Synopsis
Épopée romanesque d’une incroyable intensité, chronique poignante de l’amitié masculine contemporaine, Une vie comme les autres interroge de manière saisissante nos dispositions à l’empathie et l’endurance de chacun à la souffrance, la sienne propre comme celle d’autrui. On y suit sur quelques dizaines d’années quatre amis de fac venus conquérir New York. Willem, l’acteur à la beauté ravageuse et ami indéfectible, JB, l’artiste peintre aussi ambitieux et talentueux qu’il peut être cruel, Malcolm, l’architecte qui attend son heure dans un prestigieux cabinet new-yorkais, et surtout Jude, le plus mystérieux d’entre eux. Au fil des années, il s’affirme comme le soleil noir de leur quatuor, celui autour duquel les relations s’approfondissent et se compliquent, cependant que leurs vies professionnelles et sociales prennent de l’ampleur.
Titre original : A Little life (2015)
Moyenne
17.1
277 votes
TRES BON
8 éditions pour ce livre
2019 Editions Le Livre de Poche
Traduit par Emmanuelle Ertel
1122 pages
30 octobre 2019
ISBN : 9782253100560
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54 commentaires
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Je rêvais moi aussi d'adorer ce roman, de finir en larmes comme tant d'autres... mais malheureusement au bout de 250 pages je n'étais toujours pas attachée à l'histoire et au récit. Difficile d'y retourner, difficile de rester concentrée. Je suis passée à côté. Dommage...
Je trouverai jamais les mots justes.
J'ai aimé ce livre autant que je l'ai détesté. La beauté de l'écriture m'a profondément touché et découvrir les traumatismes de Jude qui l'ont transformés en l'homme qu'il est aujourd'hui m'a émus aux larmes. Je n'ai jamais eu autant de difficulté à lire et pourtant sans même pouvoir le lâcher. C'est un roman d'une rare beauté sur lequel j'aurais versé trop de larmes pour pouvoir les compter.
Je ne sais pas quoi penser de ce livre, quelle note lui donner. Il est aussi beau qu’il est terrible mais vrai. Je suis tellement dévastée que j’arrive à peine à pleurer. Je ne sais pas si ça valait le coup de le lire. J’aurais tendance à dire que si, pour l’expérience au moins, mais c’était un calvaire. Et… pour quoi? Puis je me rappelle de Willem et de Jude, de Harold, et je ne sais juste plus.
Une lecture éprouvante