Synopsis
" San Salvador est horrible, et les gens qui y habitent sont pires encore, c'est une race pourrie.
" L'ombre du patio cache mal le visage de Moya étourdi par la hargne de son ami, Vega. Exilé au Canada sous le nom de Thomas Bernhard, Vega est de retour au Salvador pour enterrer sa mère. Le Dégoût est son cri. Un monologue à la violence lénifiante où l'hommage à l'écrivain autrichien, père spirituel de Vega et misanthrope affirmé, est le prétexte d'un virulent pamphlet contre un pays ravagé par la gangrène de la cupidité et de la corruption.
" L'ombre du patio cache mal le visage de Moya étourdi par la hargne de son ami, Vega. Exilé au Canada sous le nom de Thomas Bernhard, Vega est de retour au Salvador pour enterrer sa mère. Le Dégoût est son cri. Un monologue à la violence lénifiante où l'hommage à l'écrivain autrichien, père spirituel de Vega et misanthrope affirmé, est le prétexte d'un virulent pamphlet contre un pays ravagé par la gangrène de la cupidité et de la corruption.
Titre original : El Asco (2003)
Moyenne
16.0
4 votes
BON
3 éditions pour ce livre
2018 Editions Métailié (Suites)
Traduit par Robert Amutio
112 pages
1er janvier 1997
ISBN : 9791022608176
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J'ai adoré
Le monologue qu'est ce livre se donne à être comme une critique sociale, politique. Mais au delà de ça, son titre présage l'essence du sentiment de son auteur comme de son héros : un dégoût sans limite, qui se transforme en haine crue et pure au fil des pages. L'ouvrage est court mais intense. Il nous vient comme des relents de nausée cruelles à la lecture. 15/20