Synopsis
Après le succès international de Homo sapienne, Niviaq Korneliussen revient avec un chef-d’œuvre d’hypersensibilité et d’audace dans lequel elle aborde de front le difficile sujet des épidémies de suicide qui touchent son pays natal.
Titre original : Naasuliardarpi (2020)
Moyenne
15.1
30 votes
BON
3 éditions pour ce livre
2023 Editions 10/18 (Littérature étrangère)
Traduit par Inès Jorgensen
336 pages
15 juin 2023
ISBN : 9782264081131
2022 Editions La Peuplade
384 pages
20 janvier 2022
ISBN : 9782925141105
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1 chronique de blog
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20 Janvier 2022viduiteLire la chronique
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12 commentaires
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11 / 20 Le 28 Mars 2025 à 08:49 cinhre
Une lecture en plusieurs temps, presque une lecture à rebours qui aborde plusieurs sujets comme la quête d'identité, la violence, le suicide, la solitude ou encore la liberté.
Même si j'ai apprécié découvrir le Groenland, île presque secrète dont on ne parle pas souvent et que l'autrice n'épargne pas.
Tellement de noirceur se dégage des pages de ce livre. Dommage que le style soit trop simpliste -
Le 14 Décembre 2024 à 09:30 Seonne
Le style de Niviaq Korneliussen reste aussi frappant que dans son premier roman. À travers une intrigue fragmentée, elle décrit la descente aux enfers de son personnage principal mais aussi les causes systématiques qui la plonge dans la détresse (colonialisme, racisme, piètre prise en charge des risques suicidaires...). Très sombre et un peu déprimant, à lire avec le cœur bien accroché.
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Le 07 Septembre 2024 à 11:41 PtitxLix
La souffrance du personnage principal m’a énormément touchée et j’ai eu le sentiment de vivre avec elle l’ensemble de sa douleur. Je n’ai pas aimé les persos secondaires sauf la famille de M. En revanche j’ai trouvé M désagréable au possible : le couple ne m’a pas du tout plu. Le style était très dur : l’autrice nous plonge sans pitié et sans détour dans les problèmes de la société groenlandaise.
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16 / 20 Le 22 Juin 2024 à 16:37 Macheti
Un roman touchant et bouleversant sur l'expérience groenlandaise de ce fléau qu'est le suicide chez les jeunes. Le mal-être de la narratrice est compréhensible même si l'autrice ne nous prend pas par la main pour nous faire comprendre les causes de ce problème et les conséquences du colonialisme pour les Inuit du Groenland. Il faut avoir le coeur bien accroché pour aller jusqu'au bout.
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