Synopsis
Bella en a assez. Bien que discrète, elle ne supporte plus le voyeurisme de son voisin, la main baladeuse de son épicier de quartier. Elle ne supporte pas davantage les comportements malsains que génère la promiscuité de son train de banlieue aux heures de pointe.
C’est alors qu’elle décide par un beau matin, elle si discrète, de mettre un terme à ces conduites de la manière la plus radicale qui soit : l’élimination de tous ces mâles déviants. Devenue tueuse en série, Bella y prendra un plaisir jusque-là insoupçonné… Les rôles seront dès lors inversés. Roman d’une violence rare sur les rapports de domination, il sera le dernier livre de littérature à faire l’objet d’une demande d’interdiction pour immoralisme à la Chambre des Lords lors de sa parution en 1991.
C’est alors qu’elle décide par un beau matin, elle si discrète, de mettre un terme à ces conduites de la manière la plus radicale qui soit : l’élimination de tous ces mâles déviants. Devenue tueuse en série, Bella y prendra un plaisir jusque-là insoupçonné… Les rôles seront dès lors inversés. Roman d’une violence rare sur les rapports de domination, il sera le dernier livre de littérature à faire l’objet d’une demande d’interdiction pour immoralisme à la Chambre des Lords lors de sa parution en 1991.
Titre original : Dirty week-end (1991)
Moyenne
16.3
103 votes
BON
4 éditions pour ce livre
2019 Editions Libretto
224 pages
17 janvier 2019
ISBN : 9782369145219
2000 Editions Phebus (Libretto)
Traduit par Jean Esch
224 pages
ISBN : 2859406743
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14 commentaires
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Une lecture violente et crue, mais féministe. J'ai eu du mal à accrocher au début, quand Bella ne s'est pas encore rebellée. J'ai commencé à vraiment apprécier après la scène du thé. Côté forme, c'est bien rythmé et j'ai beaucoup aimé le jeu de répétition de l'autrice.
L’intention est noble mais la méthode est radicale. Mais à la fin de cette lecture "difficile", je ne peux m’empêcher de m’interroger : est-ce qu’une forme trop poussée à l’extrême ne finit-elle pas par tuer une part de son message? Parce qu'une fois qu'on a dépassé le côté "défoule" (sympa pour certaine surement) que reste-t-il à part le "trop loin"? Que fait-on du "too much"?
Je n’ai pas pu aller jusqu’au bout de ma lecture malgré ces 180 pages. La plume est vulgaire, difficile et très grossière. Je n’ai pas du tout accroché et l’histoire semble tellement peu réaliste. C’est dommage car j’en avais entendu beaucoup de bien et le thème m’intéresse. Je ne recommande pas.
L'écriture est imbuvable. Dommage car la thématique était vraiment intéressante.
Je suis allée jusqu'à environ 50 pages en attendant qu'il se passe quelque chose, et rien. Et ce style mon dieu, c'était lourd, mais lourd ! Impossible de continuer !