Le murmure du ventKaren Viggers2017

Je n'ai pas du tout aimé suivre Abby. Ses réactions n'avaient pas vraiment de sens pour moi, un peu comme si l'autrice avait écrit plein d'éléments dramatiques, parfois mélodramatiques, en essayant de les relier les uns aux autres. Je n'ai pas aimé sa plume non plus - mais c'est peut-être la traduction. La seule chose qui m'a un peu plu, ce sont les Réveilleurs Noirs, Johnny Button et l'Australie.

C’est encore les yeux embués que je rédige cette chronique. La seule crainte qui m’habite est de ne pas trouver les mots, le ton juste pour partager l’intense émotion, la tendresse infinie pour la nature humaine que suscite la lecture du roman « Le murmure du vent » de Karen Viggers. C’est un récit touchant, émouvant, sensible, poétique…. C’est un récit dont on sort différent, meilleure.

Une magnifique lecture qui nous emmène dans les paysages d'Australie, au côté de personnages possédant des histoires familiales et personnelles difficiles, mais avec un très beau message d'amour de la vie et de la nature. L'auteur décrit avec beaucoup de sensibilité et de pudeur les fragilités de ses personnages. La lecture est prenante et les personnages sont très attachants, un vrai bonheur !

Je l'ai abandonné au bout de 235 pages, je ne suis pas parvenu à accrocher à l'histoire, je me suis beaucoup ennuyer, de plus mettre une scene dure à lire dès le début du roman est un choix risqué, je l'ai quand même lu, mais ça ne m'a pas empêcher de le laisser tomber.. Je n'ai pas aimer le style d'écriture.. Est-ce dû à la traduction ? Ou bien est-ce l'auteure qui a une écriture trop lente ?

Sur fond d’histoire romanesque, c’est en fait l’Australie qui est dépeinte. Son histoire avec les aborigènes, ses plaines, ses paysages, son problème de gestion des populations de kangourous. L’amour de l’auteur transparaît dans son écriture et nous fait dévorer le livre jusqu’au bout. En ces temps de vacances, j’irai bien faire un tour en Australie!!