Pierre Lemaitre et Christian de Metter.

    Après "Mauvais genre", je me suis lancée dans l’adaptation en bande-dessinée d’"Au revoir là-haut" de Pierre Lemaitre. Je sais que son roman a aussi été adapté au cinéma (en 2017 par Albert Dupontel avec les acteurs Nahuel Pérez Biscayart ,  Albert Dupontel et  Laurent Lafitte ) mais je n’ai pas encore eu l’occasion de voir le film. D’ailleurs, le roman me tente davantage encore.

    Dans ce cas-ci, je pense avoir fait une erreur en lisant l’adaptation avant de lire le roman. En effet, j’ai trouvé la succession des événements un peu confuse, surtout vers la fin. Cette fin d’ailleurs est assez abrupte et je suis loin d’être sûre d’avoir compris tous les tenants et les aboutissants. Je ne pense pas pour autant que l’adaptation est malheureuse. Au contraire, je trouve encore une fois que
    le dessin donne une vraie richesse à l’ensemble. C’est plutôt d’un point de vue scénaristique que j’ai été un peu paumée.

    Je relirai cette adaptation une fois que j’aurai lu le roman. Je pense que je l’apprécierais alors à sa juste valeur. ;)

    A bientôt :D
  • Lynn

    Magicien des lignes

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    #167 10 Mars 2019 16:16:20

    Bonjour à tous,

    Comment-allez-vous?

    Le temps d'une nouvelle mise à jour est arrivé.

    - La Reine des lectrices d'Alan Bennett.

    Une lecture qui se lit rapidement. L’auteur part du postulat de base que la reine du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord se découvre (sur le tard) une passion pour la lecture. Une passion qui l’éloigne un peu de l’étiquette et de ses devoirs ce que son entourage ne voit pas d’un très bon œil. Nous suivons donc les pérégrinations littéraires de la reine qui, je dois bien l’avouer, m’ont donné envie de lire encore plus. L’auteur parle de la lecture avec poésie, difficile de nier l’envie qu’il nous donne de nous y mettre.
    Je ne reprocherai finalement à cet ouvrage que sa petitesse. Beaucoup trop court à mon goût même s’il aurait été difficile de le tirer davantage en longueur sans lasser le lecteur. La fin est assez abrupte même si cohérente avec le reste.

    Une bonne petite lecture, agréable et sympathique, non dénuée du charme typiquement anglais.

    Elle découvrait également que chaque livre l’entraînait vers d’autres livres, que les portes ne cessaient de s’ouvrir, quels que soient les chemins empruntés, et que les journées n’étaient pas assez longues pour lire autant qu’elle l’aurait voulu.



    - Le Temps est assassin de Michel Bussi.

    Mon premier Michel Bussi ! Je crois qu’il était temps de découvrir cet auteur dont je vois passer le nom assez souvent. Il s’agit encore une fois d’un audiobook et je dois vous admettre qu’écouter un livre qui se passe en plein mois d’août en Corse alors que chez nous, l’hiver est toujours là, ça fait un bien fou. Je m’y voyais. La mer, le paysage brûlé et écorché par le soleil, l’odeur de l’iode et le parfum de l’été. Je n’ai jamais eu l’occasion de visiter la Corse mais ce livre m’a donné envie d’y aller. Visiter Calvi, la pointe de la Punta Rossa, la presqu’île de la Revellata, les promenades, les paysages,… Mais surtout, profiter du soleil =D Ce livre m’a littéralement fait voyager.

    L’auteur prend le temps de mettre en place son histoire, le paysage dans lequel elle s’insère, de plonger le lecteur dans l’ambiance corse mais aussi de nous dresser un portrait complet des personnages principaux. L’intrigue met donc un peu de temps à se mettre en place mais une fois lancée, j’étais impatiente de découvrir la suite de ce récit, les secrets à dévoiler et les mystères à résoudre. En outre, l’histoire est entremêlée d’une foule de petites intrigues en plus de la principale. L’auteur nous balade et finit par nous perdre (sans que ça ne soit négatif). D’ailleurs, Michel Bussi mêle présent et passé de sorte que les intrigues se mêlent dans le temps. Le passé joue un rôle majeur dans les événements du présent.

