Synopsis
Carmen est une nouvelle de Prosper Mérimée écrite en 1845, dont a été tiré l'opéra-homonyme, musique de Georges Bizet, livret de Henri Meilhac et Ludovic Halévy (1875). En Espagne, à Séville. Arrêtée à la suite d'une querelle, Carmen, bohémienne au tempérament de feu, séduit le brigadier Don José, et lui promet son amour s'il favorise son évasion... Benjamin Lacombe s'est attaché à mettre à l'honneur l'aura de cette femme fatale à travers ses particularités physiques, avec l'envie de la rendre surnaturelle, envoutante, quasi satanique. Il a utilisé des huiles et des gouaches pour les images en couleurs et de l'encre de chine pour les cabochons.
Moyenne
16.3
57 votes
BON
2 éditions pour ce livre
2024 Editions Gallimard (Papillon noir)
176 pages
20 novembre 2024
ISBN : 9782073085269
2017 Editions Soleil (Métamorphose)
176 pages
13 décembre 2017
ISBN : 9782302066304
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14 commentaires
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Bonne histoire et des illustrations incroyables comme d’habitude ! L’objet livre est juste sublime lui aussi !
Sublime classique magnifiquement illustré comme seul Benjamin Lacombe sait le faire. Pour moi redécouvrir Carmen avec le coup de crayon de cet illustrateur donne un plus. Cet objet livre est superbe. La couverture en tissus et dentelle et tout simplement magnifique. Décidément jamais déçu et je m'en met toujours plein les yeux avec ces dessins.
Récit surprenant et intéressant d’une époque vu par une gomme : Prosper Merimée.
Mais Carmen c’est avant tout l’histoire d’une femme qui refuse de se plier au dictat des hommes et qui revendique son indépendance. Femme rebelle, forte et fragile, une femme fatale qui veut vivre pleinement.
Le livre en lui même est magnifique, les illustrations aussi.
Par contre l'histoire de Carmen ne ma pas transporter.
Un beau livre qui me laisse cette fois un sentiment mitigé. L’histoire a pris son temps pour m’attraper dans sa toile et j’ai l’impression d’être passée à côté des sentiments que les personnages tentaient de m’inspirer : j’aurais dû blâmer Carmen et compatir pour l’infortuné Don José, mais je n’y parviens pas. Suis-je passée à côté de ce classique de la littérature française ? Il semblerait.