Tout le monde n'a pas la chance d'aimer la carpe farcieElise Goldberg2023

Beaucoup de mal avec l'écriture, comme si l'autrice sautait d'une pensée à une autre sans forcément de lien, on est dans sa tête sans vraiment comprendre le sujet. Sa relation avec la cuisine ashkénaze est à la fois terre à terre (fade, terne, sans originalité) et viscérale (le rapport à la nourriture définit ce qu'elle est via sa famille). Une lecture en demie teinte

La promesse était intéressante mais l'écriture ne m'a pas séduite et je me suis ennuyée toute la première partie du roman.

Avec humour et sensualité, Élise Goldberg nous offre un premier roman qui explore ses origines familiales à travers la cuisine ashkénaze. La carpe farcie devient alors une boussole qui permet de remonter dans le temps. Et de découvrir une culture.