    L’auteur nous offre un roman relativement dense sans être trop complexe. Il faut suivre mais sans que cela ne soit trop ardu. La conclusion tient la route et comme je ne m’y attendais pas du tout, c’était une bonne surprise. Néanmoins, je vous avoue ne pas avoir été scotchée comme j’ai pu l’être par d’autres révélations.

    Finalement, le plus grand reproche que je peux faire à cette histoire tient à deux personnages. Frank, le mari de Clotilde et Valentine, leur fille. A aucun moment ou presque, ils ne font preuve de compassion envers Clotilde, ils « subissent » son drame familial sans aucune commisération.  Frank ne l’écoute pas, pire, il trouve que sa femme exagère, que le passé appartient au passé, qu’elle doit laisser tomber. Valentine agit comme son père. Le drame de sa mère ne la concerne pas et elle ne fait quasiment jamais preuve d’empathie… Bonjour la famille ! Heureusement, M. Bussi nous livre un large panel de personnages, parfois hauts en couleur, auxquels il n’est pas difficile de s’attacher.

    De manière générale, j’ai passé un bon moment en compagnie de Clotilde et de sa famille corse. J’ai adoré découvrir l’île ainsi que les nombreux mystères qui la peuplent. La conclusion n’était vraiment pas mal. Une bonne lecture !

    - La fille qui avait bu la lune de Kelly Barnhill.

    « La fille qui avait bu la lune » est typique des livres que j’achète sur un coup de tête sans rien en savoir. D’une part à cause d’un titre délirant ou encore grâce à une couverture magnifique. Je jette souvent un petit coup d’œil à la quatrième de couverture mais j’ai déjà succombé :P.

    Toujours est-il que je l’ai acheté (évidemment) et qu’il traîne désormais dans ma bibliothèque. C’est grâce au LDPA 22 et à SheilaPendragon que je l’ai sorti aussi vite de ma PAL. Je ne regrette pas parce que cette histoire m’a véritablement surprise. Je m’attendais à un classique roman d’aventure/fantastique/ jeunesse et si ce roman est vraiment un roman jeunesse fantastique et d’aventure, la manière dont est tournée l’histoire et la magie avec laquelle elle a été écrite m’ont bluffée.

    Pourtant, concrètement, il ne se passe pas grand-chose dans ce roman. Il n’y a pas de batailles épiques, de quêtes, d’apprentissage réel de la magie mais je ne me suis pas ennuyée une seule seconde. Nous découvrons l’univers au sein duquel se passe l’intrigue. Le Protectorat, la forêt et les Cités Franches que nous parcourons en même temps que Xan et Luna. Mais « La fille qui avait bu la lune », c’est aussi un livre qui nous livre de magnifiques personnages qu’ils soient humains ou non. Ils ont chacun quelque chose à nous apporter. Ils sont attachants, doux et certains m’ont terriblement émue (la scène finale avec Xan et Glerk était particulièrement touchante).

    Ce livre nous offre également une foule d’émotions. Il est facile de passer du rire aux larmes. Fyrian m’a fait sourire plus d’une fois tandis que Xan et Glerk m’ont émue. Antain est aussi attachant et nous livre quelques bonnes réflexions. Il nous apprend à ne pas suivre le troupeau à poser des questions, même et surtout, celles qui dérangent. Ethyne nous apprend à faire preuve d’un esprit critique.

    « La fille qui avait bu la lune » est un roman qui nous livre une histoire mais surtout qui nous parle de la vie, de ses travers mais aussi de toutes les bonnes choses dont elle regorge. Ce récit agit presque comme une leçon de vie. Il ouvre nos esprits et nous fait voir les choses autrement. Il nous apprend à être plus tolérant et à prendre le temps de comprendre avant de juger. Je suis ressortie de ce roman un peu comme si je sortais d’un conte. C’était magique !

