Synopsis
Ce que je crois: En même temps que l'inventaire d'une vie, ce livre apporte un autoportrait de son auteur, une plaidoirie en faveur de l'homme, un réquisitoire contre un siècle qui l'avilit et le cri d'une irrépressible espérance. C'est un ouvrage que son auteur a mis bien des années à concevoir et bien des mois à écrire, et auquel il ne voudrait pas avoir à changer une virgule jusqu'à son dernier souffle.
Lettre ouverte à une jeune fille morte: « Vous avez mis fin à vos jours, cette nuit à 4 h 30... » Un homme aux cheveux gris veille une jeune fille qui vient de se suicider. Îlot de silence immobile parmi le tumulte indécent de la ville, cette chambre est pleine d’indices, mais elle garde son secret ; et ce masque de cire et d’ivoire le garde plus hautainement encore. Et, tout au long de cet écrit, l’homme cherchera désespérément pourquoi on se tue à vingt ans, la veille de l’été, quand on a « tout pour soi... » Et il va s’aviser que, peut-être, nous sommes tous un peu responsables de ce crime : que cette époque et cette société sont les ennemies de tout ce que peut incarner une jeune fille, les ennemies de notre âme. Réquisitoire contre ce temps, méditation sur la mort, regard sur la jeunesse, cette « Lettre Ouverte » (que sa destinataire est la seule à ne pouvoir lire) du grand romancier auquel aucun problème humain n’est étranger, est née de l’alliance pathétique de la colère et de la compassion.
Lettre ouverte à une jeune fille morte: « Vous avez mis fin à vos jours, cette nuit à 4 h 30... » Un homme aux cheveux gris veille une jeune fille qui vient de se suicider. Îlot de silence immobile parmi le tumulte indécent de la ville, cette chambre est pleine d’indices, mais elle garde son secret ; et ce masque de cire et d’ivoire le garde plus hautainement encore. Et, tout au long de cet écrit, l’homme cherchera désespérément pourquoi on se tue à vingt ans, la veille de l’été, quand on a « tout pour soi... » Et il va s’aviser que, peut-être, nous sommes tous un peu responsables de ce crime : que cette époque et cette société sont les ennemies de tout ce que peut incarner une jeune fille, les ennemies de notre âme. Réquisitoire contre ce temps, méditation sur la mort, regard sur la jeunesse, cette « Lettre Ouverte » (que sa destinataire est la seule à ne pouvoir lire) du grand romancier auquel aucun problème humain n’est étranger, est née de l’alliance pathétique de la colère et de la compassion.
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1 édition pour ce livre
1981
Editions Le Livre de Poche
285 pages
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