Synopsis
Les Nuits blanches, c'est d'abord un vrai roman d'amour. Un jeune homme solitaire et romanesque rencontre, une nuit, dans Petersbourg désert, une jeune fille éplorée. Désespérée par un chagrin d'amour, Nastenka se laisse aller au fantasme du jeune homme, amoureux depuis le premier instant, le berce - et se berce - dans l'illusion, jusqu'à ce que... le fiancé revienne et qu'elle se jette dans ses bras. Dès lors, comme le note Michel del Castillo dans sa lecture, tout est soudain "marqué au sceau de l'inauthenticité."
Titre original : Belye Notchi (1848)
Moyenne
15.7
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BON
13 éditions pour ce livre
2025 Editions Folio (3 €)
Traduit par Pierre Pascal et Jean-Louis Chavarot
102 pages
ISBN : 9782073025807
2021 Editions Folio (2 €)
Traduit par Pierre Pascal
102 pages
12 octobre 2021
ISBN : 9782072929113
2021 Editions Folio (Bilingue)
199 pages
ISBN : 9782072920912
2016 Editions Penguin Books (Classics)
86 pages
ISBN : 9780241252086
2025 Editions Golden Age Audiobooks
Lu par Brice Laroche
Durée : 92 min
février 2025
ISBN : 4069828109919
1992 Editions Babel (Nouvelles)
Traduit par André Markowicz
Lu par Carlos Carretoni et Margaux Grilleau
Durée : 59 min
ISBN : 9782868698315
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32 commentaires
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Un joli conte cruel !
Les nuits blanches sont une preuve du style magistral de Dostoïevski. Roman passionné qui décrit avec douleur la solitude de ceux qui ne parviennent pas à s'intégrer dans la société. Chacun peut se reconnaître dans ce rêveur qui n'a l'impression que de subir la vie. Sublime.
Je me suis douloureusement identifiée au personnage principal, ce rêveur solitaire qui survit plus qu'il ne vit. J'ai espéré qu'il ait enfin la force d'avancer mais la fin, douloureuse, n'est en fait qu'une évidence. Il y en a qui sont fait pour vivre et d'autre pour subir leur vie. Belle découverte en tout cas, je lirai d'autres œuvres de l'auteur avec grand plaisir.
Une histoire d'amour fraîche et naïve. On ressent la solitude des personnages. La fin, un peu inattendue et triste, renforce la solitude du personnage principal.
« Les Nuits Blanches » est un récit plus court de Dostoïevski. Je l’avais lu avant de visiter la ville fin juin – début juillet, pendant ces quelques jours où le soleil ne se couche pas à Saint-Pétersbourg et où la foule se promène vers trois ou quatre heures du matin sur la Perspective Nevski, sortant des restaurants et cafés.