    - Les carnets de Cerise T/2 Le livre d'Hector de Joris Chamblain et Aurélie Neyret.

    J’étais ressortie du premier tome des « Carnets de Cerise » enthousiaste et terriblement émue. Dans tous les cas, j’étais convaincue de poursuivre les aventures de Cerise. Je me suis rapidement attachée à cette jeune héroïne et à son envie irrésistible de devenir écrivain et de résoudre des mystères.

    J’étais donc plus que curieuse de me lancer dans ce second volume. Cette nouvelle enquête était excellente. Nous continuons à en apprendre plus sur les différents personnages, sur Cerise et sa maman, sur ses amies mais aussi sur Annabelle Desjardins. Le passé de Cerise est très légèrement abordé, juste ce qu’il faut pour nous intriguer au plus haut point possible. Vivement le troisième tome.

    Ce second tome était plus qu’à la hauteur du premier. Le mystère est tout aussi intriguant et les nouveaux protagonistes attachants au possible. J’ai refermé cette histoire en étant encore plus émue que lors du premier tome et je pense que le troisième le sera d’autant plus. Une réussite !


    A bientôt :ok:

    Dernière modification par Lynn (10 Mars 2019 19:39:47)

  • Lynn

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    #168 02 Avril 2019 19:25:34

    Bonjour à tous,

    Comment-allez-vous?

    Me revoici avec une nouvelle mise à jour.

    - Fractures de Franck Thilliez.

    Je poursuis l’expérience Franck Thilliez et je dois admettre que “Fractures” m’a plutôt scotchée. L’intrigue est riche et l’auteur m’a bien baladée tout le long du roman.

    D’une part, il y a ces personnages auxquels nous nous attachons à une vitesse folle. Alice, l’héroïne, et ses bulles d’encre. Dorothée, féroce mais qui défend sa sœur envers et contre tous. Le psychiatre d’Alice, Luc Graham (je me demande s'il s'agit d'une référence au Will Graham d'Hannibal :grat:), passionné par son travail et par le cas "Alice" mais aussi Julie Roqueval qui se retrouve embarquée dans cette folle histoire malgré elle. Et si nous ne comprenons pas immédiatement les liens qui les unissent, Ils ont, chacun, une histoire à nous raconter.

    Mais cette histoire, c’est surtout des intrigues complètement folles. Une première, une seconde, une troisième et ça devient vite complètement fou. Fou tout en restant cohérent et crédible. Car j’y ai cru dur comme fer. J’ai tourné les pages avec envie et avidité. Avec l’envie, aussi, d’être bluffée. Le tout est agrémenté d’une plume rythmée et dynamique qui nous pousse, conjointement à l’histoire, à dévorer ce thriller.

    J’ai été bluffée même si je m’attendais quand même à une partie de l’histoire mais d’autres événements m’ont surprise car je ne les ai pas vus venir. Et les personnages se sont également révélés plein de surprises.  "Fractures" est un bon thriller qui vous tiendra en haleine jusqu’au bout.

    - Les heures souterraines de Delphine de Vigan.

    Je continue également mon exploration dans le monde créé par Delphine de Vigan et j’en suis toujours aussi conquise. J’ai rarement lu un auteur dont la plume et les histoires avaient un tel impact sur moi. Je me retrouve à chaque fois happée et je ne peux m’empêcher de m’impliquer émotionnellement. “Les heures souterraines” ne fait pas exception, que du contraire. Des trois que j’ai lu, c’est, pour le moment, celui que j’ai eu le plus de mal à finir tellement il m’a touchée.

