L'Épopée Vaudoise, tome 1 : La croix des humiliésHubert Leconte1998

Le roman historique « La croix des humiliés » paru en 1998 constitue le premier des trois tomes de la trilogie « l'Épopée Vaudoise » composée par Hubert Leconte, écrivain, conférencier, auteur dramatique, officier des Palmes académiques et membre de l'Académie du Vaucluse. Il retrace la poignante histoire des « Pauvres de Lyon », appelés « Vaudois » qui, pour vouloir conserver la foi simple de leurs ancêtres, fondées sur la Parole de Dieu, furent pourchassés par l'Inquisition, marqués d'une croix jaune et massacrés dans le Luberon.

Cette croix jaune de la conversion forcée que les Vaudois devaient porter sur leurs habits et qui les désignait à la colère des foules. Cette croix les marquait pour toujours au fer de l'humiliation.

« C'est sous la forme du roman qu'Hubert Leconte nous plonge dans cette histoire de l'intérieur. Il nous fait revivre une ambiance, il nous fait partager la vie, les sentiments de ces femmes et de ces hommes dans le quotidien de leurs luttes et de leur foi.
L'histoire n'y perd pas de sa rigueur : les faits ont bien eu lieu, les événements essentiels se sont bien passés ainsi, les documents attestent de la réalité vécue. » — Christian Mazel

« Les Vaudois en Luberon et à Freissinières n'existent plus depuis des siècles, leur témoignage de foi, de spiritualité a été poursuivi dans ces régions par les réformés; ils n'existent plus en Vallouise et ici-même leur souvenir en a été effacé...
« La Beaume Chapelue » et le château de Mérindol ne parlaient à personne.
Nous restons, nous, les Vaudois piémontais, les quelques survivants de cette épopée de l'Evangile, des témoins clandestins d'une histoire effacée.
Ce n'est plus le cas aujourd'hui et les romans d'Hubert Leconte sont pour beaucoup.
Ce dont nous lui sommes reconnaissants. » — Georges Tourn

« La triple flamme qui brûle et nous brûle, c'est celle de l'amour, de la foi, et de la terre sans cesse présente sous la plume inspirée de Hubert Leconte. Comme les troubadours d'antan, il chante... » — Louis Pellecuer