Synopsis
Avec ce troisième et dernier volume s’achève l’Intégrale des Romans et Nouvelles de Claude Seignolle. Sont ici rassemblés tous les contes parus sous le titre générique La Nuit des Halles, ainsi que le bref roman « nervalien » intitulé La Brume ne se lèvera plus. Des récits où le fantastique prend sa source dans la poésie des rues, qui enchantèrent en leur temps Lawrence Durrell, Mac Orlan, Cendrars, André Hardellet…
La présente Intégrale, qui comporte au total trois volumes, rassemble toutes les nouvelles – et tous les romans brefs – que Seignolle, depuis 1945, a consacrés au Démon des campagnes (Les Malédictions) et au Démon des villes (La Nuit des Halles) : « Le plus beau florilège d’histoires à faire peur de la littérature d’aujourd’hui » (HUBERT JUIN)
Le troisième et dernier volume rassemble, sous le titre La Nuit des Halles, tous les contes que l’écrivain a consacrés aux fantômes du vieux Paris – dans le sillage de Villon mais surtout de Nerval – ; ainsi que le roman bref intitulé La Brume ne se lèvera plus. Où le fantastique fraternise avec la poésie des rues… et avec la « nuit électrique » des grandes cités, chère à Mac Orlan et à tous les promeneurs des deux rives.
« Les récits de Seignolle ont le charme des eaux troubles et une saveur qui n’appartient qu’à eux… On est rapidement séduit, et pour finir intimement « seignollisé », à la lecture de cette oeuvre à laquelle un curieux goût de mystère donne sa densité poétique. » LAWRENCE DURRELL
« On sent à lire ces pages une odeur de sève, de filles désirées, d’hommes déchirés par le trouble de leur corps. Il y a là-dedans la senteur des plantes écrasées par les membres nus vautrés dans la chaleur amoureuse puis défaits un instant dans la brume qui stagne… » HUBERT JUIN
« Le livre refermé, il ne fait plus de doute : Claude Seignolle en ce siècle est notre Edgar Poe, notre Nerval. » JEAN CONTRUCCI / LE PROVENÇAL
La présente Intégrale, qui comporte au total trois volumes, rassemble toutes les nouvelles – et tous les romans brefs – que Seignolle, depuis 1945, a consacrés au Démon des campagnes (Les Malédictions) et au Démon des villes (La Nuit des Halles) : « Le plus beau florilège d’histoires à faire peur de la littérature d’aujourd’hui » (HUBERT JUIN)
Le troisième et dernier volume rassemble, sous le titre La Nuit des Halles, tous les contes que l’écrivain a consacrés aux fantômes du vieux Paris – dans le sillage de Villon mais surtout de Nerval – ; ainsi que le roman bref intitulé La Brume ne se lèvera plus. Où le fantastique fraternise avec la poésie des rues… et avec la « nuit électrique » des grandes cités, chère à Mac Orlan et à tous les promeneurs des deux rives.
« Les récits de Seignolle ont le charme des eaux troubles et une saveur qui n’appartient qu’à eux… On est rapidement séduit, et pour finir intimement « seignollisé », à la lecture de cette oeuvre à laquelle un curieux goût de mystère donne sa densité poétique. » LAWRENCE DURRELL
« On sent à lire ces pages une odeur de sève, de filles désirées, d’hommes déchirés par le trouble de leur corps. Il y a là-dedans la senteur des plantes écrasées par les membres nus vautrés dans la chaleur amoureuse puis défaits un instant dans la brume qui stagne… » HUBERT JUIN
« Le livre refermé, il ne fait plus de doute : Claude Seignolle en ce siècle est notre Edgar Poe, notre Nerval. » JEAN CONTRUCCI / LE PROVENÇAL
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2002
Editions Phebus (Libretto)
416 pages
ISBN : 9782859408657
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A part "La Nuit des Halles" que j'ai vraiment bien aimé, je n'ai pas été convaincue par cet auteur pourtant réputé. Il m'ennuie.