    J’ai adoré cette histoire banale dont nous pourrions tous être le témoin, aussi grave soit-elle. Je me suis immédiatement attachée à ces deux personnages écorchés par la vie. Nous suivons, d’un côté, Thibault qui travaille aux urgences médicales de Paris, qui passe sa vie en voiture à errer en ville, côtoyant les petites et grandes maladies, les malheurs et la détresse humaine. Mais surtout un homme qui remet en question sa vie. De l’autre, nous rencontrons Mathilde, mère de trois garçons, veuve et qui, jusqu’il n’y a pas si longtemps, était épanouie dans sa vie, malgré l’absence de son mari et dans son travail, grâce à un poste à responsabilité mais surtout grâce à un patron et à une équipe qui comptent sur elle. C'est ainsi que se passait sa vie avant cet événement qui a tout bouleversé, avant cette vexation qui a changé sa vie et le comportement de son patron. Elle se retrouve mise au ban. Le lecteur assiste peu à peu au récit de cette “condamnation”, à la violence silencieuse mais non moins terrible que subit Mathilde. L’abandon dans lequel elle est laissée et comment, peu à peu, elle est dévorée par ce système implacable.

    L’histoire de Mathilde m’a particulièrement touchée. Je me suis complètement mise à sa place et j’ai souffert de chacun des gestes, des réactions et des paroles. De ces collègues qui finissent par l’ignorer, par peur d’être à leur tour rejetés. D’une entreprise qui réagit beaucoup trop tard, d’un patron qui a beaucoup trop de pouvoir. J’avais besoin, parfois, de faire des pauses pour souffler, pour pouvoir me détacher légèrement du récit et continuer ma lecture. De même, certains passages dans l'histoire de Thibault m'ont particulièrement touchée. En croisant ces "malades", Thibault nous livre surtout l'histoire d'une ville et des personnes qu'elle prend en otage, les laissant seuls au milieu de la foule.

    Des trois, c’est celui qui a eu le plus d’impact sur moi. Je ressors de cette histoire touchée et perturbée. Une véritable claque émotionnelle !

    - Nymphéas noirs de Michel Bussi.

    Je continue également mon exploration de l’univers de Michel Bussi. Après “Le temps est assassin”, il était temps de lire le “classique Michel Bussi, “Nymphéas noirs”, dont j’ai beaucoup entendu parler. Michel Bussi ne m’avait jamais tentée plus que ça mais l’occasion s’étant enfin présentée, j’ai fini par écouter deux de ses livres.

    "Nymphéas noirs" ne m’a pas scotchée comme je m’y attendais bien que l'auteur ait réussi à me bluffer. Si je ne succombe pas aux charmes de Bussi, je dois quand même vous admettre que j’apprécie sa plume. J’écoute ses histoires avec plaisir, emportée par ses personnages, son histoire et ses intrigues. Je crois simplement que les policiers ne sont pas faits pour moi. Ils sont trop "sages". C’est une fan de thriller qui vous le dit =D

    Toujours est-il que "Nymphéas Noirs" vous emmène à Giverny, le Giverny de Claude Monet. Encore une fois, Michel Bussi m'a vendu du rêve et une nouvelle destination de vacances se dessine à l'horizon. Il nous offre une enquête dans un cadre splendide. En outre, il ne se gêne pas pour nous promener pendant 400 pages et j’ai fini par ne plus savoir quoi croire et surtout qui.

    Outre l’aspect contextuel, la force de ce roman repose sur ses personnages. À défaut d’être tous attachants, ils deviennent rapidement des compagnons de route. L’intrigue se défend même si je n’ai pas été subjuguée par sa résolution. De plus, l’explication finale fournie m’a un peu déçue. Toutefois, d’autres éléments m’ont totalement surprise. A ceux qui l'ont lu, vous l'aviez vu venir vous?

    Encore une fois, il s’agit d’une lecture plaisante, nous nous promenons à Giverny en étant spectateur de nombreux drames. Une bonne lecture pour les amateurs de romans policiers (c’est juste que moi, ce n’est pas ce que je préfère =p).

    A bientôt :D

    Dernière modification par Lynn (02 Avril 2019 19:26:01)

  • Lynn

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    #169 22 Avril 2019 00:09:11

    Bonjour,

    Comment-allez-vous?

    Me voici du retour avec une nouvelle lecture

    - L'Outsider de Stephen King.

    En toute honnêteté, je dois vous admettre que je ne comptais pas lire L'Outsider de Stephen King. Je ne m'intéresse pas spécialement à ses dernières sorties (trop régulières pour moi >.< Je n'arrive pas à suivre) mais ma bibliothécaire s'est mise en tête que si vu que j'avais adoré "Sleeping Beauties". Et comme je fais partie des lecteurs qui lisent avec confiance les livres qu'on leur propose, "L'Outsider" ne fait pas exception.

    Je vous l'ai déjà dit mais je ne vais pas hésiter à le redire encore une fois ;), pour moi, la magie d'un Stephen King, c'est qu'il lui suffit de quelques mots, de deux ou trois phrases pour que le lecteur soit totalement dedans et qu'il imagine les décors, l'ambiance et les protagonistes. Et avant même qu'il ne le réalise, le lecteur s'est attaché aux personnages et il a déjà hâte de découvrir le fin mot de cette histoire.

    L'histoire débute immédiatement et il n'y a pas un seul moment de répit. Les témoignages se succèdent, l'enquête avance à une vitesse folle et les pages se tournent toutes seules. L'intrigue, pourtant simple, se complexifie et ce qui apparaît, dans un premier temps, comme une simple enquête policière sur l'assassinat d'un enfant, devient, très rapidement, un mystère insoluble. Si l'élément fantastique est bien présent, il n'accapare pas tout l'espace.

    Toutefois, la véritable force de ce roman repose sur ses personnages. Si les "méchants" m'ont un peu déçue, les "gentils" avaient ce petit quelque chose qui fait que je m'y suis attachée très vite. Ralph en premier lieu mais aussi sa femme, Jeannie, son collègue Yunel, Howie ou encore Alec et surtout, Holly. Quel incroyable personnage! J'auraisaimé en apprendre encore davantage sur elle (qui sait, Stephen King reviendra peut-être sur elle dans un futur roman :P). 


    Finalement, le seul reproche que je ferais à L'Outsider, c'est peut-être son léger manque d'originalité (en tout cas, pour moi). Néanmoins, cela ne m'a pas empêchée de passer un excellent moment. Décidément, Stephen King demeure un écrivain "doudou" car je sais que je passerai toujours un bon moment =D

    A bientôt pour la suite =D

    Dernière modification par Lynn (03 Janvier 2020 19:18:12)

  • Lynn

    Magicien des lignes

    Hors ligne

    #170 01 Juin 2019 22:46:33

    Bonjour à tous,

    me voici - enfin - de retour avec de nouvelles lectures. J'ai eu un gros passage à vide en lecture au mois de mai mais c'est reparti de plus belle.

    Et vous, que lisez-vous?

    - L'Héritière de Jacaranda de Tamara McKinley.

    Première lecture de cette autrice australiennne dont j’ai beaucoup entendu parler lors de la sortie de :”La Dernière Valse de Mathilda” que je n’ai, d’ailleurs, toujours pas lu. Toutefois, l’occasion s’est présentée avec :”L’Héritière de Jacaranda”.

    “L’Héritière de Jacaranda” est autant un roman familial qu’un roman d’aventure. Il était donc difficile de s’ennuyer durant cette lecture surtout que l’autrice jongle autant avec ses personnages qu’avec le temps (passé et présent sont intimement mêlés).

    Les personnages ont également su retenir mon attention. Bien que nombreux, l’autrice se concentre seulement sur certains d’entre eux afin de nous offrir un récit complet mais surtout cohérent et riche sans noyer son lecteur de trop nombreux protagonistes. Dans cette histoire, les femmes dominent clairement la scène. Rose, Cornelia et Sophie nous livrent de beaux moments et de belles émotions mais font aussi preuve de courage et de détermination.

    Toutefois, en dehors même de l’histoire familiale, Tamara McKinley nous offre aussi un récit historique sur la naissance et le développement de l'Australie actuelle ainsi que sur la création du domaine de Jacaranda, les premières récoltes, le soin apporté aux vignes, la qualité de vie qui dépend de la météo. Néanmoins, la véritable force de ce roman repose sur la beauté même du pays qui l'abrite : l’Australie. Je n’y ai jamais mis les pieds mais Tamara McKinley m’y a fait voyager. J’ai exploré les domaines de Jacaranda et de Coolabah avec émerveillement. J’ai parcouru le bush australien et rencontré les légendes locales mais aussi la vie tsigane, leurs légendes et leurs coutumes.

    Ce roman apporte de nombreuses informations et nous immerge dans des mondes différents les uns des autres : le bush australien du XIXième et du XXIième siècle mais aussi l’Angleterre du XIXième, les modes de vie, les mentalités, la culture de la vigne, la création d'un domaine ou encore les difficultés de la vie mais aussi ses bons côtés.

    Tamara McKinley nous livre une véritable épopée australienne. Elle m'aura permis de voyager à travers un pays que je connais très peu et à me sensibiliser à l'histoire de ces hommes et femmes qui ont construit l'Australie.


    - Le parfum du bonheur est plus fort sous la pluie de Virginie Grimaldi.

    J’ai également découvert “Le parfum du bonheur est plus fort sous la pluie” de Virginie Grimaldi un peu par hasard. Je cherchais un nouvel audiobook sans vraiment savoir ce que je cherchais et je suis tombée sur cette histoire au résumé qui me préparait à une romance et qui m’a, finalement, bien induite en erreur.

    La plume de Virginie Grimaldi est plaisante. Ses romans s’écoutent sans difficulté. Les mots sont simples et sonnent agréablement à mes oreilles. En outre, ce sentiment est renforcé par l’histoire elle-même. L’autrice nous offre l’histoire d’une vie, d’une vie à deux. Et finalement, le sujet même de ce récit n’est plus celui que l’on croit. Et c’est grâce à ça que ce roman m’a surprise.

    Les personnages qui peuplent cette histoire sont nombreux et l’autrice nous offre de multiples portraits. Ils ont, chacun, leurs forces et leurs faiblesses et sont tous attachants à leur façon. J’ai beaucoup aimé Pauline et Ben mais aussi le frère de Pauline, son père, sa grand-mère, … Ils partagent avec nous un peu de leur être et quelques leçons de vie. Le seul reproche que je peux leur faire, c'est d'être des clichés. Ils manquent parfois de nuance mais dans ce cas de figure, ce n'est pas terriblement gênant.

    Cette histoire, parce qu’elle s’adresse à tout un chacun, m’a énormément touchée. J’ai ri mais j’ai aussi été émue au point de pleurer comme une madeleine. J’ai aussi beaucoup souri car ce roman nous fait cadeau de véritables moments de bonheur.

    Est-il besoin de conclure? J'ai adoré.

    - Le maître des livres T/3-T/4-T/5 de Shinohara Umiharu

    Les dessins sont toujours aussi agréables. Le manga se lit sans difficulté et les pages se tournent avec plaisir et curiosité. Les personnages sont attachants, creusés, riches et ont, chacun, quelque chose à nous apprendre et à nous apporter. Il en est, de même, des différentes histoires au sein de l'histoire. J'adore découvrir et redécouvrir ces histoires qui ont bercé (ou non) mon enfance. Mais aussi de voir le regard avec lequel elles sont abordées. C'est comme une seconde lecture. En outre, ce manga me pousse à relire des histoires bien connues et à en découvrir bien d'autres. Ce manga est une véritable ode à la lecture. Une invitation au voyage au sein d'un paysage littéraire.

    A bientôt =D

    Dernière modification par Lynn (01 Juin 2019 22:47:07)